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Plus de deux millions d’oiseaux migrateurs sont la cible des braconniers au Liban chaque année

Le braconnage est aujourd’hui un véritable fléau qu’il convient de combattre partout en France. Les chasseurs sont les premiers à lutter contre le braconnage mais les écologistes radicaux mènent de leur côté des combats discutables contre la chasse Française alors qu’il y a des territoires ou la lutte contre le braconnage n’est pas suffisamment organisée. C’est le cas du Liban ou chaque année, plus de 2 millions d’oiseaux migrateurs sont abattus illégalement.

Un braconnage de grande ampleur.

C’est dans un récent article publié par L’Orient- Le Jour que notre attention a été portée sur ce qu’il se passe au Liban concernant une véritable hécatombe en ce qui concerne les oiseaux migrateurs.

Grâce à l’un de leurs correspondants sur place qui a collecté plusieurs photos et vidéos, le journal a été informé des nombreux méfaits des braconniers locaux qui tirent clairement sur tout ce qui bouge.

L’article concerné est d’ailleurs illustré d’une photo ou l’on voit plusieurs braconniers tirer sur une cigogne…

A lire aussi : Mayotte : un homme interpellé avec 70 kg de viande de tortue protégée

Ce braconnage ne serait d’ailleurs pas limité à une zone précise et organisé par un petit groupe mais concernerait une large partie du nord du Liban. La loi est pourtant claire, la chasse est interdite au printemps mais les braconniers n’en ont cure. Ils ne déterminent d’ailleurs pas non plus sur quelles espèces ils tirent, abattant sans distinctions les oiseaux migrateurs dont beaucoup sont pourtant des espèces protégées.

Plus de deux millions d’oiseaux abattus illégalement chaque année au Liban.

L’ampleur des dégâts causés par le braconnage au Liban est considérable. Des ONG ont étudié la question et estiment que près de 2.5 millions d’oiseaux sont concernés chaque année.

Le pays est un couloir de migration de choix puisqu’il possède plusieurs points d’eau sur lesquels les oiseaux peuvent se reposer lors de leurs voyages. Ils sont donc des cibles de choix pour les braconniers qui tirent sans vergogne sur tout ce qui passe.

Chaque pays est libre de gérer le braconnage a sa manière et le gouvernement Libanais a récemment sanctionné des braconniers pris sur le fait mais pour plusieurs associations locales, ce n’est pas suffisant.

Les pays d’Europe et les chasseurs pointent régulièrement du doigt les difficultés de quelques États du pourtour méditerranéen dans le cadre de la répression du braconnage. Pour le coup, venir en aide à ces pays pour s’assurer que des braconniers ne tirent absolument pas sur tout ce qui bouge impunément serait un objectif surement bien plus louable que de vouloir interdire des chasses traditionnelles Françaises qui n’ont aucun impact sur la biodiversité par exemple…

Près de 70% des Français considèrent que la chasse fait partie du patrimoine culturel national

La chasse est un sujet qui fait aujourd’hui l’objet de nombreux débats, aussi bien dans les cafés de quartier que dans les assemblées politiques. Les prises de positions sont parfois culturelles, d’autres s’apparentent plus à des postures idéologiques mais sur le terrain, les Français semblent rester très attachés à la chasse dans leur pays, au point de considérer majoritairement qu’elle fait partie du patrimoine culturel national.

Une étude qui montre que l’attachement des Français à la chasse reste fort.

C’est une étude récente basée sur les travaux d’un prestataire de sondages indépendant menée en février dernier qui nous apporte quelques chiffres très intéressants sur la manière dont les Français considèrent la chasse.

L’objectif a été de travailler sur un échantillon représentatif de la population Française et comme le précise Naturabuy qui a commandé cette étude : « Il ressort également de cette enquête que l’image souvent négative de la chasse, largement relayée par certains médias, ne reflète pas la perception majoritaire de la France rurale en dehors des cercles élitaires et des grandes métropoles. »

Si l’on se penche un peu plus sur les chiffres, les résultats sont assez équivoques :

  • 64% des Français estiment que la chasse favorise la cohésion sociale dans les zones rurales isolées.
  • 57% des Français estiment que la chasse est une activité conviviale et intergénérationnelle.
  • 66% des sondés, soit un Français sur deux voit la chasse comme une partie intégrante du patrimoine culturel Français.

A lire aussi : La Fédération Nationale des Chasseurs va saisir la Cour Européenne des Droits de l’Homme prochainement

Un profil de chasseurs et de chasseresses en constante évolution.

En tant que marketplace incontournable du monde de la chasse, de la pêche et des activités outdoor, Naturabuy connaît parfaitement le profil du chasseur et de la chasseresse actuel.

Si beaucoup de nos détracteurs essaient de faire passer la chasse pour une activité réservée à une élite, la réalité est ailleurs. Aujourd’hui, et une étude plus ancienne de la FNC l’avait déjà démontré, les chasseurs peuvent être de tous les horizons et de toutes les strates socio-professionnelles. Au sein d’un même groupe, on peut croiser sans pouvoir faire la moindre différence une infirmière, un technicien de surface, un cadre en marketing, un médecin, une cuisinière ou un tailleur.

La chasse est probablement aujourd’hui l’une des rares activités ou l’on retrouve aussi bien des ouvriers, des dirigeants, des employés ou des cadres issus du privé comme de la fonction publique qui se rassemblent tous autour de la même passion.

Au delà de la situation socio-professionnelle, la chasse se rajeunit et se féminise. Comme l’avait déjà indiqué la FNC précédemment, le nombre de femmes qui rejoignent les rangs des chasseurs augmente de manière considérable avec une augmentation de près de 25% sur les dix dernières années.

Le besoin plus grand d’un ancrage profond à son territoire et un rapport à la nature qui évolue avec les jeunes générations font également que le profil du chasseur évolue à chaque saison. L’intérêt porté au gibier prélevé et à une consommation de viande raisonnée et plus qualitative est également une raison importante d’un retour de nombreux Français vers la chasse à travers le traitement de la venaison.

Tout cela sans parler de l’aspect économique en zone rurale car la chasse est aujourd’hui encore perçue comme un levier financier important. Selon la dernière étude de Naturabuy, 59% des personnes interrogées estiment que la chasse génère un chiffre d’affaires conséquent pour les territoires ruraux.

Un hippodrome du Vaucluse rendu impraticable après le passage d’une compagnie de sangliers

Quand ils ne fouillent pas les plaines et les cultures, les sangliers apprécient également les grandes étendues de pelouses entretenues comme en ville, sur les golfs ou plus récemment, dans les hippodromes. Le champ de courses du Pontet, dans le Vaucluse, a été visité par une compagnie de sangliers en ce début de semaine, forçant par la même occasion les responsables de l’hippodrome a reporter les courses prévues prochainement.

Le champ de courses est devenu un champ de patates.

Ce lundi, le Président de la société hippique d’Avignon le Pontet s’est rendu à l’hippodrome et a pu constater de ses propres yeux que le terrain avait été mis en travaux mais ce n’était pas vraiment prévu.

A deux endroits du champ de courses, des sangliers sont venus pour tenter d’y trouver quelque chose à se mettre sous la dent, retournant méthodiquement 100m² de terrain d’un côté de l’hippodrome et 100 autres mètres carrés d’un autre.

C’est un coup dur pour la société hippique qui bataille depuis des mois pour maintenir son activité alors que le domaine de Roberty ou se situe l’hippodrome possède lui même un avenir incertain.

A lire aussi : Un chasseur mordu a la cuisse par un sanglier évacué en urgence relative dans l’Indre

Les dégâts causés par les sangliers sur le terrain de l’hippodrome ont forcé les dirigeants à modifier leur calendrier, les courses prévues le 13 avril vont donc être déplacées vers Marseille pour la sécurité des chevaux et des drivers.

Des travaux et une clôture électrique.

Pour le moment, l’avenir des courses à l’hippodrome du Pontet reste incertain à court terme. L’objectif est de réaliser rapidement les travaux de réfection du terrain saccagé par les sangliers et de poser une clôture électrique autour pour éviter que les suidés ne reviennent dans les prochaines semaines.

Le retour de l’activité hippique à Le Pontet est pour le moment prévue au début du mois de mai mais rien n’est moins sur car cela dépendra surtout de l’envie des sangliers de revenir ou non.

5 loups filmés dans un jardin à Cassis

Mardi 18 mars dernier, un couple de retraités habitant au quartier des Cuettes, au nord de Cassis, a filmé une meute de 5 loups dans son jardin, une scène qui effraie plus qu’elle n’amuse.

Par deux fois, à 21 h et à minuit, la caméra de surveillance de la maison de ce couple a pu filmer la meute de loups marcher au fond du jardin de leur propriété. Même si le loup est revenu en Provence depuis longtemps, voir autant d’animaux rôder auprès des quartiers résidentiels est forcément inquiétant.

« J’adore les bêtes, un loup ça irait, mais une meute… Surtout, ils sont venus entre 21 h et minuit : des heures où l’on est normalement dans le jardin avec l’arrivée des beaux jours, en recevant des amis pour l’apéro », explique la femme. « Ils étaient énormes. C’est inquiétant de les voir là, si près des habitations. »

Si le loup a « normalement » peur de l’homme, c’est déjà beaucoup moins le cas des chiens, surtout de petite taille. Certains habitants du quartier rechignent par exemple à laisser sortir leur chien le soir, de peur qu’il ne rencontre, lui aussi, une meute de loups.

[Vidéo] Un cerf trop franc se laisse surprendre au dernier moment en pleine forêt Picarde

Les animaux de la forêt sont souvent difficiles à approcher, surtout les plus grands qui sont tout aussi discrets que les autres.

Il faut une bonne connaissance du terrain et une patience conséquente pour espérer voir arriver droit sur soit un sanglier ou un cerf, sous couvert d’avoir choisi un bon emplacement et que le vent soit favorable.

A lire aussi : [Vidéo] Un cerf croisé avec un kangourou

Sur les images suivante, un cerf s’avance tranquillement vers la personne qui filme la scène depuis la région Picarde comme elle l’indique dans les commentaires de cette vidéo.

A un moment, le cerf se rend tout de même compte d’une présence étrange et, pris par surpris, décide de prendre la fuite.

Cinq points rouges à moins de 200 euros à considérer en 2025

Les viseurs point rouges sont devenus des accessoires incontournables pour les chasseurs, offrant une acquisition rapide de la cible et une plus grande précision que nos bonnes vieilles bandes de battue. Pour les chasseurs en quête d’options intéressantes sans casser son plan d’épargne, voici une sélection de cinq modèles qui se distinguent par leurs caractéristiques et leur rapport qualité-prix pour moins de 200 euros.

1. Le point rouge Nikko Stirling Flash 1×25

Le Nikko Stirling Flash 1×25 est annoncé comme capable de résister aux conditions les plus exigeantes. Fabriqué en aluminium de qualité aéronautique, l’objectif est d’allier robustesse et légèreté. Il possède un point rouge de 3 MOA avec 11 niveaux d’intensité lumineuse pour s’adapter à diverses conditions d’éclairage. L’appareil est étanche, antichoc et scellé à l’azote pour éviter la formation de buée. Il est livré avec un montage Picatinny intégré et une embase haute.

Prix moyen constaté : 170 euros.

2. Le Lensolux 1x22x33 Multi-Réticules

Le Lensolux 1x22x33 se distingue des autres points rouges de cette sélection de par ses quatre réticules interchangeables : croix, cercle, point de 2 MOA et point de 4 MOA. Cette fonctionnalité permet au chasseur de choisir le réticule le mieux adapté à son utilisation. Son boîtier en aluminium mesure 82 mm de long et est doté d’un montage rapide intégré pour rail Weaver de 21,5 mm. L’alimentation est se fait par une pile CR2032 comme pour beaucoup de points rouges de cette gamme de prix.

Prix public conseillé : 152 euros.

Plus d’informations sur ce point rouge sur le site Europarm.fr.

3. Le Micro-Point de chez Waldberg

Conçu de manière compacte avec l’ambition de se montrer polyvalent, le Micro-Point Waldberg peut s’utiliser sur des armes de poing ou des armes longues, mais aussi et surtout pour ce qui nous intéresse, à savoir les carabines de chasse. Son design compact offre malgré tout un large champ de vision, et son point rouge de 3 MOA assure une acquisition rapide de la cible. Il est généralement livré avec une batterie CR2032, des capuchons de protection, une clé hexagonale, un tournevis et un chiffon de nettoyage. Le point rouge passe en mode économie d’énergie dès que le capuchon de protection est replacé dessus.

Prix public conseillé : 164 euros.

Plus d’informations sur ce point rouge sur le site Europarm.fr.

4. Point Rouge ou Vert OP3 Micro

Le point rouge OP3 Micro est un viseur de précision fabriqué en aluminium CNC 6066-T6 avec une finition anodisée noire mate. Il propose un point unique rouge ou vert (à choisir lors de l’achat de l’optique) de 4 MOA avec 8 réglages d’intensité lumineuse pour s’adapter aux différentes conditions de luminosité. Avantage non négligeable : son compartiment à batterie magnétisé réduit les interruptions d’illumination du réticule. Le viseur est compatible avec tous les montages UTG RDM20 et est livré avec une base Picatinny basse amovible.

Prix public conseillé 174 euros.

Plus d’informations sur ce point rouge sur le site Europarm.fr.

5. Le Bushnell RXS-100 1×25

Le Bushnell RXS-100 est un point rouge qui se veut abordable pour une marque reconnue. Son point 3 MOA avec 8 niveaux d’intensité permet de fondre de façon rapide et précise sur la cible. Grâce à une fonctionnalité permettant d’optimiser l’utilisation de la source lumineuse, il offre jusqu’à 5 000 heures d’autonomie sur un réglage intermédiaire. Point intéressant, son tiroir de pile latéral permet un remplacement sans démontage, évitant ainsi de perdre le réglage effectué. Ce point rouge est conçu en aluminium extrudé de manière à résister aux chocs et au recul des armes à feu. Son réglage précis 1 MOA par clic et sa garantie Ironclad 5 ans en font un choix fiable et durable pour un point rouge dans cette gamme de prix.

Prix moyen constaté : 160 euros.

Ces cinq points rouges offrent des caractéristiques parfois différentes mais pour des performances relativement proches, tout en restant abordables. Le choix dépendra des préférences personnelles en termes de taille de point, de type de réticule et de fonctionnalités supplémentaires. Le mieux si vous êtes indécis reste de demander conseil à un armurier qui saura vous indiquer les avantages de tel ou tel point rouge selon vos besoins personnels. Malgré tout, ils restent d’excellentes options pour s’équiper sans se ruiner.

Un collier anti-loups bientôt en test dans le Béarn

Face aux enjeux que représente la cohabitation avec les nouveaux prédateurs comme le loup, des solutions sont recherchées par différents acteurs qui y voient par la même occasion une opportunité commerciale. Alors que les chiens de défense posent quelques problèmes et que les clôtures ne suffisent pas pour endiguer les attaques, d’autres alternatives sont actuellement à l’essai.

Un collier anti-loups en test dans le Béarn.

Plutôt que d’empêcher le loup de s’approcher, des entreprises essaient de développer des solutions permettant de les éloigner s’ils s’approchent de trop près des troupeaux.

C’est dans ce cadre qu’un collier anti-loup intégrant une alarme et qui déclenche des flashs lumineux en cas d’attaque a été développé il y a quelques temps mais d’autres technologies sont actuellement en cours de développement.

Déjà il y a deux ans, des chercheurs Suisses ont travaillé sur la possibilité de repousser les loups d’un troupeau en se basant sur un collier qui embarque des phéromones et c’est ce même type de dispositif qui sera bientôt en test dans le Béarn.

Faire croire aux loups qu’il y a d’autres loups.

L’objectif de ce dispositif est de placer des colliers sur au moins deux tiers d’un troupeau. Ces colliers sont chargés de phéromones quant pour but de simuler la présence d’autres loups sur le territoire.

A l’approche du troupeau les loups perçoivent ces phéromones et sont censés respecter le territoire de leurs congénères, ce qui laisse le troupeau à l’abri d’une attaque.

Ce collier serait une solution économique même si les colliers doivent être rechargés tous les 6 mois et même si des tests vont seulement être effectués dans le Béarn, les résultats seraient significatifs.

[Vidéo] Un cerf au milieu d’une route cherche le combat avec un véhicule

Le printemps est une saison ou la nature se réveille peu à peu mais c’est aussi une saison ou le comportement des animaux sauvage change parfois de manière brutale.

