Depuis plusieurs années maintenant, les Fédérations des chasseurs de la région des Hauts-de-France fournissent des nichoirs à mésanges à plusieurs organismes qui les redirigent par la suite vers les particuliers afin qu’ils soient installés. En trois ans, ce sont près de 40.000 nichoirs qui ont été distribués par la Fédération des chasseurs des Hauts-de-France.
Plusieurs nichoirs fournis à Amiens et les alentours.
Dans les Hauts-de-France, nombreux sont les élus qui ont remercié la Fédération Régionale des Hauts-de-France pour la fourniture de nichoirs à mésange.
Afin de soutenir la pérennité de l’espèce, les chasseurs ont monté un projet sur la base de l’éco-contribution afin de venir en aide à ce petit oiseau qui rencontre aujourd’hui de nombreux problèmes pour se reproduire en toute quiétude.
Ce projet vise à l’achat de nichoirs qui sont distribués aux mairies et aux organismes qui en font la demande afin de les placer sur les territoires. Ces nichoirs offrent alors un refuge sûr pour les mésanges qui peuvent faire leur nid dans ces nichoirs, positionnés de préférence à l’écart des prédateurs.
Cela permet également aux possesseurs de ces nichoirs de profiter de la présence de ces jolis petits oiseaux que sont les mésanges dans leur environnement.
Dernièrement, plusieurs nichoirs ont été distribués sur Amiens et sa région avec par exemple 40 nichoirs offerts à la ville d’Amiens et 50 à la commune de Longueau
La mésange, une aide importante pour lutter contre la processionnaire.
Au delà du fait de venir en aide aux mésanges, cette action vise à développer la population de l’oiseau afin qu’elle puisse remplir sa fonction de prédateur de la chenille processionnaire.
Cette chenille aux poils urticants pose de nombreux problèmes, pour l’environnement comme pour l’homme et la mésange est assurément la meilleure solution face à l’invasion de cet insecte.
Une réflexion sur « Dans les Hauts-de-France, les chasseurs fournissent encore des nichoirs à mésanges »
Même si s’est une bonne initiative pourquoi ce n’est pas la lpo qui fait sa plutôt que de s’occuper des blaireaux qui eux n’ont pas d’ailes