Un terrible accident de chasse avait secoué le Cantal en février 2022, lorsqu’une balle a atteint une randonneuse de 25 ans qui a perdu la vie lors d’une battue aux sangliers. La jeune chasseresse auteure du tir s’était immédiatement identifiée et rendue auprès de la victime. Après une enquête de plusieurs mois et une audience menée à huis clos, la justice a rendu son verdict.
Un an de prison avec sursis pour la jeune chasseresse.
Après une enquête de plusieurs mois et une audience qui a été menée à huis clos pour éviter tous débordements qui pourraient nuire aux personnes concernées après un terrible accident et la disparition d’une jeune femme, la justice a rendu son verdict.
Pour rappel, en février 2022, une jeune chasseresse âgée de 17 ans au moment des faits tire sur un sanglier et entend immédiatement après des cris un peu plus loin sur un sentier non loin de là.
Selon les premiers éléments de l’enquête partagés par BFMTV, la balle aurait traversé un sanglier puis un tas de bois avant d’atteindre la victime.
La chasseresse s’est immédiatement présentée comme l’auteure du tir et s’est rendue auprès de la victime. Malheureusement, malgré les premiers secours prodigués par son compagnon qui était en randonnée avec elle et l’intervention des urgentistes, la jeune femme de 25 ans va décéder de suites de sa blessure.
L’enquête devait déterminer si il y a avait eu manquement à la sécurité de la part de la chasseresse et/ou de la société de chasse organisatrice de la battue.
Les avocats ont déclaré auprès des journalistes que l’audience « a été marquée par le respect mutuel et l’empathie ».
Pour l’avocat de la défense, il n’y pas de victimes que d’un côté car la jeune chasseresse « porte dans son cœur tous les jours cette erreur fatale à cause de circonstances qui n’étaient pas de son fait. Elle n’aurait jamais dû être mise à ce poste, elle aurait dû avoir des instructions précises. »
Le tribunal a en effet jugé que la société de chasse n’avait pas répondu aux règles de sécurité. Compte tenu des circonstances, les juges ont requis une peine de prison de 1 an avec sursis à l’encontre de la chasseresse aujourd’hui âgée de 19 ans.
La société de chasse condamnée à 80 000 euros d’amende.
La responsabilité de l’accident n’a pas été attribué uniquement à la chasseresse car le tribunal a jugé qu’elle avait été positionnée avec trop peu de sécurité à son poste.
L’enquête a révélé des manquements à la sécurité et notamment un manque de signalisation pour avertir les éventuels promeneurs qu’une battue était en cours.
Finalement, la société de chasse a été condamnée à une amende de 80 000 euros dont 40 000 avec sursis pour l’organisation d’une battue jugée défaillante en terme de sécurité.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .