Dans la continuité de l’opération de collecte des armes réalisée par l’État à la fin de l’année dernière, le gouvernement continue de mettre en place des projets permettant aux Français d’abandonner les armes dont ils ne souhaitent pas rester propriétaires.
Si auparavant, il était possible de rester propriétaire d’une arme de chasse dont on avait par exemple hérité, les choses ont largement évolué depuis quelques années, ce qui pousse souvent ces personnes à suivre les directives officielles pour abandonner l’arme auprès des autorités.
Jusqu’ici, la police et la gendarmerie étaient les seuls entités aptes à recueillir les armes abandonnées mais l’État souhaite simplifier la procédure et mettre les armuriers dans la boucle.
Un dispositif de test est donc en cours en Auvergne-Rhône-Alpes depuis le 10 juillet dernier et une liste de 7 armuriers a été mise en place pour remplir cette mission.
Les Français qui ne souhaitent pas conserver une arme chez eux suite à une succession, une évolution de la règlementation ou une simple découverte, pourront donc se rendre chez l’un de ces armuriers pour effectuer la procédure d’abandon.
L’implication des armuriers dans ces démarches permettra donc de soulager les services de police et de gendarmerie mais aussi d’introduire ces armes sur le SIA afin d’assurer leur traçabilité.
Les armuriers seront rémunérés par l’État au nombre d’armes qu’ils auront collecté sur une période donnée.
Dans la mesure ou le test s’avère concluant, le gouvernement prévoit d’étendre rapidement le dispositif à toute la France. Une réforme sera alors mise en place et 350 armuriers habilités pourront récupérer les armes abandonnées sous le contrôle des autorités qui continueront de suivre étroitement le dossier.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .