Voilà maintenant quelques années, je cherchais un territoire près de chez moi où chasser à la billebaude. J’avais envie de revivre les belles pages d’histoire que mes grands-parents m’avaient contées – quand on partait le matin le long des champs, accompagné de son chien. Le suivre dans ses courses, sentir le moment arriver, le voir s’immobiliser, donner l’ordre et voir un couple de perdrix s’envoler devant soi.
C’est ainsi que je suis arrivé à LA CHASSE DE LA HAYETTE pour la première fois. Avant d’y revenir à de nombreuses reprises, tant les moments passés ici proposaient quelque chose de merveilleux. Un territoire magnifique, de beaux oiseaux et une belle personne pour guide – le maître des lieux : Philippe CLERO.
Philippe est « né » dans la chasse, il y a consacré sa vie. Ayant acquis, au fur et à mesure des années un savoir cynégétique très important, il s’est décidé à créer cet endroit : le temple du chien d’arrêt. Ici, pas de battue car tout se cristallise sur ce moment spécifique où le chien se fige, attendant le déclenchement de l’action de chasse. Un endroit où l’on peut aussi bien venir chasser que dresser son chien.
LA CHASSE
Chasser ici, à quelques encablures de Nancy et de Metz, avec Philippe, c’est savoir qu’on repartira avec le grand plaisir d’avoir passé une belle journée de chasse, enrichie de toutes les connaissances que Philippe aime partager avec vous sur les chiens, les perdrix, les bécasses ou les faisans vénérés. C’est l’écouter expliquer pourquoi il faut planter en mélange des orges avec des trèfles et des radis ou encore des tournesols avec des choux et du lin, chaque variété épaulant l’autre au courant de l’évolution climatique de la saison de chasse.
Maintenir les oiseaux, voilà à quoi Philippe passe son temps. Et il soigne les détails : piégeage, agrainoirs, cages de rappels, volières, aménagement des haies… Et si, bien sûr, à chaque journée de chasse de nouveaux oiseaux sont lâchés, il faut bien comprendre qu’un certain nombre échappe aux fusils et alimente un fond de chasse déjà très important… Ici, les oiseaux lâchés la saison précédente restent et se reproduisent librement. Philippe en tire une grande fierté.
Et c’est pourquoi on peut passer sa journée à chercher le gibier dans ce vaste territoire dont on a l’exclusivité. C’est pourquoi la chasse y est difficile et les oiseaux qu’on prélève nous mettent à l’épreuve, nous et nos chiens. Et si on a pas de chien à soi rien n’empêche de chasser, car Philippe possède un braque allemand, Lascar, qui connait parfaitement chaque recoin du territoire et qui aime plus que tout faire marquer l’arrêt sur une perdrix, un faisan ou pourquoi pas une bécassine car ici, vous avez le droit de prélever tout le gibier qu’on y croise régulièrement – pigeons, canards, bécasses…
LE DRESSAGE
On est souvent confronté, quand on possède un jeune chien, au fait de ne pas avoir de territoires propices à son dressage et il faut souvent se résoudre à le laisser à un dresseur. Mais chez Philippe, on peut venir, avec son chien, bénéficier des conseils d’un expert et confronter son compagnon à des oiseaux combatifs. C’est aussi pour ça qu’on vient ici des quatre coins de l’Europe. Parce que Philippe propose quelque chose que l’on ne trouve que très peu ailleurs. Dressage au rapport, à l’arrêt, à la sagesse au coup de feu. Philippe construit un programme d’exercices sur mesure pour votre chien. Ici, il sera assuré de rencontrer du gibier, spécialement disposé pour lui. Ici, on vient aussi pour déclarer son jeune chien, lui faire découvrir la passion, lui faire connaitre ses premiers arrêts, ses premiers rapports….
Pour écrire ce reportage, je suis retourné passer une après-midi au domaine afin d’assister à l’une de ces séances de dressage « sur mesure ». Victor et Philippe m’y attendaient avec Tasco, un jeune braque allemand venu travailler son l’arrêt. J’ai pu assister à la séance, me délectant des progrès que Tasco faisait au fur et à mesure de la journée. Je n’ai pas pu m’empêcher de demander à Victor comment il était venu ici la première fois. Et il m’a expliqué qu’il était d’abord venu chasser sans chien, avec Philippe et Lascar, son braque allemand. Puis qu’il était revenu avec des amis. Et qu’ensuite, il avait finalement passé le pas et s’était décidé à acquérir un chien d’arrêt – Tasco. Quand il avait fallu le faire travailler et lui apprendre comment chasser, c’est tout naturellement qu’il est revenu chez Philippe. Aujourd’hui, il reste encore quelques séances à Tasco et il sera prêt à courir tout seul dans les cultures. Victor n’attend que ça… Pouvoir l’emmener aux canards, à la bécasse, puis revenir ici, sûr de pouvoir lui faire rencontrer de beaux oiseaux, prêts à le défier.
Comme quoi, quand on rencontre Philippe, Lascar et leur territoire… on finit toujours par revenir ! Alors, n’hésitez pas, venez passer quelques heures ici – pour dresser votre chien ou pour chasser avec lui, vous ne serez jamais déçus.
LES FORMULES PROPOSÉES de 1 à 6 chasseurs, avec exclusivité du territoire :
CHASSE EN PLAINE
12 oiseaux perdrix grises et rouges & faisans communs et obscurs – 320 €
CHASSE AU BOIS DU FAISAN
12 oiseaux faisans obscurs – 320 €
CHASSE MIXTE PLAINE ET BOIS
14 oiseaux perdrix et faisans communs et obscurs – 345 €
CHASSE DU VÉNÉRÉ (sur demande)
ENTRAÎNEMENT – 3 séances permettent en général d’obtenir de très gros progrès :
SANS OISEAU – 100 € la 1/2 journée
6 OISEAUX LÂCHÉS – 150 € la 1/2 journée
SÉANCES DE CYNÉTIR (sur demande)
CHASSE AU VOL
CONTACT :
06 89 34 64 77
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.