De semaines en semaines, le loup continue son expansion dans toute la France. Au mois d’août, des indices ont été relevés dans le département de la Loire qui ont permis de confirmer la présence du prédateur sur place de manière officielle. De quoi inquiéter les éleveurs du coin ainsi que la population.
Un loup observé à Chateauneuf.
C’est dans une communication officielle que la préfecture de la Loire a informé les habitants du département de la présence d’un loup sur son territoire durant le mois d’août.
Un des grands canidés a en effet été observé à travers une vidéo recueillie sur la commune de Chateauneuf le 23 août dernier.
L’enregistrement ne laisse visiblement pas de place aux doutes et les experts ont pu conclure sur les images qu’il s’agissait bel et bien d’un loup.
Pas de présence régulière de l’espère pour le moment.
La préfecture se veut malgré tout rassurante sur l’observation qui a été réalisée du loup en expliquant que le département se trouve sur une zone située en front de la colonisation du loup.
L’apparition d’un individu peut donc simplement être isolée et due au phénomène de dispersion de l’espèce sans qu’une meute ne s’installe réellement sur le territoire.
Même si des attaques de loups envers l’homme ont eu lieu dernièrement dans d’autres pays d’Europe, la préfecture affirme que « l’espèce est en réalité de nature discrète, méfiante et craintive vis-à-vis de l’homme ». Le loup ne représente donc pas une menace pour l’homme selon les autorités.
En ce qui concerne les éleveurs du département, la DDT peut accompagner ceux qui souhaitent d’ores et déjà bénéficier d’aides pour faire l’acquisition de chiens de protection et leur entretien.
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Une réflexion sur « Loire : la présence d’un loup dans le département officiellement confirmée »
Pas besoin de chercher a minimiser le problème , dans la Loire ou ailleurs il y’a une volonté politique de mettre tout en œuvre pour que le loup colonise l’ensemble du territoire sans chercher à comprendre l’impact à moyen et long terme ni sur la population ni sur l’élevage et le pastoralisme . Une sorte de caprice sur un fond d’écologie pour s’occuper indépendamment du coût du dernier maillon de la chaîne alimentaire plutôt que de s’occuper de la préservation des habitats pour le reste de la biodiversité .