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« Les indices génétiques indiquent que la population de loups est au moins deux fois supérieure à ce qu’annonce l’OFB »

loups dans le loiret
loups dans le loiret

Les choses bougent encore considérablement du côté des éleveurs au sujet du loup, une problématique qui engendre toujours autant de frictions entre les organismes officiels et les syndicats. Dans une émission diffusée par un média indépendant, un éleveur a pu être interviewé sur la question du suivi des populations du loup et son constat est sans appel : les calculs sont biaisés pour coller au narratif officiel.

Un suivi des populations de loups contestable et contesté.

Depuis des années, les modes de comptage des loups et des meutes sont sans cesse contestés par plusieurs acteurs de la ruralité. A plusieurs reprises, des comptages parallèles ont même été menés par les agriculteurs et les chasseurs par exemple pour tenter de vérifier l’hypothèse selon laquelle les chiffres officiels étaient des estimations trop basses de la réalité du terrain.

Déjà en cas d’attaques sur des animaux d’élevage, il n’est pas si facile de voir l’OFB confirmer officiellement qu’il s’agit d’un loup s’il y a le moindre doute, alors dans le cadre encore plus flou d’une méthode de comptage, on peut comprendre la méfiance des parties prenantes.

Ces différences d’estimations du nombre de loups en France entre l’OFB accompagnés par les écologistes autour de la table et les autres acteurs du monde rural sont devenues si grandes que les éleveurs et les chasseurs ont décidé de claquer la porte du Comité Départemental loup dans les Alpes-Maritimes dernièrement.

Trop d’indices laissent penser que la population de loup est largement sous-estimée.

Dans une émission appelée « Tocsin- La matinale » diffusée sur la chaîne Youtube éponyme, le présentateur Valentin Schirmer va interroger Sylvain Rigeade, éleveur à Eygalayes, très impliqué dans le suivi du loup et en charge d’une étude avec la Coordination Rurale concernant les méthodes de suivi actuelles du loup en France.

Le saviez-vous ?  Un lama tué lors d'une attaque de loups près de Montpellier

Pour lui, le constat est sans appel et les documents émis officiellement du côté de l’OFB comme du CNRS sont publiés dans le but de coller au narratif du loup comme espèce en voie de disparition plutôt qu’à la réalité du terrain :

« L’OFB et le CNRS utilisent différentes modélisations, ils font leur recette quoi… et il y a des éléments qui viennent brider l’expression de la génétique. C’est à dire, si vous voulez que, les modèles qu’ils utilisent, ça en dit beaucoup plus long sur ceux qui les font que sur le nombre de loups qu’il y a. »

26 réflexions sur « « Les indices génétiques indiquent que la population de loups est au moins deux fois supérieure à ce qu’annonce l’OFB » »

  1. Chasse Passion tombe dans la désinformation et les face news et cela vous ressemble parfaitement. Vous énoncez des énormités.
    Pourquoi un éleveur ayant une chaîne YouTube serait il plus légitime de pouvoir contester les comptages de L’OFB ? En quoi peut prétendre détenir la vérité. Avec vous c’est le dernier qui a parlé qui a raison. Le comptage n’est pas une science exacte , il y a une marge d’erreur et les modèles en tiennent compte. Il faut arrêter de voir le grand complot partout.

    1. Et en plus les loups mangent les enfants …….
      Triste article sans aucune source fondée .
      Merci pour cette médiocrité

    2. Sanvido,les éleveurs,je crois sont en contact avec les loups,certains sont en train de baisser les bras,d abandonner.les alpages seront remplacés par des fougères et des ronces,on importera des fromages pasteurisés.quant au loup il coûte aux contribuables 60000 euros par unité.

  2. Donc plutôt que des experts organisés et équipés d’outils, vous préférez la parole d’éleveurs et de chasseurs qui « sachent » mieux ?
    L’ultracrépidarianisme n’est pas une qualité. Vous faites dans le complotisme, et on se croirait au bar. Vous faites ça avec tout le monde…

    1. Loup,sauf que le fait d avoir participer au comptage,le nombre a bondit de 300 individus, bizarre non!comme le nuage radioactif qui n avait pas franchi notre frontière.

  3. J’habite une vallée alpine où l’élevage ovin est important et où il y a des loups. Je peux donc comprendre la colère des éleveurs lorsqu’un troupeau se fait attaquer . Mais que viennent faire les chasseurs là ? De quoi se plaignent-ils ? Que les loups mangent « leur » gibier ? On marche sur la tête, non ? (et je suis un ancien chasseur).

    1. Ancien chasseur vraiment ? J’en doute ou sinon c’était en Sologne dans le cadre de chasse privée qui s’apparente à du ball trap. Si vous étiez chasseur vous devriez savoir que la Fédération nationale de chasse indemnise les agriculteurs pour tous les dégâts causés par le grand gibier (sanglier, chevreuil…) Il n’est donc pas exclu, le loup faisant partie de la faune sauvage, que la fédération participe à ces indemnisations. J’ajoute que les chasseurs dont les premiers acteurs à la conservation des espèces sauvage (zone d’agréage…) et certainement pas les écolos de salon.

    2. Je suis né en campagne j ai toujours côtoyer la nature pêche chasse champignons j adore cette mère nature je la respecte je vie avec .
      Mais s il vous plait écologistes de tous bords qui prenez l avion pour vous faire bronzer sur des plages où l on à monté des hôtels 4 étoiles pour votre plus grand plaisir. Vous derrière vos ordinateurs votre métro et grandes surfaces.
      Laissez nous vivre respectez nous restez dans vos villes .On demande juste un peu de respect avec les ruraux.

  4. Bonjour Ours Polaire. C’est bien gentil tout ça, une seule question pourquoi avoir réintroduit le loup? En effet, contrairement à ce que disent les ayatholats de l’écologie, il ne s’est pas réimplanté naturellement. Comme je le dit dans un autre commentaire, à la fin des années 80, un comptage de chevreuils et de chamois avait été organisé par l’ONF et les responsables du Parc du MERCANTOUR pour estimer les populations atteintes d’une maladie. La chasse étant interdite dans le parc, les populations étaient devenues trop importantes et la maladie est apparue, il n’y avait pas de chasse pas de prédation sur les cheptels. Donc ce comptage devait déterminer les têtes qui restaient par zone. Malheureusement en raison d’un brouillard dense et dangereux, les responsables n’ont pas pris le risque d’envoyer les équipes sur le terrain et le comptage a été remis (il y a environ 1 an un responsable maintenant à la retraite en a parlé dans une revue de louveterie). Mais ce qui est bizarre c’est que l’on a annoncé dans la presse qu’à l’occasion du comptage les chasseurs avaient pu voir des loups. Et là tout s’est emballé : « Le loup revient naturellement dans le Mercantour, certainement par l’Italie ». Je ne m’étendrais pas sur les études qui ont justement été faites en Italie où l’on observe qu’il y a plus de 50 pour cent d’ADN de chien dans le loup Italien. Maintenant, ces dernières années les loups en France ont progressé tellement vite dans certaines zones qu’on arrive à avoir le sentiment que c’est une race adepte du parachutage. Pour conclure, qu’il dérange ou ne dérange pas, la question n’est pas là. Comme l’a dit un certain 1er ministre à propos d’autres prédateurs : « Tu protèges, tu payes ». Il n’y a aucune raison que les Français soient ponctionnés de 110 millions d’euros par an pour le plaisir d’une poignée d’écolos complètement ahuris, alors One Voice, l’ASPAS, etc sortez le chéquier.

  5. Ben oui forcément, ça vous arrangerez bien qu’il y ait beaucoup plus de loup annoncé, histoire de pouvoir en tirer plus.
    Total confiance en l’OFB, ils n’ont aucun intérêt à biaiser les chiffres. Soyez honnête et ouvre les yeux arrêter de toujours vouloir tirer plus que nécessaire.

