Les chasseurs sont des acteurs engagés qui vivent la nature au quotidien et sont passionnés par les territoires sur lesquels ils vivent. Ils sont les premiers témoins des changements qui affectent les biotopes, la faune et la flore. Conscients de l’importance de préserver la biodiversité pour les générations futures, ils sont parmi les principaux artisans de l’aménagement des zones rurales et de la protection des écosystèmes. Alors que la perte de biodiversité et le changement climatique menace l’équilibre écologique de notre planète, découvrez le rôle des chasseurs pour combattre ces menaces.
Chaque année, les 650 000 chasseurs bénévoles avec le soutien de leur fédérations œuvrent inlassablement pour le bien être de la faune sauvage à travers de très nombreuses actions méconnues du grand public. Voici quelques chiffres qui montrent à quel point les chasseurs sont un des maillons essentiels de la biodiversité.
26 843 hectares de cultures faunistiques
Les Fédérations des chasseurs ont mis en place 26 843 hectares de cultures faunistiques et floristiques en 2024 selon différents dispositifs réglementaires. Il s’agit de cultures dites intermédiaires, de cultures mellifères et de jachères environnementales. 6 559 contrats ont été passés entre les FDC et les acteurs du territoire dont les agriculteurs. Les chasseurs sont également un moteur de l’aménagement et de l’entretien des zones humides telles que mares, étangs et lacs en intervenant sur 12 980 hectares depuis 2022.
670 km de haies
Les chasseurs sont des acteurs incontournables et reconnus de ces enjeux. En 2024, cette expertise se traduit concrètement par la plantation de 670 km de haies, buissons et arbres champêtres, sans oublier l’entretien de ces linéaires.
Alors que le gouvernement a annoncé, en septembre 2023, un pacte en faveur de la haie dont la FNC est partenaire, cette dernière a pris l’initiative de s’engager encore plus loin vers la promotion de la haie auprès des collectivités et des citoyens.
1102 km de chemins ruraux réhabilités
Les chemins ruraux qui sont bordés de haies, d’arbres et de bosquets avec des bas-côtés enherbés sont des éléments essentiels du patrimoine rural. Ils abritent une flore et une faune diversifiée et constituent des réservoirs de biodiversité. Dans les communes, les chemins et les sentiers ruraux sont parfois les seuls éléments du paysage qui permettent de maintenir des corridors écologiques. Si leur rôle environnemental est indiscutable, ils ont également un rôle social important : les chemins ruraux sont les garants de l’accès du public à la nature.
La FNC est d’ailleurs à l’origine du projet « Ekosentia : chemins ruraux, cœur de biodiversité ». Ces chemins retrouvent une seconde vie grâce aux milliers de bénévoles que sont les chasseurs. En 2024, 1 102 km de linéaires de chemins ruraux ont été réhabilités et/ou entretenus dans ce cadre du projet Ekosentia.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .