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Indemnisation des dégâts de gibier : un système qui n’incite pas les agriculteurs à la prévention

dégâts de gibier
dégâts de gibier

Les dégâts causés par le grand gibier sur les cultures est une problématique que la Fédération Nationale des Chasseurs souhaite travailler sérieusement depuis la rentrée en annonçant clairement ses ambitions dans son dernier point presse. Parmi les arguments avancés sur un aménagement de la gestion des indemnités, elle pointe du doigt un système qui ne met pas assez l’accent sur la prévention et la protection des cultures.

mars

Dégâts de sanglier synonyme d’indemnisation?

Cette année, on l’aura compris, les Fédérations de chasse veulent que la question des indemnisations des dégâts de gibier soit abordée. La FNC plébiscite une réforme urgente du système actuel qui possède selon elle de nombreuses lacunes.

Parmi les arguments avancés, le fait est que les agriculteurs ont pris cette habitude de se tourner vers les chasseurs dès que des dégâts sont commis sur des cultures.

C’est devenu un véritable réflexe que les chasseurs aimeraient pourtant éviter.

Le système devrait promouvoir la prévention et inciter les agriculteurs à limiter l’exposition aux risques.

Des dispositifs de prévention existent.

Il serait logique que, comme pour les dégâts causés par le loup sur les élevages, une procédure de prévention des cultures soit mise en place avec des clôtures, des équipements d’effarouchement ou la présence de cultures répulsives soit demandées avant de procéder à des indemnisations systématiques.

Peu d’agriculteurs investissent réellement dans la prévention et la protection de leurs cultures puisque beaucoup comptent aussi sur le fait que les chasseurs vont payer en cas de dégâts.

Les Fédérations de chasse veulent faire bouger les lignes et pour cela, une motion a d’ailleurs été votée et devrait geler les petits dossiers d’indemnisation pour cette saison 2025-2026 tant que l’État ne s’engagera pas dans une réforme du système actuel ou qu’il ne soutiendra pas plus les chasseurs dans le paiement de ces factures.

bar compo
Le saviez-vous ?  Deux véhicules et une dizaine d'armes saisies à deux braconniers du Calvados qui tuaient des grands cervidés

25 réflexions sur « Indemnisation des dégâts de gibier : un système qui n’incite pas les agriculteurs à la prévention »

  1. Bonjour,
    Je suis agriculteur (céréales et ovins viande) et je vais présenter les problèmes de mon secteur : Est de l’Aube.
    La fédération des chasseurs fait faire de l’élevage en forêts : maïs, eau en été, sel et ne fait rien en contre partie pour faire tuer des sangliers et protéger nos cultures.
    Les louvetiers sont contents quand ils ont tuer 1 sanglier dans un troupeau de 30 ou 40 et évidement c’est systématiquement un mâle !
    Il n’y a aucun jour de chasse en commun des différentes chasses de façon à tuer un maximum de sangliers. Aucune ou trop de peu de battue organisées hors des six mois de chasse.

    La majeure partie de mes parcelles sont touchées avec beaucoup de dégâts.
    Je fais du semis direct et les trous et mauvais nivellement des parcelles ont des conséquences négatives sur mes rendements, le salissement, l’efficacité des désherbants, …
    Les prairies sont saccagées entrainant des pertes de fourrages, des risques sanitaires dû à la terre et cailloux dans les fourrages enrubannés, le salissement des prairies, …

    Les indemnités que l’ont touche sont dérisoires, seulement la perte de rendement. Toutes ces autres choses, devrait également être remboursés :
    – perte de volume de paille
    – casses matériel
    – perte de temps
    – mauvaise qualité de semis
    – désherbage supplémentaire
    – destruction des clôtures à moutons par les sangliers
    – moutons qui se sauvent à cause des tous fait par les sangliers dans les grillages
    – chasseurs qui se croient tout permis en roulant dans les champs
    – ….

    L’ensemble des ces pertes non indemnisées représentent environ 15 000 € par an sur mon exploitation. Je ne suis pas sûr que beaucoup de personne accepte de donner un smic pour financer le loisir des autres.

    Le loisir des uns, ne doit pas impacter le travail, le revenu et la vie privée des autres.

    1. Votre malheureux témoignage se reproduit exactement dans mon département , comme dans beaucoup d’autres en France.
      Le malheur des agriculteurs est que souvent ils ne sont pas défendus par leur syndicat majoritaire FDSEA qui siège en commissions CDCFS.
      Ces instances de prises de décisions des DDT, sont trustées par des syndicalistes FDSEA qui se comportent comme des agents des FDC, car étant chasseurs eux mêmes , et se présentant comme détenteurs de la science infuse cynégétique. Pour ces gens la défense des victimes est souvent secondaire.
      Ces syndicalistes représentent le plus grand danger pour les victimes agricoles.

    2. A force de demander sans cesse des subventions pour tout et n’importe quoi,cela finira que vous aurez plus rien et c’est ce qui est en train de se passer. Au lieu de vivre que de subventions, valorisez votre travail et arrêtez de vivre sur le dos du contribuable…..

      1. A force de privilégier la chasse loisir à la chasse de regulation comme elle a été definie par les lois des années 1970, les chasseurs finiront par être dépossédés de leur role de gestion cynégétique.
        Car le fléau ne se limite plus à l’agriculture, mais à toutes les activités humaines, il suffit de lire les articles de ce jour sur ce site: accident routier, attaque sur des humains, mais aussi tous les jours: accidents ferroviaires, destructions des jardins publics, jardins privés, terrains de sports, …….
        L’Etat doit edicter de nouvelles règles de régulation et ne plus s’en remettre aux Fédés de chasse qui ne peuvent plus être juges et arbitres dans cette catastrophe artificiellement maintenue.

  2. Bonsoir à tous.
    je ne suis pas chasseur
    Mais face à vos déboire, arrêtez la chasse pendant 1 an ou deux.

    Ils vont revenir tout penneaux comme la suisse.

    Et fini les indemnités.

    Tout travail mérite salaire!!!

    Cordialement Florent.

  3. Je suis éleveur de vaches laitières et vaches allaitantes,avant de venir nous mettre ça sur le dos,il faudrait peut être attaquer certains de la fédération qui s’amusent à nourrir les sangliers et ensuite réclamer des indemnités,pour ma part quand il y a des dégâts,on touchent des clopinettes

  4. Les agriculteurs sont responsables de l’augmentation de la population de sanglier car auparavant les chasseurs chassaient le petit gibier dû à l’extermination de la population de petit gibier du fait de l’agriculture intensive des fongicide des pesticides les chasseurs se sont tournés vers le grand gibier n’ayant plus le choix avec le consentement des agriculteurs car beaucoup de grandes chasse ont acheté des tonnes de maïs pour l’alimentation des sangliers et de ce fait du développement de ce dernier à ce moment-là les agriculteurs très content de vendre leur maïs aux grandes chasse ne se plaignait pas de dégâts car ses était la plupart parqué suite au changement climatique et à plusieurs tempêtes les arbres se sont couchés sur les clôtures de ces parcs et on contribué au développement des sangliers en plaine d’où l’augmentation des dégâts pour les cultures, et l’augmentation de la facture bien sûr exclusivement payer par les chasseurs d’autres agriculteurs ont profité de cette manne financière en semant des cultures sur des terrains non recommandés au développement de celle-ci mais qui était vulnérable au niveau de dégât des, vu la population de sanglier à proximité vu cette manne financière les, agriculteurs les agriculteurs ont touché de l’argent qui leur profitaient par rapport au revenu qu’ils auraient perçu en récoltant sur des terres non approprié à ccelle-ci, ceci est un exemple parmi tant d’autres.

  5. La fédération de chasse possède le monopole du droit de chasse, en contrepartie de quoi, elle doit gérer les quantités de sangliers.
    Aujourd’hui, la fédération de chasse voudrait garder son monopole, laisser dériver la quantité de sangliers et ne pas indemniser ceux qui subissent les dégâts dûs à leur gestion problématique.
    C’est non, ça suffit.
    Si vous vouliez réellement que les dégâts diminuent, vous commanderiez une diminution drastique du nombre de sangliers, et en particulier, des laies.
    Ce qui n’est pas fait.
    Vous laissez prospérer pour favoriser les grosses chasses et leurs belles actions de chasse.

    1. Vu qu’il y a trop de sanglier… L’état devrait donner plus d’autorisation de prélever ces sangliers surtout ceux qui s’approchent des terrains publics et jardins de particuliers et de plus cela ferait plus de viande bon marché….. C’est très bon le
      Sanglier….

  6. j ai pu personnellement constater dans l oise des emblavement de plus de 20 hectares dans l oise , en limite d une foret ce qui rendait les battues orgnisées sans résultats… les sangliers soient tournaient dans le mais en abimant les chiens soient filaient au bois sans pouvoir etre tirés….