  6. Résumons : pour l’auteur de l’article, il ne faut pas avoir confiance en l’OFB, organisme qui est actuellement attaqué de toutes parts, y compris par le gouvernement, c’est à dire leur employeur! Ensuite, les scientifiques du CNRS seraient des « vendus » qui truquent les données pour les faire « coller au discours officiel ». Quel discours officiel? Il y a quelques années un ministre s’engageait qu’il n’y ait plus d’attaques de loups sur les élevages. D’autres ministres et politiques ont milité à Bruxelles pour que le niveau de protection du loup soit abaissé. On est donc loin d’un discours pro-loup dans le gouvernement d’un françois Bayrou pro-chasse!
    Les protecteurs du loup comme moi savent parfaitement qu’il faut accepter de sacrifier des loups quand c’est nécessaire pour canaliser les colères et éviter l’éradication complète de l’espèce en France. Nous ne sommes pas des « Khmers Verts » et le débat ne concerne que le nombre de loups à sacrifier, où et quand.
    On en revient donc à la question du comptage : les « anti-loups » ont intérêt à exagérer les chiffres : plus ils sont hauts, plus le nombre d’attaques imputées aux loups sera élevé, plus on en abattra et plus d’indemnisations seront versés.
    Les « pro-loups » ne sont pas non plus inncoents : ils préférent minimiser le nombre de loups et d’attaques pour éviter l’abattage d’un trop grand nombre de représentants de l’espèce, ce qui pourrait la déséquilibrer génétiquement ou en compromettre la survie.
    Il est très difficile d’être à la fois « pro-loups » et « pro-éleveurs ». C’est un peu comme être « pro-russe » et « pro-Ukrainiens »! Mais on peut laisser parler le bon sens.
    Selon les observations des zoologues, une meute de loups contrôle, selon l’abondance des proies, un territoire compris entre 150 et 300 km2. Ce territoire peut parfois être plus grand pour les solitaires. Il ne concerne que les loups sédentarisés.
    Pour les « errants » (jeunes individus à la recherche d’un(e) partenaire sexuelle, ils peuvent parcourir d’énormes distances. Un loup gris repéré en Catalogne en 2024 a été identifié comme un jeune mâle dans le nord de l’Allemagne : en 3 ans, il a parcouru 1240 km!
    Le nombre de loups en France n’est donc pas un chiffre « fixe » : des individus sortent de nos frontières pour aller ailleurs et d’autres y entrent, parfois pour s’y installer, parfois pour le traverser.
    On ne peut donc faire que des estimations à l’instant « T »!
    L’OFB annonce pour 2023 1013 loups, ce qui montre une stagnation des effectifs au plan national s’entend. L’auteur de l’article assure qu’ils sont plus nombreux : deux à trois fois, soit de 2000 à 3000 animaux… ce qui n’est guère prècis!
    Admettons que les chiffres de l’OFB soient vrais, mais sous-evalués de 20% (ce qui serait déjà considérable!) : cela ne ferait qu’au grand maximum de 1200 loups. Sur ces 1200, 192 doivent être abattus, sans compter ceux qui périront accidentellement, par braconnage (eh oui), par maladie ou par vieillesse (eh!).
    C’est à dire, près de 16% de l’effectif total : on est loin d’un « ménagement » de l’espèce!
    Il est évident que certains aimeraient que cela soit 100% Ah! Une nature sans prédateur, sans animaux « nuisibles ». Mais serait-ce une encore une « nature » ou un « jardin » voulu et organisé par l’homme?
    Sauriez-vous me dire ce que vous préférez entre les deux alternatives? Pensez-vous comme moi qu’il est possible de faire un troisième choix en tuant le loup là où il pose vraiment problème tout en respectant les impératifs liés à la survie de l’espèce?
    Ce n’est pas qu’un débat économique, mais aussi un débat autour de notre façon de voir le monde qui nous entoure. Sommes nous les « Maîtres du Monde » ou simplement des habitants de la planète parmi d’autres? Doit-on systématiquement agir que dans notre seul intérêt, et surtout uniquement dans le sens de l’économie?
    Bonne réflexion!

    1. Les dispersants longue distance représentent moins de 2% des effectifs et casi exclusivement des mâles.
      Un teritoire de meute en zone de forte densité ça peut etre moins de 100km².
      Ma meute est montée à plus de 20 loups.
      Effectif ofb est l effectif résiduel, donc après avoir subit toute la mortalité de l année.
      Un moyen simple de vérifier ce chiffre, est de comparer le taux de détection de l effectif ofb (nb de loups détectés ÷ nombre de loups officiel×100), soit 57% pour le dernier effectif. Avec le taux de détection des dépouilles sur une période beaucoup plus longue. (Nb de dépouilles dont le profil a déjà été détecté l année de la découverte + l année précédente ÷le nombre de dépouilles ×100). On devrait avoir sible chiffre est bon un taux de détection proche, il est de 25% la même année. Les dépouilles sont une fraction de la population réelle, un échantillon solide qui représente 22% de l effectif officiel…
      Et j en passe. Le rapport fait plus de 50 pages, attendez de le lire avant de critiquer

    2. Pour la suite,
      Le taux de 19% de tir est un mensonge, le quotat est calculé sur l effectif provisoire (en moyenne 20% plus bas que le consolidé), fin d hivers donc ayant subi toute la mortalité de l année, et donc de l année n-1.
      Sur l année n il est réalisé sur la population réelle, pour avoir 1013 loups en effectif résiduel après les 38% de mortalité, il faut monter à 1634 loups. Le taux de prelèvement moyen depuis 2019 est de moins de 10% sur effectif réel.
      Le tir de défense est un outil qui permet de conserver l efficacité des moyens de protection. Il permet d éviter les sur-densités de loup (quand le loup est obligé de se nourir sur le domestique, c’est la définition du foyer de déprédations) et de le rétablir dans des curseurs comportementaux compatibles avec la protection des troupeaux. C’est à dire éviter de donner un avantage evolutif à ces loups.
      L effectif que je calcule l est à partir des données génétiques de lofb, un tableur de plus de 10 000 lignes qui correspond à 4 années dvanalyses.
      C’est à dire qu’on a une fluctuation de la population entre un effectif maximum, autour de 3000 loups et un effectif minimum autour de 2300 loups.
      Ce qui fait un taux de tir de défense entre 6 et 7%.
      Ce qui explique que depuis 5 ans 30% des tirs sont réalisés dans le 06 (8% de l aire de répartition maille meute du loup) sans que la population ne s y soit effondrée.
      En ce qui concerne, la cohabitation, moi je cohabite avec un tat d animaux, loups, renards, sangliers, cerfs, campagnol, insectes, « virus », bactéries . Nous avons l habitude. Quand je fait intervenir la louveterie pour tuer de nuit des sangliers dans mes poichiches, personne m accuse de vouloir exterminer le sanglier, contrôler la nature ou je ne sais quoi d autre. Pour le loup c’est pareil. Quand on travaillera avec les vrais données, ce sera plus limpide pour tout le monde.
      Pour mémoire, déjà en 2017, les scientifiques de l ofb et du cnrs expliquaient que on tirait trop de loup et que la population allait décliner. En 2020, ils annonçaient 48% de mortalité à cause du quotat de tir à 10%… depuis il a doublé. La population de loups aussi. Ce sont les mêmes scientifiques… et ils mentent toujours.

    3. Bonjour , je suis chasseur, j aime le loup , je trouve cet animal magnifique sans pour autant être pro loup . Je comprends les éleveurs et je trouve votre réflexion intéressante. Éliminer le loup là ou c est nécessaire, ou il fait des dégâts. Maintenant, je pose une autre question, , le citoyen lambda est il prêt à croiser une meute de loups au coin du bois comme on croise un renard , un chevreuil ?? Car c est ce qui arrivera si le loup continue sa colonisation de notre belle France .
      Sommes nous réellement prêt pour côtoyer ce grand prédateur à côté de chez nous . Car c est de cela qu il s agit.
      Il n y aura plus que les éleveurs qui seront concernés, et tous ces défenseurs du loup qui habitent là où il n y en a pas.c est toujours plus simple d être pro loup quand on habite à 800 kms . Demain quand sera t il quand il sera dans le bois à côté de chez vous ?
      La est une autre histoire.

    4. Ours polaire,tous les pays même la Suisse,se,sont mis a en tuer.car partout, contrairement a ce que l’ on veut nous faire croire ils posent problème.allez demander aux éleveurs ce qu ils en pensent, certains abandonnent .les prairies seront vite remplacées par les ronces.quant au comptage de l ofb,les chasseurs ont tenus a y participer et le chiffre a bondi de 300.bizare.moi j ai envie de continuer de manger de vrais fromages,et non des pasteurisés, importés.il faut savoir qu un loup coûte 60000 euros au contribuable entre toutes les protections,et les indemnisations.sans être pour leur éradication la cohexistance est difficile.et il faudrait peut être tenir compte de l opinion de ceux qui les côtoient.

    5. Bonjour
      Comme vous l’avez dit dans votre commentaire une espèce sauvage n’a pas de frontières donc pourquoi les comptages et estimations se font au niveau national . Évidemment toute espèce sauvage doit être maintenu en bon état de conservation et le seuil de bon développement doit donc se faire sur plusieurs pays limitrophes . L’équilibre entre une population et des besoins qui ne cessent d’augmenter et donc difficile à tenir . Aucune espèce ne doit bénéficier d’une protection totale et permanente , une adaptation constante est nécessaire en fonction de multiples paramètres qui ne laissent aucune place pour l’idéologie .
      Il faut reconnaître les erreurs du passé mais si l’homme est un grand prédateur il en demeure pas moins un grand protecteur ou l’empathie n’a aucune place

    6. Grâce à votre bêtise, le loup va rapidement devenir intolérable dans nos campagnes et forêt. On attend l’accident avec des humains. Vous les écolos qui placez la vie de l’animal au dessus de celle des hommes vous êtes e n fait des monstres.

  7. Encore un article qui ne prouve donc rien, vous supputez mais à quel moment apportez-vous des éléments divers et variés et surtout solides pour accréditer vos dires ?
    Un éleveur, c’est tout? C’est une blague?

  8. Rien d étonnant quand même !!!! Que des personnes droites , sincères , franches , dont une partie est assermentée.
    Que c est beau tout ce petit monde …

  9. Bonjour, je ne suis pas un « complotiste »mais un complot vert existe à mon avis,celui-ci est sournois et infiltré partout,donc je ne suis pas étonné !et je pense d’ailleurs que plusieurs maires et responsables de chasse seraient d’accord avec moi!et je les trouve trop discrets,il faut faire remonter, et le dénoncer dans les médias !(il faut voir les imbécilités que sortes certaines administrations)

  10. Pour les comptages sur les anatidés et sur la grive mauvis c’est le même problème et le moratoire en est l’expression : pour certaines des espèces concernées il est actuellement impossible de faire des comptages sur les aires de nidification car situé en Russie alors la manipulation des comptages sur les axes migratoires et aires d’hivernage est bien plus facile …. Le seul but qu’il s’agisse du loup ou d’autres espèces végétales ou animales est de diriger la population vers une dictature verte avec le culte de la culpabilité. La preuve en est que malgré les efforts en tous genres que nous faisons pour améliorer notre bilan carbone depuis plusieurs années jamais personne n’a signalé un résultat encourageant . Le catastrophisme est une propagande permanente : le verre est obligatoirement à moitié vide . Les alpes sans pastoralisme est la porte ouverte à un tourisme lucratif et politiquement orienté
    Macron est en fin de parcours la fin de sa carrière politique se situe à Bruxelles et ça explique beaucoup de choses : pour le loup mais aussi pour les problèmes agricoles
    Une seule question se pose aux français : sont-ils encore français ou européens ?

    1. Vous êtes pitoyable dans votre absence d’arguments. Cet article n’apporte aucune information. Le CNRS n’est pas connu pour suivre un quelconque discours officiel, si jamais il en existait un. Pour ce qui est de l’OFB, les seuls qui réclament son abolition sont ceux qui aimeraient pouvoir faire ce qu’ils veulent sans contrôle.

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