La ville de Besançon a récemment pu aborder avec tous les acteurs concernés la négociation autour des conventions de chasse dans les forêts dont elle organise la gestion. Les droits de chasse ont été revus le 28 juin dernier et il y a eu du changement, notamment dans l’organisation des journées de chasse.
La chasse interdite les mercredis et samedis après-midi.
C’est donc à la fin du mois dernier que les conventions qui régissent le droit de chasse dans les forêts bisontines ont été actées entre la commune et l’ACCA de Besançon.
La nouvelle convention prévoit quelques restrictions sur la pratique de la chasse sur les terrains concernés car on apprend dans les médias locaux qu’à partir de cette année, la chasse a été interdite le mercredi et le samedi après midi, en plus des jours habituels d’interdiction.
C’est en réalité encore plus restrictif que cela si on se réfère à ce que la ville de Besançon a publié sur son site web car on y apprend que les battues au grand gibier sont autorisées uniquement les jeudis, samedis et dimanches jusque 13 heures, sur des parcelles précises.
De même pour la chasse du petit gibier, cette pratique est autorisée « Tous les jours SAUF le mercredi toute la journée, le vendredi toute la journée, le samedi après-midi et le dimanche après-midi ».
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La mairie a également demandé à ce que les chasseurs puissent consentir à assurer un dimanche complet sans chasse par mois.
Ces nouvelles mesures ont été prises en collaboration avec les chasseurs qui souhaitent manifestement faire un gros effort pour montrer qu’ils ne souhaitent pas monopoliser la forêt et laissent volontiers les autres usagers de la nature se rendre en forêt les jours demandés.
Pour d’autres chasseurs, ces mesures qui passent sans cesse par des interdictions de chasser sont un danger pour les pratiques cynégétiques. Ils préfèrent que la bonne entente se fasse entre les usagers de la nature et que les chasseurs se retirent les jours demandés sans imposer de récurrence dans les interdictions, déjà lourdes.
Chasse interdite et pas seulement.
La chasse a donc été interdite lors de plusieurs jours de la semaine à Besançon mais d’autres mesures ont également été entérinées dans ces nouvelles conventions.
Il sera désormais interdit de pratiquer l’agrainage des sangliers même si, en cas d’arrêté préfectoral, la ville n’aura d’autres choix que de permettre aux chasseurs de pratiquer cet agrainage dissuasif.
La convention interdit aussi aux chasseurs de procéder à des lâchers de faisans. Les chasseurs bisontins ont tout de même l’autorisation de continuer à aménager le territoire en vue d’améliorer le biotope pour y permettre le développement d’une population de faisans sauvages.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .