Face à l’adaptation rapide des loups dans leur environnement, un biologiste Suisse tire la sonnette d’alarme et conseille à tout le monde de fixer très rapidement des limites aux différentes meutes partout sur les territoires ou il est réintroduit.
Le loup est un animal territorial, qui teste ses limites au niveau géographique mais aussi avec les autres animaux dont les humains font partie. En Suisse, dans les Grisons, des randonneurs ont été suivis récemment par une meute ce qui change des témoignages habituels provenant d’agriculteurs ou de bergers. Ces derniers sont plus à même de rencontrer les meutes de loups de par leur activité professionnelle et les troupeaux qu’ils sont amenés à faire circuler en pleine nature, ils accompagnent des proies potentielles.
Ici la différence est que les randonneurs n’accompagnent pas des proies potentielles, ils sont les proies potentielles et même si les loups n’ont fait que les suivre avant de disparaître, cette attitude interroge les experts.
Selon le biologiste Marcel Züger, si les loups sont encore dans leur phase de tests avec leur environnement, il va falloir rapidement leur fixer des limites avant que des situations compliquées ne surviennent :
«Il est important de fixer des limites. Sinon, les loups promèneront bientôt dans la ville de Zurich et se nourriront des restes de McDonald’s dans la rue et risquent même de manger des chats.»
La situation pourrait être bien pire à long terme et les loups pourraient s’en prendre aux humains également :
« Le danger d’une attaque du loup contre les humains est très faible » mais le biologiste ajoute : « Si un randonneur perd son sang-froid et s’enfuit devant lui (le loup, ndlr), cela pourrait déclencher en lui des pulsions de prédateur».
Marcel Züger est lui même pour les tirs sélectifs et une gestion stricte du loup sur les territoires. L’objectif de la sélection étant de conserver la peur que le loup entretient envers l’homme, cela permet de faire disparaître les individus les plus agressifs en laissant survivre les loups les plus timides.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.