L’espèce est très commune, aussi bien en période de reproduction ou d’hivernage, mais les densités restent faibles. Présente ainsi toute l’année, elle apparaît donc comme sédentaire.
Cependant, en octobre-novembre, des petites troupes de grives draines migratrices, originaires du nord et de l’est de l’Europe atteignent notre pays qui constitue un des principaux quartiers d’hivernage avec la péninsule Ibérique et l’Italie.
En hiver, les grives draines ont un comportement plutôt erratique, guidé par l’abondance des baies. Après un hivernage diffus, la migration de retour est sensible dès la fin février-début mars.
C’est une espèce de gibier convoitée en France, essentiellement dans la moitié Sud, comme toutes les autres grives et le merle noir.
Caractéristique :
La grive draine appartient à la famille des turdidés au même titre que le merle noir, le rouge-gorge et le rossignol. D’un poids compris entre 100 et 150 g, c’est la plus grosse des grives.
Son plumage d’aspect très pale, avec un dos gris uni et le ventre parsemé de larges et nombreuses taches, est identique chez le mâle et la femelle. En vol, on la reconnaît aisément grâce à sa couleur blanche du dessous des ailes. Elle signale sa présence par un cri sec et roulé : trr… trr.
Comportement et reproduction :
La grive draine est une solitaire, agressive et téméraire, en permanence sur le qui-vive. Elle affectionne les bosquets, les allées d’arbres, même ceux des parcs et jardins.On la rencontre aussi en lisière et dans les clairières des forêts de feuillus et de conifères, ainsi que dans des peupleraies, entre 500 et 2000 m d’altitude. Le plus important pour elle est de disposer d’un espace ouvert, prairie ou pâturage par exemple, où elle peut facilement s’alimenter.
Les couples s’installent très tôt sur leur territoire de reproduction. Parfois dès la mi-janvier, perché au sommet d’un grand arbre, le mâle émet un chant à tonalité élevée, aux motifs simples et répétés.
Les premières pontes ont lieu au tout début du mois de mars. Les 4 œufs prennent place dans un nid composé d’herbes et de brindilles, liées avec de l’argile, à 7-8 mètres de hauteur.
La femelle seule couve pendant deux semaines. Une quinzaine de jours plus tard, les jeunes quittent le nid. Une deuxième ponte est déposée en mai.
Alimentation :
Son menu, diversifié, comprend aussi bien des proies animales – vers de terre, insectes et leurs larves, escargots – que des végétaux – jeunes pousses, baies et fruits.
En automne-hiver, elle se nourrit des baies du gui ce qui lui vaut le nom de grive du Gui dans de nombreuses langues européennes.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .