Ce matin, une délégation de chasseurs, d’élus (Marc Meissel, Alain Pérea) et d’associations de chasse a été reçue à Matignon, non par Jean Castex comme initialement annoncé, mais par son cabinet, afin de discuter de l’avenir des chasses traditionnelles.
C’est bien un avenir à court terme, avec la signature d’un arrêté fixant des quotas de chasse pour la saison 2020/2021, mais également à long terme sur l’avenir même de ce mode de chasse dont il a été question.
Un quota d’oiseaux sera-t-il défini cette saison ?
Cette question n’a pas eu de réponse claire et précise comme on l’espérait. En effet, le directeur du cabinet a pris bonnes notes des (nombreux) arguments des chasseurs plaidant en faveur de cette chasse et qui réfutent, pour la plupart, ceux de nos opposants. Le caractère sélectif de cette chasse et la volonté de Barbara Pompili de découdre ce que les chasseurs ont obtenu précédemment, avec notamment Mme Wargon, ont notamment été avancés.
Le cabinet du premier ministre s’est engagé à ce que la réponse soit connue d’ici quelques jours. En dernier ressort, ce sera malgré tout la Ministre de l’écologie et de la transition solidaire qui devra signer cet arrêté.
L’avenir des chasses traditionnelles entre les mains de l’Europe
Autre sujet majeur, la mise en demeure de la commission Européenne concernant les chasses traditionnelles. Dernier pays d’Europe à les pratiquer, la commission Européenne a visiblement du mal à comprendre, voir à accepter ces modes de chasse.
Suite au recours de la LPO déposé auprès de la commission Européenne, d’ici septembre la France va donc devoir s’expliquer et fournir une synthèse à l’UE au sujet de la chasse au gluau notamment. La délégation présente ce matin a demandé à ce que les associations de chasses traditionnelles soient associées à cette synthèse afin de pouvoir y apporter des éléments tangibles et scientifiques, notamment en faveur de son maintien.
L’avenir des chasses traditionnelles va donc bel et bien se jouer dans les semaines à venir…
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .