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L’étude LIMICOLIRE se poursuit : la Fédération des chasseurs de la Manche appelle à la mobilisation

Chevalier gambette
Chevalier gambette

Alors que les grandes marées s’annoncent sur nos côtes, les conditions de chasse s’avèrent particulièrement favorables pour les limicoles. Ces oiseaux migrateurs, qui regroupent de nombreuses espèces qui constituent une source d’informations essentielle pour administrer des bases de données sur nos écosystèmes littoraux. C’est dans ce contexte que l’étude LIMICOLIRE représente une opportunité unique pour les chasseurs de contribuer à la connaissance scientifique de ces espèces comme le fait remarquer la Fédération des chasseurs de la Manche.

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LIMICOLIRE : une étude scientifique d’envergure

L’étude LIMICOLIRE constitue un programme de recherche ambitieux visant à mieux comprendre la dynamique des populations de limicoles.

L’objectif principal consiste à établir avec précision le sexe-ratio et l’âge-ratio de ces oiseaux migrateurs, des données cruciales pour évaluer l’état de santé des populations et leurs tendances évolutives.

Cette démarche scientifique s’inscrit dans une approche collaborative, où les chasseurs deviennent des acteurs privilégiés de la recherche ornithologique.

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En effet, leur connaissance du terrain, les prélèvements réalisés et leur présence régulière sur les zones de chasse leur confèrent un accès unique aux spécimens chassables, permettant de constituer une base de données exceptionnelle par sa richesse et sa représentativité géographique.

Cette base de données constituée grâce à la contribution des chasseurs, permet aux chercheurs d’analyser les variations démographiques des populations de limicoles.

Ces indicateurs constituent des outils de gestion indispensables pour la conservation à long terme de ces espèces migratrices.

La Fédération des chasseurs de la Manche appelle ses adhérents à participer activement

Les chasseurs sont invités à déposer leurs limicoles prélevés directement au siège de la FDC50, où les spécimens seront analysés par les équipes scientifiques.

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Pour ceux qui ne peuvent se déplacer, un service de collecte est organisé. Il suffit alors de contacter les services de la fédération au 06 85 10 50 42 pour organiser la récupération des échantillons.

Cette collaboration entre le monde cynégétique et la recherche illustre parfaitement comment la passion de la chasse peut servir la conservation et la compréhension de nos écosystèmes naturels.

7 réflexions sur « L’augmentation des prélèvements de sangliers ne rime pas avec baisse des indemnisations de dégâts »

  1. Ok, bien compris les courbes. Alors comment expliquer qu’il existe encore des départements où il est obligatoire de poser un bracelet sur les sangliers prélevés ? Payer les dégâts, ou réserver la chasse à une catégorie ?
    Est-ce qu’il ne serait pas plus efficace de permettre à tout le monde, par tout temps et tous lieux de prélever des sangliers ?
    Les populations à ce moment là baisseront peut-être, mais il sera obligatoire de mettre en place des structures et des filières pour écouler les bêtes, les congélateurs des chasseurs débordent. Il n’y a plus aucun intérêt à en tuer. L’argent issue des filières pourrait permettre de prendre en compte des frais, de tous ordres et notamment une partie des dégâts peut être.

  2. Bonjour,il faut changer de stratégie pour le sanglier, il faut des tirs de nuit aux abords des cultures à risques !!!!sinon la faillite arrive à grand pas!et offrir les sangliers aux personnes dans le besoin après dépeçage ou une filière de valorisation .

    1. Aïe…Aïe… Ce serait si simple mais non !
      Le sanglier issue d’une chasse  »dite normale » ne peut être  »offert » qu’entier, vidé mais non dépecé ,avec l’avertissement du risque de trichinellose (il sera dépecé que dans le cas de la distribution aux chasseurs du jour)
      Les filières de valorisation ne prendront que les animaux issue d’une chasse normale ,(et non dans le cas de destruction)et qu’après premier examen effectué par une personne ayant suivi la formation dépeçage et dans des conditions sanitaires et chaine du froid adéquat, (avec document ,sans aucunes anomalies signalées, d’origine et de suivi, sans aucunes anomalies signalées,) sinon équarrissage au frais du  »fournisseur »
      Dans le cas de tirs de nuit, de battue administrative ou encore de piégeage, qui sont des actions de destruction, normalement la destination finale est……………… l’équarrissage.

  3.  » »’L’augmentation des prélèvements de sangliers ne rime pas avec baisse des indemnisations de dégâts »’
    Cette affirmation est totalement absurde, tant que le taux de croissance des populations de grande faune sera toujours supérieur au taux de prélèvement.
    Comment les dégâts pourraient diminuer lorsque les populations continuent de croître.
    C’est le faux discours très fallacieux que l’Administration et les commissions CDCFS ne cessent de répéter , sans jamais proposer de solutions pertinentes

    1. Et….Et il y a les propriétaires, les agriculteurs et les allocataires :
      -qui ont la chasse pratiquement toute l’année (souvent louée, bien qu’acceptant les indemnités dégâts)
      -qui ont la possibilité de piéger le sanglier (pour destruction ,pas reprise) sans restriction et qui vous déclarent haut et fort  »si nous détruisons les mères et les petits nous n’aurons plus rien a chasser l’année prochaine » et donc ne font rien
      A en croire ces messieurs que: s’il n’y a plus de sangliers il n’y aura plus de chasse !!!
      Donc les outils existent alors si:  »Vous ne chassez pas, vous ne piégez pas, ou encore si vous louez votre ‘chasse’ = PAS D’INDEMNISATIONS DEGATS .Un point c’est tout! »

    2. (Re…Et…) Le cas du fermier agriculteur qui déclare les dégâts auprès de sa Fédé, alors que le propriétaire du fond loue la chasse y compris les terrains en fermage.
      Je pense que dans ce cas là la facture devait être adressée au propriétaire et non a la Fédé .

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