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A bientot
 

Invitez des non-chasseurs à partager votre dimanche !

L’opération « Un dimanche à la chasse » à l’initiative de la Fédération Nationale de la Chasse se déroulera le dimanche 18 octobre prochain, c’est le moment de chasser les idées reçues !

Durant une journée, les chasseurs s’ouvrent à tous ceux qui souhaitent découvrir leur passion. Les non chasseurs désirant participer à l’opération pourront profiter d’une journée de partage et découverte du mode de chasse de leur choix. Quoi de mieux que la découverte par le terrain pour enfin abolir cette image de guerriers assoiffés de sang que certains s’acharnent à nous accoler. Pour l’édition 2015, ce sont pas moins de 51 fédérations départementale qui ont répondu à l’appel. Les associations de chasse communales et privées des départements participants se chargeront de l’accueil des nemrods d’un jour sur leurs territoires.

La participation à l’opération est totalement gratuite, vous pourrez même tenter de gagner un cadeau ! A la fin de la journée, la seule contrepartie demandée à l’invité est de compléter un formulaire de satisfaction. Celui-ci vous permettra de participer à un jeu-concours afin de remporter un cadeau surprise. Si l’envie de découvrir cette passion qui dévore plus d’un million de Français vous prend, contactez la fédération de votre département qui vous indiquera comment vous inscrire. Sous réserve bien entendu que celle-ci participe à l’opération. Ou rendez-vous sur le portail dédié à l’opération « Un dimanche à la chasse ».

6 anecdotes sur Benelli à découvrir

Tous les chasseurs connaissent désormais la marque d’armes de chasse Benelli. Voilà près d’un demi siècle que fusils et carabines sortent des usines de production de Benelli apportant sans cesse de nouvelles technologies et innovations. Même si vous connaissez tous la marque actuelle, voici cinq petites anecdotes au sujet du fabricant italien qui vous en dévoileront un peu plus sur son histoire.

1- Avant d’être un fabricant d’armes de chasse mondialement réputé, Benelli était constructeur de moteur pour moto. La marque a vue le jour en 1911 et est toujours présente dans ce domaine, ce qui fait de Benelli le plus ancien fabricant de moteur européen.

2- Au début des années 1940, le marché de l’automobile est en pleine expansion, Benelli s’associe donc avec Luigi Castelbarco and Giuseppe Beretta afin de mettre au point un prototype de véhicule. Celui-ci verra le jour en 1948 mais des querelles internes empêcheront les associés de lancer une production de masse de leur véhicule.

3- Ce n’est qu’en 1967, après avoir breveté la technologie à inertie, que les frères Benelli se lancent dans la manufacture d’armes à feux. Ils ne souhaitaient pas ouvrir une nouvelle société et ou encore créer une autre marque, ils ont donc conservé le nom identique à leur fabrique de pièces automobiles.

4- Au cours des années 1990, Benelli dévoila le fusil semi-automatique Super Black Eagle, il fut le premier à être capable de tirer des cartouches de 70 à 89 mm. Il devint rapidement le best-seller de la marque. Son design entièrement novateur, les technologies innovantes employées, l’arrivée des motifs de camouflages, etc… sont autant de qualités qui permettent au Super Black Eagle II de figurer toujours en bonne place dans les rayons des armuriers, encore à l’heure actuelle.

5- En 2000, la société Pietro Beretta SpA rachète Benelli et Benelli USA. Beretta bénéficie d’un long historique dans la fabrication d’armes. La société italienne a vue le jour en 1526, soit plus de 440 ans avant l’arrivée de Benelli sur ce marché.

6- Benelli propose une large gamme de fusils semi-automatiques et de carabines de chasse. En 2015, le fabricant italien dévoile son premier fusil à canons superposés : le 828U.

Une balle sous-calibrée pour protéger vos chokes

Notre partenaire Cartouches Prevot dévoile un nouveau modèle de balle pour fusil de chasse dans sa gamme sous-calibrée « S ».

Au début des années 1970, le grand gibier prolifère en France et de nombreux chasseurs s’initiant à ce mode de chasse font usage de leur fusil de chasse à canons lisses, posant différents soucis de sécurité mais également techniques. George Prévot fabrique alors des cartouches dans son garage pour les armuriers de sa région. Il inventa alors la balle Prévot : une bille d’acier qui prend place dans un godet de plastique. Cette nouvelle technologie permet de tirer des balles dans des chokes traditionnels. Le procédé fut breveté par l’entrepreneur français dès 1974.

Plus de 30 années se sont écoulées, la technologie des balles sous-calibrées rencontre toujours un franc succès et la famille Prévot propose désormais une gamme complète continuellement agrémentée de nouveautés au fur et à mesure des avancées du monde balistique. L’année 2015 marque le lancement du modèle V12 S, une balle pour fusil de calibre 12 annoncée à 565 m/s. Des améliorations ont été apportées à la précision et stabilité du projectile, les performances de vitesses et d’énergie ont également été revues à la hausse. Les balles V12 S sont fabriquées en France et directement disponibles sur le site du fabricant cartouches-prévot.

Browning dévoile sa gamme de munitions

Browning est mondialement réputé pour ses armes de chasse, pour ces vêtements également depuis quelques années, nul doute que cette nouvelle gamme de munitions continuera sur cette lignée de grands succès…

 

L’année 2016 sera comblée de nouveautés pour Browning, le fabricant d’armes de chasse dévoile une gamme complète de munitions qu’il commercialisera sous son nom propre. Les cartouches et balles de chasse Browning résultent d’un étroit partenariat avec le fabricant Winchester. C’est ce dernier qui sera en charge du développement, de la fabrication, du marketing et des ventes des munitions Browning. Ce rapprochement entre deux légendes du monde cynégétique permettra t’il à la marque au « buckmark » de s’imposer dans des rayons déjà très chargés ? Attendons le lancement commercial des munitions Browning, annoncé dans un peu plus de 120 jours aux USA, nous n’avons pas encore d’information quant à l’arrivée de ces munitions sur le territoire Européen. Pour le moment, la gamme dévoilée outre-Atlantique paraît fort complète, il semblerait que l’objectif de Browning soit de satisfaire tous les tireurs :

BXR Rapid Expansion : il s’agit de la gamme de balle à expansion rapide – idéale pour les cervidés et petites/moyennes antilopes.

BXC Controlled Expansion Terminal Tip : ces balles plus lourdes seront destinées aux plus gros animaux : ours, grands cervidés, grandes antilopes, etc…
BXD Waterfowl Extra Distance : une gamme de munitions chargée de billes d’acier développée pour les sauvaginiers
BXD Upland Extra Distance : une gamme de cartouches de chasse qui offrira des charges de plombs #5 ou 6 en calibre 12 ou 20
BPR Performance Rimfire : une gamme complète de munitions de calibre .22 et .17
BPT Performance Target : cartouches dédiées au tir sportif
BXP Personal Defense et BXT Performance Target : munitions pour armes de poing

Plus d’information sur les munitions Browning.

Des braconniers foncent sur les agents de l’ONCFS

Des braconniers pris en flagrant délit percutent à de multiples reprises le véhicule des agents de l’ONCFS à Tremblay-les-Villages, dans l’Eure-et-Loir.

Dimanche 27 septembre aux alentours de 10 heures, trois agents de l’Office National de la Chasse et la Faune Sauvage (ONCFS) accompagnés d’un lieutenant de louveterie repèrent trois véhicules stationnés dans une friche. Les agents ne disposant que d’un seul véhicule, font appels à la gendarmerie. Malheureusement, ceux-ci n’auront pas le temps d’arriver sur place, les braconniers prennent la fuite rapidement, la voiture des agents leur fait barrage, ils n’hésitent pas à la percuter et forcent le passage, une course-poursuite s’engage sur la RN 154.

Les braconniers sont prêts à tout pour fuir, ils n’hésitent pas à heurter volontairement le véhicule des agents de l’ONCFS lorsque celui-ci parvient à les rattraper. C’est alors que les membres de l’office aperçoivent la troisième voiture sur une route parallèle facilement accessible qu’ils décident de stopper. Le véhicule des agents se retrouve face aux braconniers, ceux-ci ne souhaitent pas se rendre et fonce, de face, sur les policiers. Les deux véhicules sont immobilisés, fort heureusement, aucun blessé n’est à déplorer. Le conducteur et le passager sont interpellés, les fusils de chasse à leurs pieds. Deux lièvres ont été saisis dans le véhicule. Les deux braconniers sont poursuivis pour chasse sans permis, chasse sur terrain d’autrui, transport de munitions prohibées et refus d’obtempérer. L’EchoRépublicain.fr rapporte que le directeur de l’ONCFS 28 a confirmé que les agents ont également porté plainte pour mise en danger d’autrui. Espérons une sanction lourde pour ces braconniers prêts à tout pour deux lièvres…

En Suède, les élans posent problèmes

La Suède abrite la plus grande population d’élans du monde causant des dégâts conséquents pour les élveurs & agriculteurs et le débat avec les chasseurs peine à s’installer.

L’élan est un grand cervidé dont la zone de répartition s’étend sur toute l’extrémité nord du globe, du Canada à la Sibérie en passant par la Scandinavie. La Suède est le pays qui comptabilise le plus d’élans avec une population de plus de 400 000 individus, de dix fois supérieure à la population estimée en Russie. Bien que la chasse de l’élan soit une tradition solidement ancrée chez les Suédois, les éleveurs et agriculteurs grondent quant aux dégâts gigantesques provoqués par les cervidés. Un individu adulte peut peser jusqu’à 850kg, il peut consommer jusqu’à 200 litres d’épines de pins par jour ! Le problème se pose lorsque l’élan dévore littéralement l’une des premières sources d’exportation suédoise : le pin. Pour ces exploitants, la faute aux chasseurs qui privilégient les grands mâles aux femelles fertiles faisant ainsi grimper fortement la croissance de la population.

La chasse de l’élan en Suède n’a aucun équivalent, cette tradition affecte le pays tout entier, près d’un quart de million de suédois posent annuellement congés dès le 12 Octobre, date de l’ouverture de la chasse à l’élan. Des sociétés entières ferment leurs portes et c’est l’occasion pour de nombreux chasseurs de rejoindre leurs villages avant de passer une semaine en forêt, à traquer un animal. Près de 90 000 élans seraient ainsi tués dès les premières semaines de la saison. Les exploitants forestiers annoncent des pertes de 30% de leurs productions, dans certaines régions, plusieurs dizaines d’hectares de jeunes pousses ont été ravagés, dans d’autres, ce sont les haies, barrières naturelles pour les éleveurs bovins, qui sont victimes des élans. Ces « victimes » des élans souhaitent être entendu par les associations cynégétiques et développer un plan de prélèvement plus en adéquation avec leurs problèmes.

Une perdrix blanche dans le Nord

Depuis quelques années, les populations de perdrix rencontrent de grandes difficultés, les intempéries durant la période de reproduction étant fatales aux couvées, mais cette année la météo a été propice et les chasseurs peuvent espérer rencontrer de belles compagnies.

Dimanche dernier avait lieu, pour les chasseurs de la moitié Nord de la France, l’ouverture de la chasse en plaine. Ressortir le fusil, le carnier et le chien excité, un plaisir intense pour de nombreux passionnés. Jean-Claude Dehour, chasseur émérite du Nord, n’en est pas à sa première ouverture, il a connu ce que de nombreux chasseurs appellent « les belles années », où les centres commerciaux et autres zones industrielles laissaient encore places à de vastes plaines céréalières et où les densités de gibiers étaient de loin supérieure à celles que l’on connaît aujourd’hui. Et pourtant, jamais il n’avait eu la chance de prélever un tel oiseau : c’est avec une grande surprise qu’après son tir il découvrit cette perdrix au plumage totalement blanc dans la gueule de son chien. Bien que l’origine d’un tel coloris de plumage ne soit pas formellement déterminée, il est fort probable qu’il s’agisse d’une déformation génétique ou d’une simple dégénérescence pour cause de consanguinité.

Crédits photo : la voix du nord

Des artistes à la rescousse des zones humides

Depuis 1934, les chasseurs de gibiers d’eau Américains valident leur permis de chasse par l’achat d’un timbre, devenu l’emblème de cette pratique et réalisé par des artistes peintres. 

Conscient que la pérennité de leur passion doit se faire dans un constant effort de protection et d’aménagement de zones propices à la reproduction mais aussi aux haltes migratoires pour anatidés, les chasseurs de gibiers d’eau Américains doivent, depuis 1934, s’acquitter d’une taxe de 25$ qui sera essentiellement reversée en faveur du développement des zones humides. Ainsi, depuis cette époque, ce sont plus de 800 millions de dollars qui ont été récoltés. Chaque chasseur s’étant acquitté de la somme se voit remettre un timbre donc l’illustration est choisie, depuis 1949, par un concours national auquel tous les artistes peuvent apporter leur contribution. Chaque année, c’est l’occasion donc d’observer les œuvres d’arts de peintres dont les réalisations sont époustouflantes.

Depuis 11 années, trois frangins s’échangent à tour de rôle la première place du podium, les frères Hautman sont en effet d’incroyables artistes dont les œuvres ont remportés de multiples titres et décorations, leurs peintures ont été sélectionné sur plus de 50 timbres fédéral ou d’état ! Pour la saison 2015/2016, Joseph Hautman remporte la 1ere place avec cette splendide acrylique d’un couple de cygnes. Robert Hautman termine second et James Hautman en troisième position, tous deux avaient optés pour un couple de canards colverts. Pas moins de 157 peintures ont été soumises vous pourrez toutes les consulter sur cette galerie Flickr. Voici quelques exemples :

 

L’équipe de France de ball-trap championne du monde !

Les championnats du monde de Skeet, FO et DT se déroulaient du 9 au 18 Septembre dernier à Lonato en Italie. Notre équipe de France revient avec d’excellents résultats et notamment un titre de champion du monde en skeet par équipe ! Si vous n’aviez pas encore entendu parlé de lui, retenez bien ce nom car sa carrière est fort prometteuse : Anthony Terras. Ce jeune tireur porte fièrement les couleurs tricolores sur la scène du ball trap international et a réussi l’extrême prouesse de réaliser une poule de qualification sans faute : 125/125 ! Eric Delaunay, autre tireur français membre de cette équipe victorieuse, réalise un score de 120/125 et Emmanuel Petit obtient 119/125. Ces incroyables résultats offrent à notre équipe un total de 364 points et la première place du podium, devant l’Italie (362 pts) et les USA (360 pts).

Concernant les autres disciplines, nos français se sont également illustrés avec de remarquables scores et notamment en FO dames où Mélanie Couzi termine 13ème avec un honorable score de 68/75, Delphine Réau-Racinet termine 16ème avec ce même score et enfin Carole Cormenier atteint la 47ème place avec un score de 64 – vous pouvez ainsi facilement déduire combien les scores sont serrés sur la scène internationale.
Soulignons également la très bonne performance de Dylan Chauray en catégorie Skeet junior garçon qui a atteint la finale avec un score de 121/125 et termine 6ème.

Souhaitons donc bonne chance à notre équipe de Skeet et à Anthony Terras qui ont gagné leur place pour les jeux olympiques de Rio.

Tous les résultats de la compétition sont ici.

Un robot anti-braconnier

Le Département des Ressources Naturelles de Caroline du Sud aux USA déploie un robot-cerf pour lutter contre le braconnage.

Puisque rien n’arrête les braconniers, le département des ressources naturelles de l’état de Caroline du Sud entend bien à son tour surprendre les pilleurs de faunes. Subventionné par une association de gestion des cervidés, le robot est vêtu de fourrure d’un réel animal offrant un réalisme qui tromperait n’importe quel observateur. La chaine d’information Fox Carolina propose un reportage sur ce robot que vous pourrez observer en situation.

Téléguidé, l’agent peut contrôler à distance les mouvements du robot, il peut actionner la tête, la queue ainsi que les pattes du cervidé plus vrai que nature. Les bois sont amovibles permettant de transformer le robot en femelle. Baptisé Reed, ce robot coute la modique somme de 7000$, les agents de protection de la faune positionneront Reed à des emplacements stratégiques fréquemment empruntés par les braconniers.

 

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