Les chasseurs savent bien que l’entretien aléatoire de son arme ou une munition défectueuse peut avoir de lourdes conséquences.
Il est primordial de toujours être sûr de son arme en toutes circonstances et qu’en cas de doutes, il vaut mieux décharger son fusil ou sa carabine pour s’assurer que tout va bien.
C’est clairement ce qu’aurait du faire ce chasseur lorsque sa première douille n’a pas percuté correctement quand il tente de tirer sur le sanglier.
Le nemrod insiste et reclaque sa culasse avant de tenter une seconde fois de tirer sur la bête noire mais il y avait manifestement un gros problème qui aurait pu lui coûter très cher.
Les propositions de loi du NFP sont assez rarement intéressantes pour que l’on s’y intéresse en ce qui concerne la chasse, la nature et les animaux mais une fois n’est pas coutume. Dans une proposition d’amendement au projet de loi de finances pour 2025, Aymeric Caron a souhaité que les propriétaires de chats et de chiens bénéficient d’un crédit d’impôts. Cette demande a suscité de vives réactions au sein de l’hémicycle.
Un crédit d’impôt de 30 euros par mois pour chaque chien ou chat.
C’est une mesure que les chasseurs trouveront pour le moins alléchante. Alors que certains parlaient il y a peu d’une potentielle taxe sur les chiens similaire à ce qui se fait en Allemagne, le député animaliste Aymeric Caron a pris les choses à contre-pied en demandant un crédit d’impôt de 30 euros par mois pour chaque chien ou chat dans un foyer.
Les chasseurs seront assurément intéressés par une telle proposition, surtout les propriétaires de meutes qui verront leurs contributions baisser de manière drastique.
Pour défendre cet amendement, Aymeric Caron explique que le coût que représente les bons soins à un animal de compagnie sont relativement élevés, surtout que depuis quelques années, le prix des croquettes, des soins ou des litières ont considérablement augmenté.
Il explique aussi que c’est une façon d’aider les personnes âgées pour qui avoir un chien ou un chat est souvent la seule compagnie dont ils bénéficient mais aussi qu’il a été prouvé que d’avoir un chien ou un chat permet d’être en meilleure santé. Cela permettrait donc, selon lui, d’alléger le budget de la Sécurité Sociale.
Une proposition qui ne passe pas.
Pour les autres députés, cette proposition est une véritable plaisanterie. Peu de temps avant le NFP, et donc Aymeric Caron, ont souhaité supprimer le crédit d’impôt accordé aux personnes qui emploient d’autres Français et plusieurs niches fiscales et dans le même temps, le parti des gauches voudrait accorder un nouveau crédit d’impôt qui pourrait être un véritable gouffre financier.
De plus, ce crédit d’impôt ne serait accordé qu’aux personnes soumises à l’impôt justement et reviendrait donc à accorder une remise d’impôts aux personnes les plus riches, une démarche qui n’est pas vraiment dans les habitudes du NFP.
Les députés ont donc été nombreux à rejeter cet amendement lors du vote qui a suivi.
Un animal « de compagnie » comme un chien ou un chat coûte une centaine d’euros par mois en moyenne à son « propriétaire » (parfois plus).
En raison de l’inflation, ce coût a explosé ces dernières années, ce qui a provoqué une forte hausse des abandons.
Le drame a eu lieu ce lundi 21 octobre sur la route départementale 1113 près de Langon en Gironde. Une femme de 67 conduisait sur cette route en fin de journée lorsqu’un chevreuil percuté sur la voie est passé au travers de son pare-brise. La sexagénaire est décédée suite au choc avec le chevreuil.
Un accident rare.
Les accidents avec le grand gibier sont devenus avec le temps un vrai problème de sécurité publique. La majorité des accidents les plus graves concernent des collisions avec des sangliers ou des cerfs mais assez rarement avec des chevreuils qui sont moins massifs et les dégâts constatés en cas d’accident restent bien souvent matériels.
Cette fois, l’accident a eu une issue bien funeste car l’accident avec un chevreuil sur une route au niveau de la commune de Toulenne, en direction de Preignac, a fait un mort et deux blessés.
Le chevreuil a d’abord été percuté de plein fouet par une voiture qui circulait dans l’autre sens, en direction de Toulenne. L’animal a été projeté en l’air sous la violence du choc. La conductrice de 67 ans circulait dans l’autre sens et lorsque l’accident a eu lieu, le chevreuil est passé à travers son pare-brise.
Les secours n’ont rien pu faire.
Appelés sur place suite à l’accident, les sapeurs-pompiers ont tout tenté pour secourir la sexagénaire mais la victime était décédée sous la violence du choc avec le chevreuil.
Dans l’autre véhicule, ils sont venus en aide à deux femmes de 40 et 70 ans qui n’ont été que légèrement blessées dans l’accident mais qui étaient profondément choquées.
Valoriser la venaison n’est pas toujours chose aisée car il en faut pour tous les goûts. Tout le monde n’est pas toujours grand amateur des plats traditionnels que l’on peut mijoter à l’ancienne et c’est pour cette raison que les chefs cherchent sans cesse à revisiter l’utilisation de la viande de gibier.
C’est le cas dans cette vidéo partagée par la Fédération des chasseurs des Pyrénées-Atlantiques qui revisite un grand classique de la nourriture actuelle avec un hamburger basé sur la viande de cerf.
Quand on dit « hamburger » on pense assez vite à la malbouffe et pourtant, il est tout à fait possible de rendre ce plat gourmand et plus sain grâce à la viande de gibier ainsi qu’à des produits frais de qualité.
Avec un steak haché de cerf, du lomo de sanglier et de la tome de vache, on ne peut qu’imaginer toutes les saveurs que délivrent un tel burger qui ravira sans aucun doutes les petits et les grands!
Comme il fallait s’y attendre il n’a pas été nécessaire de patienter longuement avant que les associations animalistes ne s’attaquent à l’arrêté permettant de chasser le Tétras-lyre et la Bartavelle dans les Hautes-Alpes. Si les chasseurs n’avaient que des quotas infimes de prélèvements à réaliser, les anti-chasse ont encore une fois réussi à saboter cette pratique avec l’aide de la justice.
Une mise à mort de la chasse aux galliformes.
Voilà déjà plusieurs années que dans les départements concernés, les associations dîtes de protection animale font la guerre aux chasseurs de montagnes pour les empêcher de chasser ce qui sont pour eux les plus beaux oiseaux.
Les chasseurs se sont pourtant engagés en faveur de la protection du Tétras-lyre et de la Bartavelle depuis bien des années, à une époque ou ces associations ne savaient peut-être même pas que les oiseaux dont il est question existaient.
Dans les départements de montagne ou l’on retrouve ces gibiers, les chasseurs se sont depuis longtemps imposé des quotas drastiques et n’ont pas attendu les associations animalistes.
Pour autant, ces dernières en quête de chasseurs à casser et de modes de chasse à faire interdire comme One Voice, la LPO ou FNE, n’ont pas hésité une seconde à attaquer les arrêtés concernant la chasse des galliformes pour interdire aux chasseurs le moindre prélèvement.
Le peu de prélèvements qu’ils réalisent sont pourtant une récompense infime par rapport à l’engagement des nemrods sur le terrain pour des actions en faveur de l’habitat de ces animaux.
Malgré ce constat, le tribunal administratif de Marseille a décidé de casser l’arrêté préfectoral des Hautes-Alpes permettant aux chasseurs de réaliser les quelques prélèvements prévus.
La Fédération départementale ne veut rien lâcher.
Forcément, les chasseurs sont en colère de cette décision du tribunal qu’ils trouvent injuste. Au delà de leur investissement pour les espèces concernées, la chasse de ces animaux est encore une fois très ancrée dans les cultures locales.
Interdire la chasse de ces oiseaux est la même chose que d’essayer d’interdire la chasse aux pantes dans le Sud-Ouest, c’est une culture, un patrimoine, un mode de vie qui est attaqué.
En réponse à ces attaques, la Fédération des chasseurs des Hautes-Alpes a évidemment déploré qu’une telle décision puisse être prise par le tribunal administratif de Marseille et a affirmé qu’elle allait tenir bon :
« Face au militantisme et aux incessantes attaques en justice des associations anti-chasse, la FDC 05 reste plus que jamais déterminée à défendre cette chasse emblématique« .
Un jeune chasseur a récemment participé à une chasse en montagne mais ce dernier ne s’attendait pas à prélever un animal exceptionnel lors de cette journée dans l’Aude.
Mathis, que l’on retrouve sur son compte Instagram Math.Hunting nous partage le récit de cette journée ou il a probablement tué le sanglier de sa vie!
« Une date gravée à vie !
Après un bon café et les croissants à la cabane entre collègues nous voilà partis. le temps est dégagé, pas de vent… nous attaquons le pic !
Une chasse très physique rien que pour arriver au poste mais surtout difficile pour les traqueurs et leurs compagnons à 4 pattes… C’est parti !!
Deux heures de montée et nous voilà arrivés sur notre ligne, une vue à couper le souffle, des postes très dégagés, les animaux s’il y en a doivent arriver en face et nous pourrons essayer d’en prélever un quand il descendra les pierriers !
Pas le temps de charger la carabine que les traqueurs lâchent et… des sangliers sont lancés de suite !!
Les collègues sur le bas s’éclatent, des menées dans tout les sens et beaucoup d’animaux qui bougent quand en face de moi un sanglier arrive !
Il se défile, nous observons la scène et je laisserais le voisin faire le travail. Il stoppera un joli sanglier de 40 kg … S’en suit 3 heures de chasse intense, des meutes de chiens en forme, des traqueurs inarrêtables, ils nous font rêver !!
Peu de temps après, Jeremy m’appelle et me dit attention je monte faire le flanc de montagne derrière vous, les sangliers pourraient vous arriver de derrière… Je suis très attentif, Jeremy monte avec sa meute et lâche !
A peine lâchés, les chiens lancent, Jeremy hurle et m’annonce un énorme sanglier…. J’entends les cailloux rouler, les buis craquer… comme l’impression que tout est entrain de dégringoler et la… Un keiler sort a 20 mètres de moi avec les 7 chiens le suivant de près !
Un trophée hors normes avec des grès immenses! Il me voit et me fonce droit dessus ! Je reste calme et me dis que le tir est impossible, les chiens sont derrière. Le sanglier m’arrive alors à 4 mètres et décide de prendre le vallon pour remonter le flan en face … Je me concentre et me dis que tout va se jouer en face !!
Les secondes paraissent des heures, je vois tout d’un coup la végétation s’agiter en face et le voilà, tête bien haute comme si le roi de la montagne sortait ! Je me concentre, il remonte… je tire une balle… un peu derrière, il prend le travers, je m’applique sur mon swing… cul … tête… et je tire.
Le keiler s écroule d’une balle derrière l’oreille !
Jeremy arrive a mon poste et me demande ou est l’animal… Il descend rejoindre sa meute et arrive sur le sanglier, il se met à genoux, caresse sa meute et me dit « le sanglier de ta vie est devant moi…il est monstrueux ! »
L’autorisation m’est donnée d’aller voir l’animal, je descends et voit ce keiler entouré de la meute… Les larmes montent, je n’en reviens pas, je viens de prélever le sanglier de ma vie !!
La traque se termine et nous en prenons pleins les yeux, je décide de ne plus tirer, ma journée est déjà faite. Dès la fin de traque sonnée, les collègues me rejoignent et n’en reviennent pas !!
Place à la redescente, 1h de marche chacun avec notre sanglier. C’était magnifique.
Arrivé à la cabane le keiler monte sur la balance et son poids affichera 64 kg, un très vieux sanglier de montagne, un vrai keiler !!! Une journée que je n’oublierais jamais !!!
Je tiens à remercier du fond du cœur l’équipe de chasse qui partage avec moi tout ces week-ends, l équipe de traqueurs et leurs compagnons à qui je tire mon chapeau pour leur courage à déloger ces sangliers dans un biotope très dur ! Et pour finir un immense merci à Saint Hubert pour ces moments de chasse dont nous rêvons tous !! Bonne saison à tous. »
En ce début de semaine, le Préfet de Gironde a lancé une alerte sur les réseaux sociaux et dans un communiqué au sujet du loup. Un avertissement qui inquiète forcément les éleveurs de la région puisque cela faisait près d’un siècle que le loup n’était plus présent dans le département.
Un loup identifié dans une commune de Gironde.
Le 13 octobre dernier, un « grand canidé » a été aperçu sur le territoire de la commune de Braud-et-Saint-Louis située dans le nord de la Gironde. L’animal a pu être formellement identifié par les agents de l’Office Français de la Biodiversité comme étant un loup, ce qui a poussé les autorités à avertir les habitants et les éleveurs.
Peu avant cette observation, plusieurs attaques sur des troupeaux d’ovins ont été constatées dont l’administration a signalé que « la responsabilité du loup ne peut être écartée ».
Dans son communiqué de presse, le préfet explique que le loup ne représente pas un danger pour la population mais plutôt pour les troupeaux. Il est tout de même demandé aux habitants de signaler au plus vite toute observation potentielle d’un grand canidé « de type lupoïde ».
Il est également demandé de remonter à la DTM les attaques potentielles de loups sur les troupeaux.
Une cellule de veille va être mise en place.
Le communiqué annonce qu’une cellule de veille sur le loup va être mise en place dans les prochaines semaines et que les personnes en charge du dossier à la préfecture vont organiser une rencontre avec les acteurs du territoire concernés.
Les lieutenants de louveterie, les éleveurs, les chasseurs, des élus et des associations de protection animale vont donc se réunir prochainement pour mettre en place des projets de suivi de l’espèce dans le département afin de savoir s’il s’agit uniquement de loups de passage ou d’une meute qui est en train de se constituer durablement sur le territoire Girondin.
En attendant, les éleveurs sont priés de mettre à l’abri des attaques leurs troupeaux et la préfecture a aussi annoncé que des financements allaient être débloqués pour l’achat de matériel de protection des troupeaux et/ou d’effarouchement.
C’est pratiquement devenu un rituel, alors que la chasse du migrateur bat son plein et que les fêtes de Noël se profilent à l’horizon, le gouvernement a décidé de relever le niveau d’alerte concernant l’influenza aviaire hautement pathogène aussi connue sous le nom de grippe aviaire.
Retour des mesures de prévention et de biosécurité.
Les éleveurs et les chasseurs en ont désormais l’habitude, à chaque changement de niveau de risque concernant la grippe aviaire en France, il faut mettre en œuvre un certain nombre de mesures qui semblent, il faut bien l’avouer, assez inutiles depuis plusieurs années puisque le virus revient chaque année.
Pour tout dire, ces mesures sont pour le moment limitées au confinement des oiseaux selon le risque attribué à une zone précise. Cela peut aller de simples restrictions sur le transport des animaux à un confinement total de 42 jours.
Pour connaître les détails de cette nouvelle hausse de niveau de risque, l’intégralité de l’arrêté ministériel a été publié le 15 octobre dernier.
Certes, ces mesures permettent de contenir l’épidémie mais il serait temps qu’une vraie solution soit trouvée car les professionnels de l’élevage comme les chasseurs en ont assez de voir leurs animaux menacés par la maladie d’une part et leurs activités à l’arrêt d’autre part.
La vaccination continue.
Mise en place au 1er octobre 2023, la campagne de vaccination obligatoire des canards pour les éleveurs professionnels a été renouvelée pour cette année à la même date.
Une nouvelle campagne qui a d’ailleurs soulevé la colère des éleveurs car celle-ci n’est plus prise en charge par l’État qu’à hauteur de 70% contre 85% l’année dernière.
Pour le moment, rien ne permet d’affirmer ou d’infirmer que le vaccin sera également mis à disposition des éleveurs plus petits ou des chasseurs pour leurs appelants. Il faut tout de même s’attendre à ce que l’intégralité des doses disponibles restent réservées aux élevages professionnels dans les mois à venir et donc, les autres devront continuer de patienter en espérant passer au travers d’une éventuelle contamination.
La loi de la nature n’est pas aussi rose que certains animalistes essaient de le faire croire et dans le monde animal, tout peut rapidement tourner au vinaigre.
Au delà des prédateurs, même l’environnement peut se montrer rapidement hostile si l’on ne se montre pas extrêmement prudent.
Certains animaux ayant des attributs imposants tels que les mouflons doivent particulièrement faire attention ou ils passent car si leurs cornes sont un signe de puissance et une arme redoutable, elles peuvent aussi se retourner contre eux.
La présence de grillages, de fil de clôture ou même un arbre peut devenir un piège mortel pour ces animaux et sans la présence de l’homme dans cette vidéo, le mouflon serait probablement mort soit d’épuisement, soit attaqué par des prédateurs alertés par sa détresse.
Il n’est pas rare de croiser en ville des silhouettes de personnes aux abords de passages cloutés, par exemple, afin d’inciter les automobilistes à ralentir.
Cette technique bien rodée et efficace a été testée d’une toute autre manière en Allemagne, sauf qu’il ne s’agit plus de ralentir, mais carrément de s’arrêter…
Ainsi, deux amis qui partaient à la chasse ont aperçu un très beau sanglier prêt à sauter la route devant leur 4×4. Ni une, ni deux, l’un d’eux saisit son téléphone portable afin de filmer l’animal et pouvoir montrer à leurs collègues l’impressionnant spécimen.
Problème : il s’avère que l’animal ne bouge vraiment pas beaucoup… Et pour cause, dans un éclat de rire, les deux hommes s’aperçoivent qu’il s’agit d’un faux sanglier disposé en bordure de route, probablement pour faire ralentir les voitures.
Le procédé est presque dangereux, car quiconque connaît les dangers de croiser un tel animal va s’arrêter également, ce qui peut malgré tout provoquer un accident.
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