L’interdiction de la chasse le dimanche est un véritable cheval de bataille que continuent de mener les écologistes les plus radicaux. Les chasseurs refusent bien évidemment cette nouvelle tentative d’interdiction totale qui pourrait porter préjudice à de nombreux porteurs de permis qui n’ont que ce jour de la semaine pour pouvoir pratiquer leur passion. A Thionville, lors de la reconduction des baux de chasse, la ville a pourtant trouvé un terrain d’entente avec les chasseurs pour interdire la chasse en battue le dimanche.
A Thionville, la chasse en battue est désormais interdite le dimanche.
Voilà une décision qui va ravir pour un temps les anti-chasse de Thionville qui penseront certainement avoir eu gain de cause dans leur secteur. En effet, la reconduction des baux de chasse sur les bois communaux ont été récemment revus et ils prévoient désormais que la chasse en battue y sera interdite le dimanche pour les 9 prochaines années.
De quoi laisser les promeneurs et les vététistes du dimanche aller en forêt sans croiser de gilets oranges.
En réalité, cette décision a été prise d’un commun accord avec les chasseurs qui estiment qu’ils ont assez d’opportunités de chasse en semaine pour ne pas pratiquer de battues le dimanche. C’est une aubaine pour la ville qui devait sans cesse s’assurer que les chasseurs ne seraient pas sur site lorsqu’un évènement sportif ou une animation se prévoyait dans les bois de la commune.
De plus, seule la chasse en battue a été bannie des forêts thionvilloises le dimanche car la chasse à l’affût ou à l’approche resteront possibles.
Ne pas chasser volontairement le dimanche ou laisser s’installer les interdictions?
C’est donc d’un commun accord entre la commune et les chasseurs que la chasse en battue le dimanche a été interdite via le renouvellement des baux de chasse. Ces baux sont reconduits pour une durée qui peut aller jusqu’à 9 ans, ce qui n’est pas anodin.
Si actuellement, la situation peut convenir aux chasseurs, les choses peuvent changer dans quelques années et même si il fallait faire évoluer les pratiques, cette interdiction de chasser le dimanche établie de manière contractuelle restera en vigueur.
Les chasseurs sont assez peu enclins à ratifier des interdictions. Dans de nombreux cas, les nemrods de France font ou ne font pas de manière volontaire quand c’est nécessaire, mais le dépôt d’une interdiction fige souvent les choses durablement.
Il est tout à fait compréhensible qu’une entente soit possible entre une association de chasse et une commune pour ne pas chasser tel ou tel jour, mais laisser une interdiction voir le jour reste difficile à accepter pour le monde cynégétique qui appréhende de voir fleurir les mêmes dispositions partout en France.
Les écologistes anti-chasse se feront bien évidemment un plaisir de citer tel ou tel exemple pour interdire la chasse petit à petit. Et quelles sont les garanties qu’une fois la chasse interdite le dimanche, les anti-chasse ne réclameront pas également le samedi, puis le mercredi et ainsi de suite, sous couvert que « la nature est à tout le monde »?
Thionville n’est pas la première commune où ce genre d’arrangements voir le jour mais les chasseurs doivent s’assurer d’obtenir des garanties pour la suite, car beaucoup de disciples de Saint-Hubert comprennent la bonne entente mais voient ces interdictions d’un très mauvais œil.
![[Vidéo] Un tir au calibre 20 pas si facile d’un faisan qui déboule à toute vitesse](https://www.chassepassion.net/wp-content/uploads/2025/09/tir-faisan-calibre-20.webp)
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .