Alors que des dérogations permettant la chasse du grand gibier vont progressivement se mettre en place au fur et à mesure que les CDCFS vont se réunir, les chasseurs de gibier d’eau ont décidé de se faire entendre, s’estimant oubliés dans leur rôle de veilleurs sanitaires mais également exposés à des risques de vols.
En effet, avec l’arrivée possible de la grippe aviaire H5N8 dans l’hexagone, il ne fait aucun doute que les sauvaginiers sont les 1ers donneurs d’alertes et sont de véritables sentinelles de la nature. Nul n’est aussi bien placé qu’eux pour surveiller les lieux de migrations et d’hivernages. Dès lors, pourquoi le ministère de la transition écologique et solidaire n’a-t-il pas prévu de dérogation pour permettre aux chasseurs de gibier d’eau de se déplacer et de pratiquer cette activité ? C’est en tout cas la question que se posent beaucoup de chasseurs et qu’ils rétorquent aujourd’hui à leurs préfets.
Ainsi, 5 associations de chasseurs de gibiers d’eau (actcm : association des chasseurs de tonne de Charente-Maritime, ascge : association saintongeaise des chasseurs de gibier d’eau, acm17 : association de chasse maritime, ancge : association nationale des chasseurs de gibier d’eau, acaas : amicale des collecteurs d’ailes d’Aunis et de Saintonge) viennent de s’unir et de se mobiliser pour que dans chaque département les représentants de ces dernières écrivent à leur préfet respectif afin de considérer leur mission d’intérêt général et d’octroyer des dérogations de chasse. En outre, dans ces courriers adressés aux préfets les représentants insistent sur le fait que si la population est confinée ce n’est pas nécessairement le cas des voleurs, et que laisser 1 mois, si ce n’est plus, les huttes, tonnes et gabions libres, c’est exposer les installations à de nombreux risques de vols.
L’ANCGE a édité en parallèle une fiche pratique de la chasse du gibier d’eau pendant la pandémie de COVID19, montrant ainsi aux autorités que les chasseurs sont prêts à chasser dans le plus strict respect des règles sanitaires et plus que jamais sont mobilisés.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.