L’alouette des champs est un petit passereau qui appartient à la famille des alaudidés. Oiseau migrateur, son aire de répartition est vaste : Eurasie et Australie, Nouvelle-Zélande, Vancouver, Alaska, Hawaï où elle a été introduite.
L’alouette des champs est chassée sur l’ensemble du territoire à tir, devant soi ou au poste fixe.
Dans les départements du Sud-Ouest, elle fait l’objet de chasses traditionnelles au filet (pante) et aux matoles.
Caractéristique :
Elle mesure environ 20 cm pour une envergure de 30 à 36 cm. Le poids varie de 26 à 43 g pour les femelles et de 34 à 50 g pour les mâles. Son plumage chamarré à dominante brune est identique aux deux sexes. Sa queue assez longue, aux plumes extérieures blanches la distingue, en plus de son chant, des autres représentants de la famille des alaudidés comme le cochevis huppé ou l’alouette lulu.
D’origine steppique, l’alouette des champs affectionne les milieux ouverts et à la végétation basse comme les plaines agricoles, les dunes et marais littoraux, les landes et les pelouses d’altitude.
Dès le mois de mars, les mâles font entendre leur chant territorial, notamment entre l’aube et la fin de la matinée. La saison de nidification s’étend de mi-avril à fin juillet au cours de laquelle 1 à 3 couvées sont réalisées. Chaque ponte compte entre 3 et 5 œufs, blanchâtres et tachetés de roux, déposés dans un nid d’herbes sèches et de racines situé à même le sol.
L’incubation dure 11 jours et les poussins séjournent au nid une dizaine de jours. Après avoir quitté le nid, les jeunes sont nourris par les deux parents pendant environ 5 jours.
Passé ce délai, le mâle prend seul à sa charge l’apport de nourriture pendant encore 5 jours, tandis que la femelle construit un nouveau nid. Les jeunes deviennent autonomes vers 25 jours.
Le pourcentage de survie des couvées, influencé par la prédation (belette, chien, renard, chat, corneille, rapace…) et les pratiques culturales (fauchage et broyage). est estimé à environ 25 %.
Alimentation :
Son régime alimentaire est essentiellement végétal en automne-hiver : graines, jeunes pousses de céréales ou de colza, feuilles de betteraves. Pendant la période de reproduction, insectes, larves, lombrics et petits mollusques assurent l’alimentation des adultes et des poussins.
Migration et hivernage :
Sa présence toute l’année en France, ne doit pas faire oublier son caractère migrateur. Ce statut diffère cependant selon la latitude : totalement migratrice dans le nord et l’est de l’Europe, erratique au sud.
La migration post-nuptiale se déroule de la fin septembre à la mi-novembre. La France constitue une zone d’hivernage pour les oiseaux venant de Scandinavie, Finlande et Europe centrale qui viennent s’ajouter aux effectifs sédentaires. Durant l’hiver, les oiseaux recherchent les chaumes et semis de céréales, les champs de betteraves ou de colza qui leur apportent une nourriture abondante. Ces populations migratrices repartent vers fin février-début mars pour nicher dans leur pays d’origine.
L’alouette des champs migre principalement la nuit, réservant le jour à la recherche de la nourriture et au repos.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .