La semaine dernière, le bilan des accidents de chasse de la saison passée a été officiellement publié et les résultats démontrent encore une fois une tendance baissière avec 6 morts contre 8 la saison précédente.
Même si comme le dit souvent Willy Schraen, « un accident, quel que soit sa gravité, est toujours un accident de trop », les efforts réalisés par les chasseurs et les compléments de formation mis en place par les Fédérations semblent porter leurs fruits, ce qui a été remarqué par les médias, au grand dam des anti-chasse.
C’est le cas sur BFMTV ou plusieurs intervenants ont salué le travail réalisé par les chasseurs en ce qui concerne la sécurité et pour une fois, le discours porté par les journalistes et les chroniqueurs ne met pas en avant l’extrémisme dont certains font preuve contre le monde cynégétique.
Sur le plateau du « 22h Max », les intervenants sont dans l’ensemble conscients du travail des chasseurs en ce qui concerne la sécurité et la régulation des espèces même si certains continuent d’opposer les nemrods aux autres usagers de la nature.
Le nombre d’accidents de chasse « historiquement bas » en France pic.twitter.com/d7NwO7Vxyp
— BFMTV (@BFMTV) August 31, 2023
Plusieurs opposants à la chasse ont repris l’information en affirmant que ces résultats n’étaient que de la poudre aux yeux et attribuent cette baisse des accidents de chasse à la baisse du nombre de chasseurs sur les dernières décennies. Ils expliquent également que le bilan officiel est tronqué car selon eux, beaucoup d’accidents ne sont pas déclarés mais sont gérés à l’amiable.
📉 -80% en 20 ans
Le nombre d’accidents de chasse « historiquement bas », avec six chasseurs morts en 2022-2023 pic.twitter.com/1lsJcE2voI
— BFMTV (@BFMTV) August 31, 2023
Un discours difficilement audible quand on sait que le nombre d’actions de chasse en France a augmenté considérablement comme les prélèvements de sangliers. De même, si le nombre de chasseurs qui valident leur permis de chasse chaque année reste fluctuant, la chasse continue de séduire, de plus en plus du côté des jeunes et du public féminin.
Finalement, même lorsque le monde de la chasse évolue et met tout en œuvre pour réduire au maximum le nombre d’accidents de chasse sans attendre, cela ne semble pas plaire à nos détracteurs qui se trouvent amputés d’une raison de nous détester mais trouvent encore un moyen de le faire…
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .