Pour avoir confondu une aigrette garzette avec un cormoran, en avril 2019, sur un étang de la Dombes (Ain), un homme a été verbalisé par des inspecteurs de l’OFB qui l’avaient surpris abattant l’oiseau, d’un coup de fusil. Mais cet agriculteur pisciculteur, bénéficiaire d’une autorisation de tirer des cormorans sur l’étang dont il est propriétaire, est aussi un ancien administrateur de la FNSEA, deuxième vice-président de l’ONCFS jusqu’en février 2019.
Jugé dans un premier temps le 19 août 2019, il avait fait l’objet d’un rappel à la loi, ce qui ne fut pas apprécié par la LPO, la FNE de l’Ain et l’ASPAS, qui ont attaqué le contrevenant au pénal. Plus de 2 ans plus tard, lors de l’audience du 16 septembre dernier, la procureure a suivi le premier jugement, demandant la reconduction du principe d’indulgence.
Le tribunal est allé un peu plus loin en le condamnant à verser un 1 € symbolique au titre de préjudice moral à chacune des 3 associations, une amende de 250 € prévue par la loi pour destruction d’espèce protégée, ainsi que 600 € pour l’ensemble des associations, soit un total de 853 €.
Son arme sera détruite, mais la suspension du permis de chasser, demandée par les avocats des associations n’a pas été pas retenue, ni la circonstance aggravante d’avoir eu des responsabilités importantes au sein de la police de l’environnement, avant le fait établi.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .