Pendant des années, les associations animalistes ont souvent pris la Suisse et le Canton de Genève pour l’exemple parfait des contrées dans lesquelles la chasse « n’existe plus » et ou la nature se régule d’elle même. La Suisse ayant récemment changé son fusil d’épaule dans la gestion de ses populations de loups, les associations, même françaises, se permettent désormais de leur faire la leçon.
La Suisse a revu sa position sur le loup.
Depuis quelques semaines, les médias de toute l’Europe ont repris les informations concernant la gestion des populations de loups en Suisse. Si il y a quelques temps encore, les chasseurs n’étaient tout simplement pas une option, les choses ont bien changé.
Aujourd’hui, l’administration Suisse a totalement changé d’approche face à l’augmentation importante du nombre de loups. Des chasseurs ont même été formés à la gestion du loup dans certains cantons et la chasse du loup sera officiellement ouverte au 1er décembre en Suisse, sous réserve de quotas extrêmement précis dans les cantons concernés.
Cette décision de nos voisins Helvètes n’est pas arrivée du jour au lendemain sur la table mais est la conséquence d’un nombre trop important d’attaques sur les troupeaux et la mise en danger des éleveurs ne pouvant plus assumer leur travail quotidien.
Bien que la Suisse reste toujours en quête des meilleures solutions en faveur de la biodiversité, elle a fait le choix de soulager ses éleveurs tout en assurant une gestion raisonnée du loup sur son territoire et en faisant en sorte que le prédateur ait de nouveau peur de l’homme.
Les associations animalistes Françaises critiquent cette décision.
Forcément, les associations animalistes prennent très mal le fait que la Suisse, ce bastion qui servait d’exemple aux anti-chasse du monde entier, décide d’appliquer une gestion du loup par des prélèvements qui devraient tout de même faire baisser de 70% la population totale.
Une lettre ouverte a même été rédigée et signée par des associations du monde entier (dont des associations américaines et australiennes ?) et parmi elles, les associations Françaises qui, encore une fois, veulent empêcher une nation de gérer seule la problématique du loup.
Aves France, France Nature Environnement ou encore la Fondation Brigitte Bardot ont donc signé cette missive demandant à la Suisse de revoir l’ordonnance d’abattage.
Les mêmes arguments sont toujours mis en avant, à savoir que le loup joue un rôle important dans le maintien de l’équilibre des écosystèmes.
De plus, selon ces associations, cette décision de faire baisser le nombre de loup de près de 70% en Suisse aurait un impact catastrophique sur la population totale des Alpes occidentales et centrales.
Selon elles, la Suisse ne fera que créer une sorte d’appel d’air, incitant les loups d’autres pays à s’installer en Suisse suite à l’abattage d’un certain nombre d’individus et mettrait alors en péril l’intégralité de la population Européenne si les prélèvements devaient continuer.
Si les animalistes prenaient facilement la Suisse pour exemple dans leur discours anti-chasse, il se pourrait bien qu’aujourd’hui, les autres pays d’Europe prennent exemple eux aussi sur les Helvètes pour ce qui concerne la gestion du grand prédateur, au grand dam de ces associations.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.