Dans le Sud-Ouest, la colère des chasseurs ne retombe décidément pas et on comprend pourquoi. Après avoir perdu plusieurs modes de chasse reconnus comme des traditions ancestrales dans ces départements, plusieurs attaques contre la chasse à la palombe sont désormais menées par les associations anti-chasse.
En Lot-et-Garonne, Michel Auroux, le Président de la Fédération, annonce la couleur dans les médias en affirmant que la palombe ne sera jamais abandonnée par les chasseurs et que la moindre attaque envers cette chasse pourrait déclencher une mobilisation de grande ampleur.
Dans une interview pour la Dépêche, il affirme que les palombières pourraient littéralement se transformer en ZAD (zone à défendre) :
« Si la population de palombes baissait, on comprendrait que les prélèvements doivent baisser également. Mais là ce n’est pas le cas, la palombe reste de loin le gibier n°1 en Lot-et-Garonne. Je le répète : si l’on attaque la palombe, nous ne l’accepterons pas. Il y a des communes en Lot-et-Garonne où l’on compte jusqu’à une centaine de palombières. Je peux vous dire que dans nos bois, chaque palombière deviendra une ZAD, une Zone à défendre.
Et ce sera un conflit dur… »
Malgré les différentes mobilisations qui ont eu lieu en 2021, rien n’a vraiment bougé en ce qui concerne les chasses traditionnelles perdues sous le mandat d’Emmanuel Macron et les chasseurs du Sud-Ouest semblent bien décidés à lui rappeler lors de l’élection qui approche.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .