La maladie de Lyme est une maladie à laquelle les chasseurs sont particulièrement sensibilisés. Les risques de se faire piquer par une tique lors d’une chasse sont grands et il est nécessaire de prendre toutes les dispositions possibles pour éviter qu’une piqûre ne puisse se transformer en quelque chose de plus grave.
Une étude a récemment été publiée sur le site Biomedcentral.com au sujet d’un vaccin qui serait en développement pour éviter la propagation de la Borrelia afzelii, responsable de la maladie de Lyme.
Une piste prometteuse est actuellement en phase de test chez différentes agences dont l’Inrae (Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement) et l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail).
Une injection de ce vaccin permettrait de créer des anticorps dans l’organisme d’un être humain ou d’un animal et de cibler directement le microbiote de la tique, ce qui pourrait perturber le cycle de la bactérie Borrelia.
Pour le moment, le vaccin n’en est qu’au stade expérimental et difficile de savoir s’il pourra un jour être placé sur le marché. Néanmoins, les résultats obtenus sur les souris mordues par les tiques lors des tests étaient concluants et la quantité de bactéries Borrélia avait diminué significativement chez les individus vaccinés.
Cette innovation dans la façon de prévenir la diffusion de la maladie de Lyme pourrait bénéficier à d’autres maladies transmises par des piqûres d’insectes comme la dengue ou le paludisme par exemple.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .