La question du blaireau divise en France et si les chasseurs qui connaissent bien ce dossier apportent leurs données devant les tribunaux pour justifier sa chasse, les animalistes ont régulièrement gain de cause. Ils parviennent à faire interdire la vènerie sous terre du blaireau dans plusieurs départements mais cette fois, la Fédération des chasseurs de Corrèze est sortie gagnante des tribunaux.
Un travail de fond de la Fédération Départementale de Corrèze.
C’est dans un communiqué sur ses réseaux sociaux que la Fédération des Chasseurs de Corrèze a indiqué avoir pu défendre la chasse complémentaire du blaireau sur son territoire.
Alors que la période de chasse complémentaire du blaireau autorisée par arrêté préfectoral était contestée par l’ASPAS, Aves France et One Voice, les chasseurs, les agriculteurs, les louvetiers et les déterreurs, ont su produire un dossier de qualité, avec des données suffisantes pour légitimer la tenue de cette chasse.
De leur côté, les animalistes n’ont, comme souvent, produit aucun argumentaire autre que de dire que cette période de chasse n’était pas justifiée.
Un même tribunal et des décisions différentes.
Le tribunal administratif de Limoges a donc statué en faveur des chasseurs de Corrèze et tout le monde s’en félicite mais des questions se posent.
Il y a quelques jours, ce même tribunal a statué sur la même question du blaireau en Haute-Vienne mais en est arrivé à la conclusion inverse en interdisant la chasse complémentaire du blaireau.
La Fédération des chasseurs de Haute-Vienne avait pourtant elle aussi constitué un dossier solide justifiant la pratique de ce mode de chasse.
Il faut donc se demander pourquoi la même juridiction donne des avis différents pour deux territoires qui apportent tous les deux des données de qualité concernant un mode de chasse qui est systématiquement attaqué par les animalistes sans arguments.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .