Plus petite que la Sarcelle d’été, la Sarcelle d’hiver est aussi plus abondante. C’est le 1er canard 100% sauvage prélevé en France
Caractéristique:
C’est le plus petit des canards présents en France, pesant en moyenne 350 grammes. La sarcelle d’hiver est proche de la sarcelle d’été, qui est légèrement plus grande et passe l’automne et l’hiver en Afrique.
D’octobre à juin le mâle possède un plumage nuptial très coloré : une tête marron-roux avec une bande vert métallique de l’œil à la nuque, un corps gris avec une bande horizontale blanche et un croupion jaune bien visible. Les femelles sont plus discrètes avec un plumage brun tacheté.
En été et au début de l’automne, le plumage des mâles ressemble à celui de la femelle (plumage d »‘éclipse »), ce qui rend très difficile la distinction des sexes.
En vol, elle est facilement identifiable grâce à sa petite taille et à son vol rapide et capricieux.
Comportement et reproduction:
Son cadre de vie est les zones humides, aussi bien littorales (baies, estuaires, marais) qu’intérieures (étangs …).
La plupart des sarcelles d’hiver nichent dans le nord de l’Europe, principalement en Scandinavie et en ex-URSS. Les premiers migrateurs arrivent en France au mois d’août, les plus nombreux au cours de l’automne. Certains continuent ensuite leur migration vers l’Espagne et l’Afrique du Nord, tandis Sarcelle d’hiver
que d’autres s’installent pour passer l’hiver sur des grands plans d’eau (marais, étangs, estuaires, etc…) où ils se reposent et se toilettent. Ces « remises » sont quittées à la nuit tombée, quand les sarcelles se dispersent vers leurs lieux d’alimentation nocturne…
En France, lors des migrations d’automne et de printemps, la sarcelle d’hiver peut être rencontrée dans tous les types de zones humides et dans toutes les régions. De grands groupes de plusieurs milliers d’individus sont observés en hiver, principalement en Camargue, dans les zones humides du littoral Atlantique, de la Manche et de la Mer du Nord, mais aussi dans les grandes zones d’étangs ou sur le Rhin.
À la mi-janvier, le nombre de sarcelles d’hiver est de l’ordre de 80 à 90 000 individus. Comme elle s’alimente dans des plans d’eau peu profonds, qui se prennent rapidement en glace en cas de gel, la sarcelle d’hiver est parmi les canards les plus sensibles aux vagues de froid. Il est alors possible d’observer des déplacements très importants d’oiseaux fuyant l’Europe du Nord et se déplaçant vers le sud et l’ouest du pays.
Le nombre de sarcelles d’hiver nichant en France est de l’ordre de 500 à 1 000 couples, principalement dans la moitié nord du pays.
En période de reproduction, son aire de répartition couvre essentiellement la Russie, la Scandinavie et le Canada. Les couples se forment au cours de l’hiver. Entre la mi-avril et le début juin, la femelle pond de 8 à 11 neufs qu’elle couve 21 jours. Les canetons volent à 30 jours.
Pendant la saison de reproduction, les sarcelles sont très discrètes et font leur nid dans une végétation dense, toujours près de l’eau.
Alimentation
Son régime alimentaire est varié, essentiellement à base de graines (scirpes, céréales, joncs), de végétaux et de petits invertébrés aquatiques (larves d’insectes, moules, escargots) qu’elle trouve dans des marais ou des plans d’eau peu profonds.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .