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[Vidéo] Un cerf et sa harde s’offrent une balade en ville

La période du brame est arrivée et les amoureux de la nature ne vont pas manquer d’occasions de se rendre en forêt pour essayer d’entendre les cris du cerf, voir même, d’apercevoir une harde.

Il est moins fréquent de pouvoir observer une harde en pleine ville que lors du brame et pourtant, c’est arrivé dernièrement dans une ville italienne qui a reçu la visite d’une troupe pour le moins insolite.

A lire aussi : [Vidéo] Le brame du cerf a commencé à Chambord

Toute une bande de cervidés sont en effet venus faire un petit tour dans la ville, sous la surveillance du cerf qui ferme la marche.

Les habitants, amusés par cette situation, ont profité de la scène pour filmer les animaux dans leurs rues et les vidéos ont rapidement fait le tour du web.

Une prime de tir de 50 euros par marcassins pour lutter contre la PPA

Le spectre de la PPA fait son retour en Europe et la France a récemment rehaussé son niveau de surveillance pour réagir rapidement en cas d’apparition de la maladie sur notre territoire. D’autres pays ont déjà pris des décisions plus radicales comme la distribution de primes à l’abattage des sangliers.

Une prime pour encourager le tir des marcassins.

Voilà une mesure qui va faire ruer dans les brancards les chasseurs de grand gibier Français.

En effet, afin d’endiguer un maximum les risques de transmission de la Peste Porcine Africaine sur son territoire, le Luxembourg a décidé de prendre des mesures fortes.

Parmi elles, l’instauration d’une prime de tir de 50 euros pour les marcassins. Cette mesure sera accompagnée d’une adaptation des horaires de tir pour augmenter les chances de prélever des sangliers dans les zones à risques.

Cette disposition a été validée par le ministre de l’Agriculture du Grand-Duché, l’administration vétérinaire du pays, l’administration de la nature et des forêts, les chasseurs ainsi que la filière porcine.

Une mesure qui risque d’être incomprise de ce côté de la frontière.

S’il s’agit bien de tirer les marcassins, la mesure va faire grand bruit au sein des chasseurs Français.

Tirer plus de bêtes rousses, d’adultes, et même les laies non suitées passent encore, mais pour les chasseurs de France, tirer sur des marcassins, c’est franchir la ligne rouge.

Certes les chasseurs sont, de fait, des régulateurs mais tirer sur tout ce qui bouge tant qu’il s’apparente à un suidé est loin d’être dans l’ADN des chasseurs qui refuseront sans doute de détruire de cette manière le sanglier.

Cette prime s’inscrit bien évidemment dans une stratégie de lutte contre une épidémie mais si les chasseurs ne rencontraient pas autant de contraintes et si la chasse du sanglier, dans certains départements, n’était pas aussi coûteuse, il ne serait peut-être pas nécessaire de mettre en place de telles primes.

[Vidéo] Tirer un sanglier gîté dans l’eau, c’est possible

Quand on pense à la chasse aux sangliers, on pense directement à la battue traditionnelle dans les lots prévus ou lors de battues en plaine pour déloger les suidés des cultures.

Tous les pays ne rencontrent pourtant pas les mêmes problématiques avec le sanglier et si en France, la chasse du sanglier observe un rituel et une éthique précise, il n’en est pas de même sur tout le globe.

A lire aussi : [Vidéo] L’impressionnante détente d’un lynx qui capture son repas du jour

Dans cette vidéo, un homme se déplace sur une sorte de kayak quand il croise le chemin d’un sanglier.

L’animal est affalé au bord de l’eau et rapidement, l’homme va sortir une arme pour tirer sur le sanglier une fois que celui-ci a démarré. Chasse ou braconnage? Tous ne verront pas ces images de la même manière.

Yvelines : « On vit la boule au ventre à cause des sangliers

« On vient de signer un arrêté permanent avec l’association de chasse de la commune pour qu’elle puisse organiser des battues », explique le Maire d’une petite commune des Yvelines, qui s’en remet aux chasseurs pour faire le ménage dans les rues de sa commune.

À Vaux-sur-Seine, les sangliers sont en passe de prendre le pouvoir… enfin presque ! La mairie, et surtout les administrés, tirent la sonnette d’alarme depuis quelque temps déjà devant le danger que représentent les suidés.

Dans les hauteurs du village, chemin des Valences et sentier du Jonquet notamment, les sangliers ont pris l’habitude de venir y passer la nuit. Les témoignages des habitants qui ont fait des rencontres malencontreuses se succèdent : « J’ai eu la chance de pouvoir me cacher entre deux voitures qui étaient quasiment collées l’une à l’autre, poursuit-elle. J’ai vraiment eu très peur. J’aime la nature, mais quand il y a un souci de sécurité pour l’humain, il faut faire quelque chose », raconte Tatiana au journal 78actu. Une autre riveraine affirme avoir eu peur de sortir de sa voiture : « Je les ai entendus plusieurs nuits d’affilée. Comme la route n’est pas éclairée, on a la boule au ventre au moment de sortir dans la rue. La dernière fois, un voisin n’a pas osé sortir de sa voiture à 3 heures du matin, car il y avait des sangliers autour. »

La présence des sangliers inquiète forcément les habitants qui ne sont pas habitués à de telles rencontres. Même si l’on connaît le caractère craintif de ces animaux, on sait également qu’une mère en présence de sa progéniture peut devenir agressive… Que se passerait-il si une laie et ses marcassins croisaient le chemin d’un enfant, par exemple ?

Pour tenter d’endiguer le phénomène, des battues vont être organisées plus régulièrement par l’association de chasse Saint-Hubert, présidée par Daniel Rousseau. Ce dernier aimerait ne pas passer par la case « battue administrative », car il estime qu’elles causent trop de dégâts. L’arrêté signé par la commune va permettre aux membres de l’association de chasser sur les parcelles appartenant à la mairie, en espérant que cela puisse décantonner les animaux afin qu’ils passent plus de temps dans la forêt voisine !

Bilan des accidents de chasse 2023/2024

Dans un contexte de chasse-bashing où notre passion est devenue un loisir scruté et épié de toutes parts afin d’être stigmatisée pour faire les choux gras de la presse généraliste, ce début de saison de chasse est aussi l’occasion de faire le bilan sur les accidents de la saison précédente, avec comme à chaque fois des chiffres très bas.

La tendance à la baisse des accidents de chasse depuis les années 2000 s’est encore confirmée en 2023/2024 avec 6 décès, soit le nombre le plus bas jamais enregistré. Cela représente une baisse des accidents mortels de 77 % en 20 ans. Sur les 6 victimes, les 6 sont chasseurs, comme l’année dernière, donc aucun non-chasseur, fort heureusement, n’a perdu la vie.

Les accidents (non mortels) sont en revanche en légère augmentation avec 97 cas enregistrés sur la saison, cela représente une baisse de 42 % tout de même sur 20 ans !

Voyons maintenant plus en détail la répartition de ces accidents et leurs origines. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, et malgré 1 500 000 grands animaux tués, la chasse du grand gibier n’est pas beaucoup plus accidentogène que celle du petit gibier puisqu’elle représente 55 % des accidents contre 45 % pour le petit gibier. 40 % des accidents sont des auto-accidents, le reste ayant lieu avec un tiers.

Concernant la chasse du grand gibier, 42 % des accidents ont lieu à cause d’un tir dans l’angle des 30°, c’est à notre sens le point le plus grave à noter, car ce n’est pourtant pas faute d’obliger et de marteler cette consigne devenue de nos jours élémentaire. Vient ensuite une mauvaise manipulation de l’arme, qui engendre 19 % des accidents, 9 % avec des tirs dans la traque (!!), 9 % à cause d’un canon obstrué, 8 % à cause d’une chute, 8 % à cause de la bretelle, 2 % à cause d’une arme chargée au poste, 2 % à cause d’un tir non identifié et enfin 1 % seulement suite à un ricochet hors des 30°.

Au niveau du petit gibier, les causes sont différentes et 59 % des accidents sont dus à une mauvaise prise en compte de l’environnement (tir trop bas, trop près, dans de mauvaises conditions de visibilité…), comme on peut le constater sur le graphique ci-dessous. Ce sont ensuite principalement une mauvaise manipulation de l’arme qui est à l’origine de plusieurs accidents.

S’agissant des dommages matériels causés par l’utilisation d’une arme, sans blessure corporelle, l’OFB observe une augmentation des signalements (103 contre 84 l’année précédente). Sur les 103 incidents recensés, 56 concernaient des tirs vers les habitations, 18 des tirs vers des véhicules et 29 des tirs sur des animaux domestiques. « Il est impossible de déterminer si cette augmentation statistique est liée à une augmentation du taux de déclaration des incidents ou si elle reflète une réelle augmentation des situations dangereuses », précise l’OFB.

[Vidéo] Le Youtubeur « Pas Végan » revient sur l’attaque de migrants sur une hutte du Pas-de-Calais

L’arrivée d’internet et des réseaux sociaux a changé la donne en matière de communication et heureusement, les chasseurs, les pêcheurs et amoureux de la ruralité n’ont pas trop loupé le coche.

S’il a fallu quelques années pour que ces derniers s’engouffrent dans ce nouveau monde, nous avons aujourd’hui plusieurs porte-paroles qui font très bien leur travail.

Ces « Youtubeurs » vulgarisent nos cultures, expliquent les contradictions de nos opposants et mettent en avant notre mode de vie.

C’est le cas de « Pas Végan » qui a rencontré un succès conséquent sur Youtube grâce à ses vidéos tournées sur un ton humoristique mais toujours avec beaucoup de fond.

Ce dernier est revenu sur l’attaque de migrants subie par des chasseurs de gibier d’eau dans une hutte du Pas-de-Calais le week-end dernier et parle également des réactions de certains anti-chasse. Des réactions qui prouvent que le combat pour les animaux n’est qu’un prétexte pour justifier une haine infondée du chasseur comme nous en parlions suite aux témoignages des chasseurs attaqués dans leur tonne.

Un randonneur évacué par hélicoptère après avoir été mordu par des patous en Haute-Savoie

C’est une problématique qui devient récurrente en montagne et sur les chemins de randonnées. Les randonneurs doivent désormais composer avec la présence des patous chargés de défendre les troupeaux des éventuels dangers et une fois encore, un accident s’est produit en Haute-Savoie.

Un randonneur blessé par des patous dans le Beaufortain.

Un randonneur d’une trentaine d’années s’est rendu dans le massif du Beaufortain, près du Mont Joly, sur le territoire de la commune de Contamines-Montjoie en Haute-Savoie pour une sortie qu’il pensait tranquille.

L’homme était manifestement mal renseigné car une fois sur place, il a fait la rencontre de deux patous qui se seraient alors montrés très agressifs.

Difficile de savoir pourquoi les chiens ont été aussi véhéments mais le randonneur a été pris à parti par les chiens de protection qui l’ont mordu au niveau du bras avant que ce dernier ne réussisse à prendre la fuite.

Il s’est réfugié le long d’un ruisseau avant de pouvoir appeler les secours.

C’est le PGHM de Chamonix qui a pris l’appel en charge et les secours se sont rendus sur place en hélicoptère pour évacuer le randonneur blessé.

L’homme a été transporté d’urgence vers l’hôpital de Sallanches pour y être soigné et y suivre des examens médicaux.

Des attaques souvent causées par les promeneurs eux-mêmes.

Les patous sont des chiens de protection dressés pour prendre en charge la protection des troupeaux en cas d’attaque de grand prédateur. Ils sont donc capables de faire face à une meute de loups ou à des ours et s’opposent à la moindre menace qui pourrait se présenter à proximité du troupeau qu’il défend.

Depuis déjà plusieurs mois, les autorités ont mené des campagnes de prévention à destination des promeneurs et des randonneurs en ce qui concerne la présence des patous.

Plusieurs vidéos ont d’ailleurs été publiées pour faire la démonstration des bons comportements à adopter face aux chiens de protection que nous avions partagé dans cet article : Promeneurs et randonneurs : quels sont les bons gestes à adopter face aux chiens de protection?

[Vidéo] Un Braque Allemand profite d’un petit tour en bateau

Nos compagnons à 4 pattes font littéralement partie de la famille. Bien souvent, ils nous accompagnent partout ou ils le peuvent et lors des escapades en pleine nature, ils sont toujours de la partie.

Que l’on parte à la chasse ou à la pêche, on les emmène forcément avec nous comme c’est le cas de ce Braque Allemand qui vit sa meilleure vie comme disent les jeunes.

A lire aussi : [Vidéo] Un renard en bien mauvaise posture dans la calandre d’une voiture

Lors d’un passage en bateau sur un superbe plan d’eau, le chien bien équipé profite d’un bon moment.

Appuyé sur le bord de l’embarcation et le nez au vent, ce chien va forcément faire envie à pas mal d’entre nous vu l’environnement autour de lui.

[Vidéo] Un renard en bien mauvaise posture dans la calandre d’une voiture

Voilà une situation qui serait bien périlleuse à exposer à son assureur sans avoir pris une vidéo auparavant.

Le gibier, grand comme petit, a tendance à beaucoup traverser les routes en zone rurales à certaines périodes de l’année et encore plus une fois la nuit tombée.

A lire aussi : [Vidéo] Un marcassin se retrouve la tête coincée dans une clôture

Si percuter un sanglier peut faire pas mal de dégâts, percuter un renard peut également nécessité de grosses réparations.

Dans cette vidéo, un conducteur a apparemment percuté un renard sur la route. Si ce dernier ne semble pas être blessé, il s’est retrouvé coincé dans la calandre de la voiture et mord dedans à pleines dents pour tenter de s’évader.

Vocabulaire chasse : peut-on dire « une harde de sangliers »?

La chasse est un monde qui peut paraître obscur aux non initiés. C’est une activité qui possède sa propre culture, remplie de codes, d’éthique et également d’un vocabulaire précis. Certaines de nos expressions sont d’ailleurs reprises dans les médias et par le grand public mais souvent, les mots repris sont assez mal utilisés.

Une compagnie et pas une harde!

L’arrivée massive des sangliers dans les cultures et même en pleine ville fait que les médias parlent de plus en plus régulièrement des suidés. Une laie et ses petits qui traversent un parc pour enfant, une troupe toute entière qui fouille la nuit dans des poubelles Marseillaises et bien d’autres évènements mettent aujourd’hui en scène les sangliers dans nos zones urbaines.

On peut donc régulièrement lire dans les gros titres « Une harde de sangliers dans la ville ».

Cette formule hérisse forcément le poil des puristes car, même si la formule « harde de sangliers » est désormais reprise dans certains dictionnaires suite à l’utilisation abusive de cette dernière dans les journaux, elle n’est pas correcte du tout du point de vue cynégétique.

Même quelques ouvrages de littérature ont pu reprendre cette formule jugée abusive par les nemrods de France et il suffit de se tourner vers la définition du Larousse pour en convenir :

Harde : nom féminin, (francique *herda, troupeau). Troupe de ruminants sauvages. Exemple : Une harde de daims.

A lire aussi : Connaissez-vous les 3 départements où il se tue le plus de sangliers chaque année ?

Le mot harde ne s’applique donc qu’aux ruminants dont le sanglier ne fait pas partie même s’il s’agit d’un ongulé.

Le terme « harde » ne s’applique qu’aux cervidés.

Dans le vocabulaire de la chasse, le terme de harde ne s’emploie que pour désigner une troupe de cervidés et pas uniquement pour « les biches » à savoir les chevreuils, les cerfs, les daims, etc.

Il peut aussi être employé dans d’autres contextes notamment dans le milieu canin en vènerie mais ce n’est pas le sujet de cet article.

Alors messieurs dames les journalistes qui travaillez dans les grands médias, ne faites plus l’erreur qui donne des frissons aux chasseurs qui voient leurs termes galvaudés dans pas mal d’articles : quand on parle de sangliers, on parle d’une compagnie et quand on parle de cervidés, c’est une harde!

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