  7. Ceta rticle fait état de la nécessité des agriculteurs de prendre des dispositions pour protéger (ou tenter de protéger) leurs cultures.
    Je suis agriculteur et propriétaire d’un bien familial (bois + terres) de plus de 130 ha d’un seul tenant. Il m’est interdit de chasser le moindre sanglier !
    En effet, la fédération départementale interdit toute chasse du moindre sanglier et tout plan de chasse si le territoire de chasse n’est pas supérieur à 150 ha d’un seul tenant.
    C’est à ne rien comprendre. Je veux protéger mon bien, mes activités et cela m’est interdit ! La réponse est « regroupez vos terres » pour agrandir votre territoire et pouvoir chasser.
    Il n’est nullement question de pression de gibier mais de dimension de territoire de chasse. Bien entendu, je ne manque pas de demander régulièrement des indemnités dus aux dégâts des sangliers à la FDC qui est responsable de cette situation ubuesque !

    1. Bonjour Antoine. Il se peut que je sois parfois sévère envers certains viticulteurs qui ne jouent pas le jeu, mais qui réclament des indemnités. Si vous suivez Chasse passion et les commentaires sur ce sujet vous verrez que je critique beaucoup plus mes pairs. En effet, on parle de faire diminuer les populations, mais tout le monde ne peut pas tirer le sanglier, je le dis dans mes commentaires. On doit en terminer définitivement avec les bracelets (qui servent peut-être qu’à financer les dégâts, mais qui surtout protègent pour garder les bêtes à chasser pour une certaine élite). Le sanglier doit pouvoir être chassé par tous, tout le temps et ne plus avoir de superficie minimum pour y être autorisé, du moins temps que l’on est débordé par la surpopulation. Il faut également mettre en place une filière pour écouler la viande, les congélateurs débordent et plus personnes n’en veut. Avec ce début de mesure on verra peut être un changement. Si rien n’est fait, celui qui protège « ses sangliers » (comme je l’entends parfois de la bouche de certains directeur de chasse) et qui parvient à faire admettre que l’on ne peut le chasser que sur une superficie minimum, se déclarera non responsable le jour où tout sera perdu. Actuellement, dans certaines Régions de l’Est et du Nord les bracelets sont obligatoires, ce n’est pas normal. Chaque porteur de permis doit pouvoir sur son territoire, quelque soit sa superficie, quelque soit la saison tuer les sangliers à la rencontre en chasse individuelle. Il n’y a que comme cela que les populations vont redescendre et ce n’est pas certain.

    2. Antoine,
      La réglementation du plan de chasse n’impose pas d’avoir une certaine superficie. Renseignez vous et vous verrez. Votre argument ne tient pas.

    3. Selon le Schéma Départemental de Gestion Cynégétique du Puy-de-Dôme,
      Pour le sanglier :
      « Pour éviter le morcellement des territoires une surface
      minimum détenue par bail de 150 ha d’un seul tenant est
      obligatoire pour chasser le sanglier »

      Le Président de la FDC m’a clairement dit que je n’aurai pas de plan de chasse, que je ne serai pas indemnisé et que je ne pourrai pas chasser tant que mon territoire ne sera pas > 150 ha !

  8. Que dire des cultures qui ne sont pas travaillées comme il se doit (moins d’engrais, moins de traitement etc), en somme délaissées, mais pour lesquelles on demande des indemnités. Que dire des viticulteurs qui peuvent produire un quota maximum de raisin. Qui peuvent vendre le surplus également avec un quota et à qui il reste encore du produit. Ce reliquat naturellement n’est pas protégé et subit des dégâts. Alors indemnisations ou pas. Et encore, heureusement que la situation a évoluée, en effet il y a quelques années, les dégâts étaient payés sur la valeur de la bouteille terminée.
    Nous n’avons plus a payer, nous ne protégeons pas les sangliers. Le système va péricliter tout seul. Les congélateurs sont pleins, la viande ne s’écoule pas, ça devient vraiment une corvée. Si un système de valorisation de la venaison n’est pas mis en place, la catastrophe arrivera.

    1. Vous avez entièrement raison .
      Certaines parcelles ont été remises en culture juste dans le but de toucher des indemnités de dégâts .
      D’autres parcelles sont indemnisées 100% dégâts sangliers, alors que le blaireau est au moins responsable à 50%.
      Comment se fait il qu’il y ait aussi peu de déclaration de dégâts de blaireaux ?
      Tout simplement parce qu’ils ne sont pas indemnisés !
      Ce qui laisse la part belle à One Voice et autre ramassis d’ecolos pour attaquer les périodes complémentaires de detterage du blaireau.

  9. Pour les chasseurs la chasse est un loisir .
    Pour les agriculteurs l’activité agricole est leur travail et leurs salaires.
    Il est très difficile de concilier les loisirs des uns et le travail des autres.
    Pour que le loisir soit le plus attractif, pour beaucoup de chasseurs il faut pléthore de bétail à
    tirer.
    Pour les agriculteurs le travail est déjà suffisamment complexe, avec tous les événements contrariant qui s’entassent : réchauffement climatique, tornades, pluies diluviennes, régulation de l’irrigation, suppression de produits phytosanitaires qui entrainent des concurrences déloyales avec les produits importés, entassement de la paperasserie administrative. Le monde agricole n’a plus les moyens humains et financiers pour faire face à ce nouveau fléau entretenu et soutenu articiellement pour le loisir qu’est la chasse.
    Une prise en charge des dégâts par l’Etat, entrainetait une plus grande DERESPONSABILISATION DES CHASSEURS.
    De surcroît les dégâts ne se limitent pas à l’agriculture mais à toutes les activités humaines: forestières, risques sanitaires pour les élevages agricoles,routières, ferroviaires, jardins publics, jardins privés, terrains de sports,……
    Tous ces dégâts commencent à couter des fortunes à la collectivité.
    La solution passe par la réduction des troupeaux avec les chasseurs ou sans eux. Le mieux serait qu’ils finissent par entendre raison, mais l’égoïsme des catégories humaines domine.
    Il est donc temps que l’Etat en faillite siffle la fin de toutes ces dépenses qui n’ont pas lieu d’être et prenne ses responsabilités, ce qu’il ne fait plus depuis des décennies

    1. Tout est fait pour entraver la chasse après ne venez pas pleurer s’il y a une surpopulation de sangliers qui ravages les cultures les biens privés ect…
      Faire payer les associations anti chasse les ecolos.stop de faire payer les FNC.

    2. La participation de l’État aux indemnisations des dégâts associée a une assurance DERESPONSABILISERAIT totalement les chasseurs, celà deviendrait OPEN BAR.
      La solution est dans le combat pas dans les indemnisations, car les dégâts ne concernent plus uniquement l’agriculture, mais également des tas d’autres activités quotidiennes des Français.
      Arrêtons de nous focaliser sur l’indemnisation des dégâts agricoles.
      Que l’Etat édictent et imposent de nouvelles règles de régulation. Beaucoup de méthodes efficaces , de procédures, de moyens ne sont pas mis en place sous la pression du monde Cynegetique qui exige toujours plus de grande faune pour que le LOISIR, comme disent beaucoup de chasseurs, soit encore plus jouissif.

    3. M.Dansart, vous mettez dans le même panier tous les chasseurs.

      Vous parlez de loisir pour la chasse aux sangliers alors que pour nombre d’entre nous c’est une contrainte énorme de régulation!

      Vous parlez de travails mais que pensez vous? Que nous ne travaillons pas?
      Navré de vous le dire mais ce n’est pas les anciens qui mènent les chiens, ils n’en ont plus la capacité physique. Ainsi c’est des personnes comme vous et moi qui travaillons et avons nous aussi des contraintes qui menons les chiens.
      Pas de chiens, pas de battue, pas de battue, pas de prélèvement.

      Vous dites dans une autre sujet (en réponse à mn propre poste) que si nous ne voulons plus assumer ce role de régulation c’est à l’état de prendre en charge et qu’avec 90 millions d’euros il y a largement de quoi faire: C’est faux !
      Le canton de Genéve en est la preuve vivante : 144km² régulé professionnellement pour un cout de 880.000€ avec 15 gardes (source : le site du canton de Genéve)
      La France c’est 500 000 km² soit au cout /ha du canton de Genéve 3 .055 .555. 555 !
      Qu’il y ai des imbéciles dans les rangs des chasseurs avec des chasses à pognon oui cela existe, mais que vous mettiez tout le monde dans le même panier c’est anormal !

      Je vais vous donner un exemple que je connais bien mon ACCA:
      Ma commune : 3096ha avec une surface agricole représentant 42.9% de la surface de la commune (un peu plus de 1300ha) composé à 88% de vigne et 12% de céréales et prairies.
      L’intégralité de ces 1146ha de vignes font l’objet de poses de clôtures électriques à double fils. La pose de ces clôtures qui le fait? -> Nous les chasseurs.
      Nombre de personnes impliquées dans la pose : 57 chasseurs pour 4 matinées de pose (14 personnes par séances avec seulement 4 agriculteurs/ chasseurs).
      Qui paye les fils électrique ? Nous les chasseurs.
      Qui paye les piquets en fer et béton et les découpes ? -> Nous les chasseurs.
      Qui paye les postes électrique ? -> Nous les chasseurs.
      Qui les entretient en faisant le tour tous les jours ? -> Nous les chasseurs.
      Qui chasse 3 jours par semaine + jours férié + chaque fois qu’il y a un problème avant le 15 aout à fin mars pour + ou moins 200 sangliers prélevés par an? Encore une fois nous les chasseurs !

      Donc faisons le compte :
      On paye tous les dispositifs de protection, on les mets en place, on en repose au fur et à mesure de l’avancée des vendanges, on les entretient y compris pendant l’intersaison (les postes cela s’entretient aussi pendant l’intersaison), on tape tout ce qui bouge en battue.
      A la sortie nous avons quand même pour cette année 8 dossiers de dégâts de déclarés à cette heure (les vendanges ne sont hélas pas terminées) pour un total estimé à 5800€. Qui va payer ces dégats? -> la moitié la fdc, l’autre moitié notre ACCA soit 2900€ sur un budget total de l’ACCA de 9000€.

      Pourquoi y a t’il eu des dégats?
      1) Pas de nourriture dans les bois car pas de gland… est ce notre faute? je ne pense pas. Une solution partielle existe -> l’agrainage dissuasif. Mais là encore qui va aller le faire et payer le maïs pour ? C’est nous les chasseurs
      Sans compter que l’on va nous reprocher de les élever
      2) culture particulièrement appétente avec le manque d’eau -> ça, désolé mais si les sangliers aiment les raisins on ne va pas pouvoir y faire grand chose, surtout que quand l’on fait des points d’eau dans le bois on nous reproche de vouloir faire un élevage
      3) Des fils de clôtures sectionnés à coup de pince coupante… La malveillance nous n’y pouvons rien pourtant on va payer.
      4) Des clôtures cassées par les sangliers: oui il y en a eu. On a donc doublé les clôtures aux endroits stratégiques en mettant 2 fois 2 fils
      5) Des sangliers qui passent par la route pour accéder aux cultures. malheureusement on ne peut pas clôturer chaque parcelle

      A noter que des tirs de protections sont aussi fait sur les vignes : 19 sangliers tués cette année.

      Donc M.Dansart, je ne connais pas la situation chez vous, mais maintenant que vous connaissez la mienne, je vous pose la question: Que voulez que nous fassions de plus ?

    4. Merci d’arrêter de multiplier les pseudos pour répondre dans les commentaires, si jusqu’ici, cela ne nuisait pas aux débats, il semble que certains sujets sont plus visés que d’autres. A l’avenir les réponses multiples à un même article sous différents pseudos seront modérées.

      Bonne continuation à tous.

    5. Je suis agriculteur,pour mes vaches je dois faire des clôtures et si celles ci sorte je dois refaire les clôtures, les chasseur eue se permettent de vouloir infliger aux agriculteurs de protéger leur gagné pain,ici en Belgique pariel cela a ete prouvé les grandes sociétés de chasses pour avoir des actionnaires à des milliers euros ont fait venir pas semi remorque des sangliers élevages et à leur actuelle ces chasses ne sont plus capables de régulation de ceux ci et veulent mettre la pression sur l agriculteurs ils ont voulu louer des territoires de chasses tout en sachant Qu il aurait dû travail pour épargné au maximum les dégâts avec des clôtures adéquates à eue de faire le nécessaire comme je l ai déjà exprimer une ferme de 50hec s ils dois clôturer pour le sanglier 2 à 3 fils cela fait 400m x50 hectares cella lui fera entre 20et 30 km de clôtures à poser sans oublier l entretien et en nature 2000 avec toutes les contraintes et sans oublier que la fameuse PAC pourra venir controller et nous sanctionner

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18 octobre 2025 Aucun commentaire

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