Le cerf est un animal endémique de la Corse mais la gestion des populations est une question épineuse qui soulève les inquiétudes de chacun. Depuis sa disparition dans les années 70 jusqu’à sa réintroduction, le sort du cerf concerne de nombreux acteurs qui s’interrogent sur la suite à donner aux évènements depuis que le nombre d’individus est redevenu important.
Le cerf en Corse, une réintroduction qui a bien fonctionné.
Dans les années 80/90, la question de la réintroduction du cerf en Corse a été soulevée par les autorités et plusieurs groupes ont été relâchés depuis sur l’île de beauté.
Une décennie plus tard, on dénombrait alors près de 500 individus présents sur l’île et les indices permettant d’estimer l’augmentation de la population dans les années à venir étaient tous très positifs.
Aujourd’hui, la réintroduction du cerf est un franc succès en Corse et le Parc Naturel Régional de Corse communique régulièrement sur cette réussite.
La croissance de l’espèce sur l’île est considérée comme exponentielle et le suivi régulier des individus permet d’estimer aujourd’hui la population globale insulaire suffisamment développée pour commencer à penser à sa gestion.
Ne pas y penser, c’est s’exposer à des situations critiques comme celle que connaît actuellement l’Australie qui est obligée d’abattre des chevaux sauvages en hélicoptère.
Car qui dit augmentation de la population d’une espèce dit également gestion de cette population qui risque de causer des dégâts si elle n’est pas maintenue à un seuil qui permet d’éviter les débordements.
Les associations ne veulent pas que le cerf devienne un gibier en Corse.
Des associations comme Global Earth Keeper, une ONG dont la mission est la protection animale, s’inquiètent déjà du discours tenu par le Parc National de Corse.
Le fait de prévoir cette gestion du cerf peut le faire basculer vers un statut dont les animalistes ne veulent surtout pas entendre parler, celui de gibier. Pire encore, certaines parlent même de voir le cerf classé comme « nuisible » sur l’île si les dégâts causés par ces derniers sont avérés et récurrents.
Devant ce discours alarmiste, il faut pourtant relativiser. Ce n’est pas parce que le PNRC décide de penser en amont à la gestion des populations de cerfs présentes en Corse que l’expèce sera classée ESOD du jour au lendemain.
Ce n’est d’ailleurs pas dans l’esprit des chasseurs locaux non plus que de modifier le statut de l’espèce car ce sont eux qui payent les dégâts causés notamment par le gibier. Il faut dire que les nemrods insulaires ont déjà bien assez de travail avec les sangliers en Corse.
Comme le rapporte Corse Matin après avoir interrogé le Président des chasseurs Corses, les chasseurs accepteront des missions de régulation si c’est nécessaire sans changer le statut du cerf, surtout dans l’optique de ne pas introduire d’autres prédateurs naturels que l’homme :
« Nous ne sommes pas pour une ouverture de la chasse au cerf car nous ne voulons pas avoir à prendre en charge les dégâts qu’il pourrait commettre. En revanche, nous serions prêts à travailler à la régulation de l’espèce sous l’égide des institutions en cas de besoin spécifique. Il est inimaginable d’implanter en Corse des prédateurs comme les ours ou les loups pour que s’opère une régulation naturelle. »
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.