La perdrix grise de montagne (ou des Pyrénées) est un galliforme comme la poule domestique. Sa famille, celle des phasianidés, comprend les perdrix, les cailles et les faisans. Parmi les perdrix grises de montagne, seule la sous-espèce pyrénéenne Perdix perdix hispaniensis a fait l’objet d’une description détaillée.
Depuis le début du siècle, la perdrix grise de montagne a très fortement régressé dans le Massif central et les Alpes jusqu’à disparaître de nombreux massifs.
Dans les Pyrénées, sa raréfaction n’est sensible que dans les zones marginales de son aire de répartition. L’arrêt des lâchers de perdrix grises d’élevage devrait permettre de préserver la spécificité de ces perdrix grises de montagne dont le sort dépendra à la fois du maintien des milieux qui lui sont favorables et de l’application d’une gestion cynégétique adaptée.
Caractéristique :
Elle se différencie de la perdrix grise de plaine par son poids plus faible et par son plumage généralement plus sombre.
Comme en plaine, le coq de perdrix grise des Pyrénées possède une tache brune sur le ventre en forme de fer à cheval, mais celui-ci peut être de forme incomplète ce qui n’est jamais le cas en plaine.
Comportement et reproduction :
La perdrix grise de montagne se plaît dans les landes et les pelouses d’altitude. Moins bien adaptée aux rigueurs de l’hiver que les tétraonidés, elle recherche les versants pentus et bien exposés qui déneigent rapidement, ainsi que parfois les rochers et les crêtes balayées par le vent.
Espèce sédentaire, certains de ses déplacements peuvent néanmoins la conduire à fréquenter aussi bien le domaine du lagopède alpin, que les zones cultivées de moyenne altitude occupées par la perdrix rouge.
Les effectifs les plus importants se trouvent dans les Pyrénées, de façon presque continue d’un bout à l’autre de la chaîne, entre 1 300 et 2 500 m d’altitude. Autrefois largement répandue sur le Massif central et les Alpes du Sud, elle ne subsiste plus aujourd’hui à l’état naturel que sur le Mont Lozère dans le Parc National de Cévennes. Ailleurs, il devient de plus en plus difficile de faire la part entre les lâchers de perdrix grises d’élevage, et les reliquats de populations naturelles.
C’est généralement vers la fin du mois d’avril ou en mai que les Perdrix grises se cantonnent sur leurs sites de nidification. Les femelles couvent durant le mois de juin et les éclosions ont surtout lieu au début du mois de juillet. Les poussins sont nidifuges et suivent la femelle ensuite durant plus de deux mois.
Des 13 à 18 œufs pondus, ce sont généralement 1,4 à 4,7 jeunes/adulte qui sont observés lors des comptages du mois d’août (Novoa, op. cit).
Alimentation :
Son alimentation est essentiellement constituée de feuilles de graminées et de légumineuses, de graines, d’insectes et de baies, comme la myrtille.
La perdrix grise de montagne n’hésite pas à gratter la neige et même à creuser des tunnels pour atteindre sa nourriture.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.