Le retour du lynx dans les massifs jurassiens n’est pas sans impact sur la faune locale. Afin d’apporter une expertise concrète sur ce point, la fédération départementale des chasseurs du jura a lancé début d’année une étude accompagnée des fédérations du Doubs et de l’Ain.
L’objectif de cette étude, qui s’étalera sur une période de 10 ans, est de « mesurer l’impact combiné de la chasse et de la prédation du lynx sur la population d’ongulés, chevreuils et chamois du massif ». Des colliers dotés de balises GPS vont être installés sur des lynx, mais également sur ses potentielles proies. Des individus évoluant à différentes altitudes vont être ciblés. Pour mener à bien l’étude, Rebecca Burlaud (titulaire d’un master en biologie-écologie) et William Gaudry (Docteur gestion de la faune et de ses habitats) ont rejoint les équipes de la fédération. L’étude se conduite en collaboration avec les experts du CNRS et de l’ONCFS.
Tout comme le loup, le lynx a été réintroduit dans nos massifs par l’homme. Des indices de présence d’individus relâchés en Suisse ont été repérés dans le Jura en 1974. Dès 1989, la fédération départementale des chasseurs a adhéré au « réseau lynx ». Elle a depuis énormément investi dans les pièges photographiques : ces boîtiers qui capturent une image à chaque fois qu’un animal passe devant le capteur de mouvement. Le lynx est un prédateur pour les chevreuils et chamois. Une précédente étude toujours menée par la fédération du Jura avait révélé que les groupes familiaux de lynx prélèvent un ongulé tous les 5 jours, un individu isolé voit sa moyenne passer à 6,2 à 6,6 jours.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .