Le sociologue Jean Viard était l’invité d’Alexandre Le Mer sur Europe 1 la semaine dernière pour parler du sujet de la chasse et de sa place dans la société d’ aujourd’hui.
Jean Viard a expliqué que le nombre de chasseurs se stabilise aujourd’hui autour de 1 million notamment grâce à l’arrivée de jeunes chasseurs, pour une partie urbains et sans parents qui pratiquent. Ces jeunes trouvent dans la chasse « une certaine façon de voyager et de découvrir de nouveaux territoires ».
Par ailleurs, le sociologue est revenu sur le rapport avec la mort qu’a la population. « On cache la mort aux gens », « on nie la mort quand on achète de la viande » a t’il déclaré avant d’ajouter, non sans humour, « moi personnellement je préfère me réincarner en sanglier du Luberon qu’en cochon d’élevage ».
La chasse est une valeur démocratique issue de la révolution qui permet de se nourrir. Ce droit inaliénable, selon Jean Viard, se heurte cependant au problème des jours de chasse qu’il conviendrait de diminuer afin de laisser plus de place dans la nature aux autres usagers.
Cette analyse sans parti pris est donc intéressante à écouter et balaie en quelques minutes de nombreux aspects sociétaux en rapport avec la chasse. On retiendra pour finir les mots suivants du sociologue « La chasse est une activité en même temps merveilleuse, moi j’ai bien aimé chasser quand j’étais jeune. C’est une façon de se déplacer, de se lever à l’aube, de marcher dans la rosée, de diriger son chien ».
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .