Le renard est un prédateur opportuniste qui ne recule jamais devant la perspective d’un bon petit repas. Si dans la nature, les choses semblent être évidentes, elles le sont beaucoup moins lorsque le goupil essaie de grignoter des êtres humains jusque dans leurs maisons.
C’est l’objet d’un article paru dans Corse Matin, dans lequel on peut lire le témoignage de Laurence, une femme victime par deux fois d’une attaque de renard durant son sommeil.
L’habitante de Belvédère-Campomoro raconte :
« Je me suis réveillée avec quelque chose qui me mordait le bras ! Il est revenu deux nuits plus tard, et s’est attaqué à mon visage. »
Par chance, son mari médecin a pu rapidement soigner ses blessures et la victime de maître renard a été contrainte de se rapprocher des services de santé pour faire le nécessaire en ce qui concerne les maladies transmises par le goupil.
En effet, la rage a disparue de l’île depuis des décennies mais il reste encore bien d’autres risques comme le tétanos par exemple.
Les services de santé le confirment, les attaques de renards en Corse ne sont plus aussi rares qu’auparavant et chaque année, de plus en plus de cas sont déclarés.
Attirés par les odeurs et les déchets laissés par les touristes sur les chemins de randonnée, dans les camping ou sur les plages, le petit canidé s’approche toujours plus des zones urbaines et cela inquiète les experts.
Une sorte de cercle vicieux se mettrait en place concernant le renard corse car leurs apparitions auprès des zones peuplées par l’Homme suggère une augmentation de la densité de population. Les renards nourris volontairement par les touristes ou qui profitent de leurs déchets ont moins de mal à s’alimenter qu’en pleine nature, ce qui leur simplifie la vie et favorise leur reproduction, et donc, il y aurait de plus en plus de renards en Corse.
Le plus inquiétant, c’est que le renard semble s’habituer à la présence de l’homme et n’en a plus peur. C’est une explication plausible de l’augmentation du nombre d’attaques de renards sur l’Homme depuis quelques années et si rien n’est fait, les choses ne feront qu’empirer.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.