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Halloween : quels animaux risque-t-on de rencontrer la nuit ?

Demain soir aura lieu la désormais traditionnelle soirée d’Halloween, l’atmosphère devient propice aux rencontres avec les discrets habitants nocturnes de nos forêts, champs et jardins. Dans cette ambiance où la lune diffuse une lumière mystérieuse et le brouillard ajoute une touche d’inquiétant, certaines « créatures » sortent de leur cachette. Voici un aperçu de quelques animaux que l’on peut croiser dans la nuit d’Halloween en France, tous inoffensifs, ou presque !

1. La chouette et le hibou, symboles de la nuit

Avec leurs cris rauques et leurs vols silencieux, les chouettes et les hiboux ont toujours évoqué le mystère et l’étrange, voir la peur ! En France, les espèces les plus répandues sont la chouette effraie, reconnaissable à son visage clair en forme de cœur, et le hibou moyen-duc, identifiable grâce à ses aigrettes sur la tête. Ces rapaces sont souvent associés aux mythes d’Halloween, leurs regards perçants et leurs cris contribuant à l’ambiance singulière de cette nuit.

2. Le renard, furtif explorateur

Bien qu’il soit surtout actif à l’aurore et au crépuscule, le renard poursuit parfois ses explorations jusque tard dans la nuit. Rusé et discret, il se déplace en silence dans les champs et les bois, à la recherche de petits rongeurs ou de fruits tombés.

Avec son pelage roux et sa silhouette qui se fond dans l’obscurité, il apparaît tel un fantôme, furtif et insaisissable. Habitant de la campagne il est à présent très répandu en ville et il ne serait pas étonnant que vous en croisiez un demain soir au détour de votre quartier !

3. Le blaireau, un noctambule robuste

Le blaireau est un autre habitant des nuits françaises. Avec sa démarche lourde et son pelage marqué de bandes noires et blanches, il sort la nuit pour fouiller les bois et prairies à la recherche de baies et de vers. Les blaireaux vivent en famille dans des terriers complexes qu’ils creusent eux-mêmes. Craintifs et pacifiques, ces animaux sont des rencontres rares, mais inoubliables, pour ceux qui se hasardent dans les bois nocturnes. Pesant largement plus de 10 kilos, le blaireau craint l’homme mais gare à votre chien avec qu’il il n’a pas peur de combattre.

4. La chauve-souris, agile et insaisissable

Les chauves-souris sont sans doute les symboles par excellence de la nuit d’Halloween. En France, la pipistrelle est l’une des espèces les plus courantes. Ces petits mammifères volants régulent les populations d’insectes, se guidant avec précision grâce à l’écholocation. Observer une chauve-souris en vol rapide et imprévisible ajoute une touche de mystère, rappelant le folklore d’Halloween.

Bien sur il existe beaucoup d’autres animaux que vous pourrez croiser : sanglier, cerf, lièvre… Cela dépendra du lieu que vous avez choisi pour glaner quelques poignées de bonbons… et embêter vos voisins !

Chasse aux grives : prise de bec sévère entre l’ANDCTG et la FDC du Var

Le gouvernement a semé la pagaille en décidant de s’attaquer à plusieurs réglementations concernant les chasses traditionnelles depuis la chasse à la glu jusqu’à dernièrement les chasses traditionnelles aux pantes et aux matoles sans parler des changements en matière d’appelants pour les turdidés. Si les débats vont bon train entre les chasseurs et les élus, il y a, au sein même des chasseurs, des corporations qui n’ont pas la même vision des choses et se l’indiquent de manière franche.

L’attaque d’un arrêté dénoncée par la Fédération des chasseurs du Var.

Le 18 octobre dernier, la Fédération des chasseurs du Var communiquait à travers sa page Facebook au sujet de l’attaque de l’arrêté ministériel du 02 juillet 2024 qui change la donne en ce qui concerne l’utilisation des appelants pour la chasse des turdidés au poste.

Cette attaque, menée par l’Association Nationale de défense des grives et de ses chasses, n’a pas été validée en amont par la FDC. Cette dernière dénonce une attaque qui n’a pas été réalisée en référé et qui, par conséquent, induit le retrait de l’arrêté visé. Il y aurait donc un flou juridique sur cette pratique cynégétique le temps que les institutions ne rendent une décision.

La FDC du Var parle même de « trahison » de l’ANDCTG alors qu’elle avait rejeté l’arrêté proposé par le ministère et proposé une version plus « plus souple » qui permettrait aux chasseurs détenant des appelants légalement capturés à la glu. Les responsables de la Fédération déplorent une attaque qui leur a coupé l’herbe sous le pied après des semaines de négociations pour trouver une solution qui limiterait la casse.

Le Président de la Fédération départementale ne mâche pas ses mots à l’encontre de l’ANDCTG et de son président suite à l’attaque de cet arrêté :

« Par son acharnement aveugle et par le jusqu’au-boutisme égocentrique de son président l’ANDCTG fait courir aux chasseurs Provençaux le risque ultime de voir disparaitre définitivement et à très court terme la possibilité d’utiliser des appelants pour notre chasse culturelle: La chasse au poste à feu ! »

L’ANDCTG fait remarquer le manque de combativité de certaines Fédérations.

Forcément, après une attaque aussi directe de la Fédération des chasseurs du Var, Éric Camoin, Président de l’ANDCTG a décidé de répondre à travers une vidéo postée quelques jours plus tard, là aussi sur la page Facebook de l’association.

Il revient en plusieurs points sur la réaction de la FDC, que ce soit sur le fond comme sur la forme.

L’association assume pleinement d’avoir attaqué l’arrêté en question et déplore le fait que la Fédération n’ait pas pris les devants en se montrant plus combative.

Comme l’indique la FDC dans son communiqué, les tractations ont duré plusieurs semaines mais ne voyant rien venir de concret, l’ANDCTG a décidé de prendre les choses en main.

Éric Camoin dénonce un manque de combativité de la part des responsables de la Fédération de chasse qui, selon lui, ne fait pas le nécessaire pour protéger les chasses traditionnelles de la région. Il prend d’ailleurs pour exemple le combat mené corps et âme par les chasseurs du Sud-Ouest qui tentent par tous les moyens de défendre des modes de chasse traditionnels, en arrêtant de prélever le sanglier si nécessaire.

[Vidéo] Un chasseur prélève un gros sanglier qui lui fonce droit dessus

La vie de chasseur est loin d’être de tout repos, surtout quand on est chasseur de grand gibier. La chasse du sanglier peut être particulièrement éprouvante comme en témoignent les différents récits de chasse que l’on trouve dans la presse spécialisée comme sur Chasse Passion.

Que l’on soit traqueur ou posté, personne n’est à l’abri d’une mésaventure, même si les traqueurs, qui sont en première ligne, sont bien plus souvent la cible des sangliers que les postés.

Dans cette vidéo, un posté voit un sanglier lui arriver droit dessus, comme s’il voulait le charger.

Le nemrod met quelques temps avant de se décider a tirer et malgré une première balle tirée sur l’animal, ce dernier continue d’avancer vers l’homme qui lui envoie une seconde balle, de peur qu’il ne se retourne sur lui.

Les chasseurs victimes d’une société sans repères?

Les chasseurs sont passés en quelques années de personnages respectés par tous, appréciés par les uns pour le gibier qu’ils rapportent, par d’autres pour leur connaissance et leur implication auprès de la nature mais aussi pour l’aide qu’ils apportent aux agriculteurs comme aux collectivités dans la gestion des espèces. Cette vision du chasseur est aujourd’hui bien différente.

« La nature a horreur du vide ».

Dans une tribune publiée sur le site de la Fédération Nationale des Chasseurs, Willy Schraen aborde le rapport de la société avec la chasse sous un nouvel angle. Si d’ordinaire, le patron des chasseurs donne des directives à suivre pour que les adhérents soient irréprochables, il s’interroge aujourd’hui sur le regard que porte la société envers nous.

En effet, les chasseurs ont énormément évolué à travers les années, comme la pratique de la chasse, et pourtant l’image des chasseurs continue d’être attaquée en permanence par des groupes de plus en plus radicaux.

« La nature a horreur du vide. Nos sociétés aussi. Les chasseurs en paient aujourd’hui le prix. »

La chasse est un premier pas vers une recherche de valeurs et d’authenticité.

Voilà une explication possible de pourquoi le respect du chasseur a disparu de l’esprit d’une partie des Français.

A lire aussi : Fabien Roussel décide de créer une « Fédération de chasse communiste »

Willy Schraen fait remarquer que nos sociétés « modernes » ont bien du mal de trouver une idée, des leaders, des motivations, des scientifiques ou des projets communs capables de porter les foules et de les pousser vers le haut.

A la place, nos sociétés se retrouvent face « à un trou béant » ou s’engouffrent alors toutes les idéologies, parfois même les plus dangereuses, qui justifient leurs actions sous couvert d’un combat que l’on peut trouver louable de prime abord.

Certains vont alors dégrader l’exploitation de l’agriculteur qui a travaillé toute sa vie, d’autres vont brûler la boucherie qu’un artisan doit encore rembourser et d’autres encore vont chercher l’affrontement physique avec les chasseurs sous couvert de « l’évolution ».

Malgré tout cela, des idées et des valeurs perdurent dans ces sociétés ou l’on peut parfois avoir l’impression que plus rien ne va.

Pour Willy Schraen, la chasse est un des éléments qui rassemble ces valeurs, ce respect. La jeunesse en quête de ces valeurs, d’un éthique et d’authenticité sont d’ailleurs de plus en plus nombreux à rejoindre nos rang :

« La chasse reste l’un des rares endroits où l’on trouve encore de l’authenticité, du partage, de la convivialité entre des personnes d’horizons différents sans oublier la transmission de traditions rurales. Ces valeurs que nous portons fièrement en tant que chasseur, seront demain, j’en suis certain, un modèle pour beaucoup. Cette histoire collective est déjà en marche. Et la jeunesse ne s’y trompe pas.« 

Le plan de chasse 2024/2025 prévoit le prélèvement de près de 500 chamois dans le Doubs

L’instauration de quotas dans la chasse du grand gibier est une réponse apportée par l’administration pour réguler les populations qui pourraient poser problème et ainsi établir un équilibre agro-sylvo-cynégétique. Aujourd’hui ces plans requièrent le prélèvement de 500 chamois sur le seul territoire du Doubs, une décision qui fait débat.

Le CDCFS prévoit 478 chamois au plan de chasse.

Régulièrement des réunions du CDCFS (Commission Départementale de la Chasse et de la Faune Sauvage) se tiennent pour donner leur avis sur différents points relatifs à la gestion des espèces et de la législation.

Cette fois, le sujet qui a été abordé lors de cette session dans le Doubs était portée sur le nombre de chamois qui cause pas mal de problèmes, notamment aux forestiers.

Les dégâts causés par l’espèce sont considérables sur le département et compte tenu du fait que le chamois n’a pas de réel prédateur dans le monde animal, seuls les chasseurs peuvent avoir un impact significatif sur la baisse de ces dégâts.

A lire aussi : Un sanglier monstrueux de 181kg prélevé dans la Marne

En tout, ce sont donc 478 chamois qui ont pourront être prélevés par les chasseurs selon les quotas établis par ce CDCFS.

Un quota qui fait réagir parmi les associations animalistes.

Comme on peut s’en douter dès qu’une information concernant la chasse est publiée, certaines associations animalistes réagissent vivement contre.

C’est le cas par exemple de l’ASPAS qui dénonce un plan de chasse totalement injustifié car selon eux, le nombre de chamois présents dans le département est naturellement en baisse depuis 2023.

Ils remettent également en doute le volume des dégâts déclaré par les agriculteurs et les exploitants forestiers, expliquant que le chamois n’en cause tout simplement pas.

D’autre part, ils mettent en avant la présence de plusieurs lynx dans le Doubs qui seraient, toujours selon l’ASPAS, suffisants pour réguler les chamois. Un discours étonnant quand on sait que les associations animalistes ne cessent de dire que les lynx sont trop peu nombreux et n’attaquent pas de chèvres ou de moutons…

Le CDCFS est pourtant composé d’agriculteurs, de chasseurs, de représentants de l’État mais aussi d’associations écologistes comme la LPO. Les associations animalistes ne seraient-elles donc pas d’accord entre elles?

[Vidéo] Un cerf fait un bond incroyable juste devant des chasseurs

La chasse est une aventure qui nous offre de grandes émotions et des souvenirs impérissables que l’on termine une action de chasse par un tir ou pas d’ailleurs.

Nombreux sont les chasseurs qui apprécient simplement cette ambiance, cette folie douce de la traque du gibier, à l’approche ou en battue avec la compagnie des chiens est toujours créatrice de moments incroyables.

A lire aussi : [Vidéo] Un agriculteur adopté par un marcassin dans le maïs

C’est probablement le premier mot qui vient à l’esprit quand on est témoin de l’a vivacité et de l’agilité du gibier que l’on traque.

Des chasseurs qui étaient d’ailleurs en pleine sortie on pu vivre ce moment de très près quand ils ont fait la rencontre d’un très beau cerf aux aptitudes athlétiques remarquables.

Une femme envoyée aux urgences par un ragondin dans l’Aisne

Dernièrement, plusieurs accidents graves ont eu lieu à cause du grand gibier. Il s’agit notamment d’accidents de la route mais les animaux plus petits peuvent aussi se montrer assez dangereux pour l’homme. Une femme a récemment fait les frais d’une attaque de ragondin dans sa propre cour et s’est retrouvée aux urgences.

Le ragondin s’attaquait à son chien.

Ce dimanche 27 octobre, une habitante de la commune de Paars, dans l’Aisne, quand elle a entendu son chien gémir de façon bizarre alors qu’il était dans la cour de soin logement.

Elle est donc sortie voir ce qui arrivait à son compagnon quand elle l’a trouvé en pleine bataille avec un ragondin.

Ne voulant pas que son chien ne soit blessé par le Myocastor, elle décide d’aller au contact des deux animaux en train de se battre afin de les séparer.

Dans la bataille, le ragondin s’est montré particulièrement agressif et ne voulait rien lâcher. Par sa dentition extrêmement développée, il peut provoquer de gros dégâts en une seule morsure et il convient donc d’être très prudent face à cet animal.

Alors qu’elle séparait son chien et le ragondin, ce dernier a tout de même réussi à mordre la Paaréenne. Prise de peur, elle a fini par tuer le ragondin pour éviter une autre morsure profonde et éviter que son chien ne risque plus gros.

Une blessure heureusement légère.

Si la morsure du ragondin pourrait devenir dramatique en fonction de l’endroit ou il plante ses longues incisives, cette fois la blessure a été sans grande gravité immédiate.

La femme prise pour cible par le gros rongeur a été prise en charge par les urgences et surtout, a été placée sous traitement antibiotique pour éviter toute forme d’infection.

Le ragondin est en effet porteur de différentes maladies telles que la leptospirose qui peuvent s’avérer graves voire même mortelles.

Ce n’est pas la première altercation de ce genre avec un ragondin car, plus tôt dans l’année, une femme avait reçu 45 jours d’ITT après avoir tenté de séparer son chien et un ragondin pendant une promenade qui a bien mal tourné.

Fabien Roussel décide de créer une « Fédération de chasse communiste »

La chasse est un sujet très politique depuis quelques années et Fabien Roussel, Secrétaine National du Parti Communiste Français s’en saisit une fois de plus. L’homme n’a jamais caché son soutien à la chasse ou aux ruraux mais ses alliances avec le NFP en ont fait un adversaire pour les chasseurs, les agriculteurs et bien d’autres.

Créant la surprise dans les médias, il a été annoncé la création d’une « Fédération de chasse communiste ».

A lire aussi : Suppression de la réduction d’impôt aux associations qui attaquent les agriculteurs mais pas les chasseurs

Fabien Roussel souhaite visiblement enterrer profondément ses alliances passées avec les écologistes, LFI & co, pour incarner de nouveau une gauche populaire qui ne mettrait plus de côté les ruraux ni les chasseurs.

Si on comprend bien le symbole que représente la fondation d’une Fédération de chasse communiste, on se demande quand même quel est l’intérêt d’une telle Fédération qui pourrait bien tendre les relations avec la Fédération Nationale des Chasseurs déjà tendues avec le PCF.

Difficile en effet de faire confiance à un élu qui nous sort le grand jeu juste après avoir pactisé avec le diable.

Quel est donc le but d’une telle Fédération? Est-ce purement symbolique ou aura-t-elle un réel intérêt? Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans les jours à venir.

Marine Tondelier appelée devant le tribunal de Narbonne pour diffamation envers des viticulteurs

La cheffe de file des verts a du se rendre ce vendredi 25 octobre devant le tribunal de Narbonne pour répondre à des accusations de diffamation envers des viticulteurs du département suite à un déplacement mené avec Sandrine Rousseau. La venue des responsables du parti écologiste avait créé pas mal de remous.

Un déplacement difficile dans l’Aude.

En juin 2023 les grand pontes du parti écologiste devaient se rendre dans l’Aude pour une conférence et on profité de l’évènement pour s’offrir une sortie au contact des habitants.

La sortie avait plutôt mal tourné pour Sandrine Rousseau et Marine Tondelier qui avaient reçu un accueil glacial de la part des agriculteurs et des viticulteurs du département.

Suite aux accrochages, Marine Tondelier avait alors abordé le sujet d’une grange qui avait brûlé ce que deux viticulteurs ont pris pour eux et ont alors décidé d’attaquer les responsables écologistes en diffamation.

C’est donc pour cette affaire que Marine Tondelier devait comparaître devant le tribunal de Narbonne ce 25 octobre.

Pas de sanction pour la députée.

La députée écologiste n’a pas été condamnée pour les faits qui lui étaient reprochés, le tribunal a en effet estimé que les paroles de la cheffe des verts n’étaient pas orientés contre les viticulteurs ayant porté plainte.

Les viticulteurs ne sont bien évidemment pas satisfaits de cette décision car l’un d’entre eux avait été visé par des paroles dures de certains, le qualifiant de pyromane.

Marine Tondelier avait tout de même pris soin de faire une arrivée discrète au tribunal afin d’éviter de croiser les viticulteurs ede la région venus sur place en soutien à leurs collègues.

[Vidéo] Un agriculteur adopté par un marcassin dans le maïs

Les sangliers ne sont pas vraiment les meilleurs amis des agriculteurs qui en ont assez de voir leurs cultures saccagées par les compagnies.

Les maïs sont par exemple l’une des cultures les plus touchées par les dégâts du grand gibier qui apprécie la plante pour le couvert comme pour la nourriture.

A lire aussi : [Vidéo] Tomber sur un gros sanglier après une soirée d’affût

Les agriculteurs vont donc régulièrement sur leurs terres pour vérifier si leurs champs n’ont pas été la cible d’une compagnie durant la nuit mais lors d’une sortie, cet agriculteur a eu une petite surprise.

Alors qu’il sillonnait son champ en quête d’éventuels dégâts, un marcassin est sorti de nulle part et est resté dans ses pieds durant plusieurs minutes.

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