Les premiers combats entre mâles commencent pour des questions de territoire ou de place dans la hiérarchie d’un groupe par exemple.

A lire aussi : [Vidéo] Sauvetage d’un gros cerf coincé dans une bouche d’égout

L’arrivée du printemps n’explique pas pour autant les comportements insolites que peuvent adopter dans certaines situations.

Dans cette vidéo, la passagère d’un véhicule qui avance sur une route de campagne filme une scène étonnante ou un cerf se met en opposition et cherche même à engager le combat en envoyant des coups dans la calandre.

Douze miradors détruits sur le territoire d’une ACCA de l’Isère

Régulièrement, les militants anti-chasse mènent des actions qu’ils pensent efficaces pour nuire aux chasseur mais comme souvent, ces derniers se trompent. Comme il est manifestement plus facile de s’attaquer au matériel que de convaincre par des arguments, ils n’hésitent pas à attaquer les rendez-vous de chasse, les voitures et plus régulièrement les miradors. Ce fut encore une fois le cas en Isère ou les chasseurs de Charavines ont découvert des miradors détruits sur leur territoire du jour au lendemain.

Douze miradors découpés et mis au sol.

C’est à la mi-mars qu’un des chasseurs de l’ACCA de Charavines fait un tour sur le territoire et se rend compte que quelque chose cloche. Un de leurs miradors est au sol, visiblement vandalisé.

Les chasseurs inspectent alors les différents postes installés et en tout, ce sont douze de leurs miradors qui ont été coupés et rendus inutilisables.

Si il arrive qu’un mirador soit parfois la cible d’un seul énergumène, détruire douze miradors en une fois est assurément l’œuvre d’un petit groupe, persuadé d’agir dans une véritable bataille entre les gentils et les méchants comme leur dicte l’idéologie animaliste et anti-spéciste.

A lire aussi : L’ASPAS veut interdire les battues sur les territoires où les ours sont présents

En attendant, ce sont toujours les chasseurs qui paient les pots cassés alors que les miradors ne sont certainement pas des cibles de choix pour tout ceux qui essaient de comprendre un peu leur utilité. Ces miradors permettent avant tout aux chasseurs de s’assurer de réaliser des tirs fichants lors des battues.

Casser les miradors n’empêche pas la tenue des chasse. Cela a juste pour effet de replacer les chasseurs au sol, qui tirent donc de moins haut pour des tirs moins fichants. C’est donc un équipement qui permet d’augmenter le niveau de sécurité à la chasse avant tout mais face à l’obstination des anti-chasse de s’en prendre aux mirador, on peut se demander si leur but n’est pas justement de réclamer plus de sécurité d’un côté pour essayer de la saboter d’un autre.

Une plainte déposée en gendarmerie.

Ce n’est pas la première fois que les chasseurs de l’Isère sont la cible de ce genre de vandalisme.

Un des chasseurs concerné a partagé sa position sur les réseaux sociaux et a indiqué que dans le même secteur, des chiens de chasse ont été empoisonnés et que des planches à clous ont été découvertes sur les chemins en dehors des saccages de miradors sur les territoires de plusieurs communes.

La Fédération des chasseurs de l’Isère a affirmé son soutien aux chasseurs, aussi bien sur leurs positions que sur leurs besoins pour renouveler le matériel détruit par les délinquants.

Une plainte a été déposée en gendarmerie et on espère vivement que les responsables seront identifiés et condamnés.

[Vidéo] Un énorme suidé coincé dans un pulvérisateur agricole

Les suidés ont envahi le monde entier bien que chez nous, les écologistes continuent d’affirmer dans tous les débats que les chasseurs sont responsables de la hausse du nombre de sangliers dans les cultures et les forêts.

Au Brésil, dont la vidéo ci-dessous semble être issue, les suidés ont aussi colonisé les cultures et les exploitants agricoles n’apprécient pas plus la chose que chez nous.

A lire aussi : [Vidéo] Un coyote attaque un appeau électronique placé dans un fourré

Si le pays est différent, les cultures et les suidés aussi car leurs spécimens sont plus proches du cochon que nos grosses bêtes noires d’Europe.

Les problèmes restent pourtant similaires et les suidés sont tellement nombreux que l’un d’entre eux a été pris au piège par une patte par un pulvérisateur agricole.

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