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Consultation publique : changement de statut du loup et actions possibles des chasseurs

attaque de loup
attaque de loup

C’est un virage attendu depuis des années par le monde rural. La consultation publique ouverte jusqu’au 19 décembre porte sur un projet d’arrêté qui valide enfin en France le reclassement du loup décidé à Berne en décembre 2024 et transposé dans la Directive Habitats en juin 2025. Dans ce projet d’arrêté, le rôle clé des chasseurs dans la gestion du loup est enfin pris en compte.

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Un cadre réglementaire profondément remanié.

Le loup va donc officiellement quitter son statut d’espèce strictement protégée.

Concrètement, ce signifie que les prélèvements ne nécessiteront plus de démontrer l’épuisement de toutes les solutions alternatives ni l’existence de dommages graves aux troupeaux pour pouvoir demander un tir de défense face à un animal problématique.

Une simplification majeure après des années de procédures complexes qui laissaient les éleveurs démunis face aux attaques.

A lire aussi : Combien de loups en France ? Un éleveur remet en cause les méthodes officielles

Le projet instaure un système de cercles selon la pression de prédation. Dans les zones les plus touchées (cercles 0, 1 et 2), une simple déclaration en préfecture suffira donc pour autoriser les tirs. Seul le cercle 3 conservera un régime d’autorisation individuelle. Il faudra malgré tout respecter les quotas imposés selon la population estimée par l’OFB.

Les chasseurs pleinement intégrés au dispositif.

C’est sans doute l’avancée la plus significative du texte mais aussi celle qui fait lever les boucliers de toutes les associations anti-chasse.

Les chasseurs pourront en effet être mandatés par les éleveurs pour réaliser des tirs d’effarouchement ou des tirs de défense létaux en binôme.

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Il faudra tout de même respecter les conditions requises, à savoir posséder permis de chasser valide, une arme déclarée au SIA et avoir suivi la formation dispensée par l’OFB.

Pour les tirs de prélèvement, la louveterie et l’OFB conservent l’entière responsabilité des opérations mais pourront s’appuyer sur des chasseurs formés. Le matériel à visée thermique leur reste toutefois réservé.

Il faut tout de même attendre de voir si le gouvernement maintiendra le cap face aux associations qui crient déjà au scandale. Une chose est sûre : pour les acteurs de terrain, ce texte reconnaît enfin un savoir-faire trop longtemps ignoré par l’administration.

Vous pouvez donner votre avis sur la consultation publique jusqu’au 19 décembre.

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11 décembre 2025 Aucun commentaire

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