Alors que la classe politique est encore secouée par les changements récents de gouvernements et de premiers ministres, certains députés continuent de mener de front leurs combats pour ce qu’ils estiment être des grandes priorités et des avancées majeures en France. Par exemple, une députée LFI a annoncé hier qu’une proposition de loi en faveur des « animaux liminaires » allait être déposée par ses soins.
« Cohabiter avec les rats et les pigeons ».
Ersilia Soudais, députée La France Insoumise, a annoncé qu’elle allait s’empresser de déposer une proposition de loi dès la semaine prochaine pour une mesure qu’elle estime être devenu une priorité : le respect des animaux liminaires.
En effet, ces animaux ne sont pas reconnus comme de véritables habitants de nos villes, mais sont plus souvent classés comme des espèces ESOD, qu’il faut donc réguler.
Bien que ces animaux comme les rats et les pigeons soient responsables de dégradations dans les maisons, sur les bâtiments et soient vecteurs de plusieurs maladies, la députée considère qu’il est temps pour nous de nous habituer à eux.
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« Elle a donc annoncé qu »Les animaux liminaires, ça fait longtemps qu’ils se sont habitués à nous, et bien c’est à nous maintenant de nous habituer à eux et à faire en sorte que l’on puisse enfin cohabiter pacifiquement. »
Intégrer les animaux liminaires au code de l’environnement.
Difficile encore de savoir quel sera le contenu de la proposition de loi d’Ersilia Soudais qui explique en quelques mots que l’objectif est, dans un premier temps, de faire reconnaître cette catégorie des « animaux liminaires » dans le code de l’environnement.
Elle explique que les animaux liminaires sont par exemple les rats et les pigeons. Dans cette loi, elle indique qu’elle compte demander « l’interdiction des méthodes létales et cruelles à l’encontre des pigeons ».
Des méthodes de quoi? On imagine qu’il s’agit ici de régulation mais que vont faire les piégeurs s’ils capturent des pigeons dans le grenier d’un bâtiment? Peut-être devront-ils aller les relâcher quelques kilomètres plus loin?
De plus, pourquoi spécifier que cette demande concerne les pigeons et pas les rats? Cela veut-il dire qu’on peut utiliser des méthodes létales pour les rats mais pas pour les pigeons? Sous quel motif?
Bref, l’annonce est encore obscure mais on a vraiment hâte de consulter la version finale de cette proposition de loi!
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .