Une affaire est en train de prendre des proportions improbables entre l’Isère et la Savoie où les médias s’en donnent à cœur joie pour alimenter les débats autour du massif de la Chartreuse.
La réserve naturelle du massif de la Chartreuse compte 4400 hectares dont 750 sont privés mais ces quelques hectares génèrent des échanges houleux entre les touristes, les randonneurs et le propriétaire qui organise notamment des chasses sur ses terres.
Ces 750 hectares renferment de bien jolis coins et un patrimoine naturel exceptionnel, ce qui a attiré sur place de nombreux promeneurs, grimpeurs et vacanciers dans la région, sans jamais que ces derniers ne s’inquiètent de leur présence sur des terrains privés.
Dernièrement, l’évolution de la loi sur l’engrillagement a changé un certain nombre de choses pour les propriétaires qui n’ont plus besoin de clôturer intégralement leur propriété pour en interdire l’accès. C’est ce que souhaite faire Bruno de Quinsonas-Oudinot qui possède les terres en question.
La sur-fréquentation du territoire met en péril la biodiversité locale sans compter les nombreux déchets que les chasseurs doivent ramasser à chaque passage.
Compte tenu de cette interdiction d’accéder à la propriété privée, le sentier de randonnée GR9 va changer son tracé et le territoire va être débarrassé des équipements installés pour les randonneurs et les voies d’escalade.
Ces dispositions ont été prises mais c’était sans compter sur l’audace de ceux qui accédaient jusqu’ici sans autorisation sur les terrains privés et qui refusent de se voir priver de ce qu’ils estiment être un droit.
Plutôt que d’essayer de trouver un terrain d’entente avec le propriétaire et les chasseurs, les écologistes et anti-chasses locaux se sont saisis du dossier, en commençant par lancer une pétition.
Ces derniers demandent qu’un accès soit garanti au public sur l’ensemble de la réserve naturelle nationale des Hauts de Chartreuse, même sur les terrains privés. Bien évidemment, cette demande s’accompagne d’une interdiction de la chasse sur les zones de la réserve fréquentées par les touristes et les randonneurs…
Cette nouvelle tentative de spoliation de biens privés fait forcément les choux gras de la presse locale qui souffle sur les braises en laissant planer le doute sur la légitimité du propriétaire à pouvoir faire ce qu’il veut sur ses propres terres.
Depuis quelques temps déjà, Willy Schraen avertit sur la remise en cause perpétuelle pour un propriétaire de disposer librement de sa propriété privée. Il affirme que c’est un des combats qu’il faudra mener à l’avenir, et probablement même dans un avenir bien plus proche qu’on ne le pense.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .