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L’ex chroniqueur de France Inter « Monsieur Poulpe » renvoyé devant le tribunal pour ses propos sur les femmes de chasseurs

Benjamin Jacquemart dit « Monsieur Poulpe », chroniqueur de France Inter, et la directrice de Radio France devront répondre de provocation publique non suivie d’effet et d’injures publiques devant le tribunal correctionnel. Un procès aura lieu suite à la plainte de 31 fédérations et 16 particuliers chasseurs.

Une chronique qui a fait scandale.

Le 2 novembre 2022, une chronique diffusée sur France Inter avait provoqué un tollé au sein de la communauté cynégétique.

Son auteur, Benjamin Jacquemart alias « M. Poulpe », avait notamment proposé de « réguler les accidents de chasse » en créant « l’association des Baiseurs de femmes de chasseurs » pour « réguler les hordes de femmes insatisfaites ».

Cette chronique d’une rare violence, aussi vulgaire que sexiste envers les chasseurs, avait immédiatement suscité l’indignation.

La Fédération Nationale des Chasseurs avait alors lancé une démarche judiciaire collective. Au total, 31 fédérations et 16 particuliers, dont Willy Schraen, président de la FNC, ainsi que des femmes de chasseurs, ont porté plainte contre le chroniqueur.

Des poursuites judiciaires engagées.

Le chroniqueur et la directrice de Radio France sont désormais renvoyés devant le tribunal correctionnel pour provocation publique non suivie d’effet et injures publiques envers des particuliers, au sens de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

L’ARCOM, saisie à l’époque des faits, s’était contentée de rappeler à l’ordre la directrice de la radio. Quant à « Monsieur Poulpe », il a disparu de la grille des programmes de France Inter dès septembre 2023.

La FNC ne manquera pas de tenir informés les chasseurs des suites de cette affaire judiciaire comme elle a pu l’indiquer via sa page Facebook.

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9 réflexions sur « L’ex chroniqueur de France Inter « Monsieur Poulpe » renvoyé devant le tribunal pour ses propos sur les femmes de chasseurs »

  1. Pas d’inquiétude l’ARCOM va leur trouver toutes les excuses possibles et imaginables ce pays part à vau l’eau et ce n’est pas fini hélas

  2. Le poulpe le vrai est beaucoup plus intelligent que cet individus ordurier et C – N.

    Ne pas oublier celles et ceux autour de ce mou et flasque du cerveau qui ricanent bêtement à d’énormes propos emprunts de connerie immondes.

    C’est la radio publique gauchiste ou de la gauchiasse, la France rurale profonde aux traditions bien ancrées les vomissent ou les dégueulent tripes et boyaux.

    Ils se la racontent entre eux (bobos urbains escrolos) mais ça tombe à plat sauf à intenter des procès à ces clampins.

  3. « L’ARCOM, saisie à l’époque des faits, s’était contentée de rappeler à l’ordre ».
    Pas de surprise, l’ARCOM ne condamnera jamais une radio d’État conforme à l’idéologie gauchiste et woke. Quant au jugement à venir, attendons la suite. Notre Justice infestée d’idéologues rouges saura trouver à ce chroniqueur mal embouché de « bonnes intentions » comme elle a su en trouver pour blanchir Dame Rousseau pour qui « les chasseurs pointent le fusil sur leur femme quand ils ne sont pas à la chasse ». Par contre, cette Justice a su condamner pour « sexisme » un agriculteur de Carcassonne qui a osé dire à Dame Rousseau « d’aller faire la soupe ». Pour en revenir à L’ARCOM, elle a fermé arbitrairement, on s’en souvient, la Chaîne C8 de monsieur Hanouna au mépris de milliers de téléspectateurs et surtout de la Liberté d’Opinion. L’ARCOM aimerait bien fermer CNews, la chaîne « 100% politique » et hors service public, qui ose parler sans tabou et balancer des vérités qui font mal à certaines oreilles (on sait lesquelles). Hélas, notre pays qui fut jadis un pays démocratique ne reconnait la Liberté d’Expression et d’Opinion que si elle est conforme à la Doxa dominante. Nous sommes tombés bien, au rang du Stalinisme, dans notre pauvre France.
    Le jugement à venir sera sans surprise ou, en tous cas, profondément « Humaniste ».

  4. Effectivement, nous sommes intéressés de connaître la suite donnée, nous nous attendons à peu de chose comme résultat s’agissant d’une Radio du service publique. Nous constatons encore une fois l’idéologie de ces personnes et le degré d’intelligence. En tout les cas je comprends que nous arpentions nos garrigues et nos forêts pour nous mesurer à des animaux bien plus intelligents que ces pleutres. Je terminerai en rassurant ce chroniqueur, qu’il ne s’inquiète pas pour nos femmes, elles apprécient beaucoup plus leurs maris chasseurs que ces bobos parfumés qui ne seraient pas capables d’écorcher proprement un poulet pour la famille, plutôt que de l’acheter sous emballage plastique.

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