La fondation François Sommer vient de publier une étude intéressante sur la possible évolution de la chasse d’ici 20 ans. Il s’agit de poser 4 scénarios reposant sur des faits, des statistiques, des exemples et aussi un peu de ressentis.
La chasse doit anticiper des défis de plus en plus complexes, telles les dynamiques de population des espèces sauvages et leur régulation à moyen et long termes, l’urbanisation croissante des espaces, la gestion des espaces boisés, les grandes évolutions des cultures agricoles et du foncier, le partage de l’espace avec des activités de pleine nature, les nouvelles pratiques sportives et de loisir chez les jeunes, les transformations du rapport à l’animal de rente ou sauvage, la question du bien-être animal, la sublimation de la nature dans la population…
Autant de facteurs qui vont inévitablement, avec ou sans logique d’ailleurs, influer directement sur l’avenir de la chasse en France.
Voici donc 4 scénarios plausibles, mais qui pour autant ne sont pas obligatoire et la Fondation François Sommer inscrite sur le fait que d’autre peuvent émerger, ou qu’un 5eme scénario sera la contraction de 2.
Scénario A « Chacun chez soi » : La nature en partage, les chasseurs isolés. Coexistence des communautés, principe de tolérance. La chasse subsiste, mais et l’objet de critique
Scénario B « La chasse en conflit » : Une société de rapports de force. Tyrannie des minorités et ère durable des mouvements d’opinion comme facteurs d’influence. Les pratiquants de la chasse sont stigmatisés. Forte décentralisation
Scénario C : « Les chasseurs, acteurs des territoires » : Une alliance chasse-agriculture-nature.
Tolérance à l’égard des chasseurs et reconnaissance de leur action en matière de services écosystémiques.
Scénario D « La fin de la chasse plaisir ». L’État et les collectivités régulent la faune
Nouvelle éthique dominante. Le mouvement des droits de l’animal se diffuse, la chasse plaisir devient moralement inacceptable.
Inutile de préciser quel scénario est le plus souhaitable pour notre passion…
Il en ressort clairement que l’avis de la population par rapport au bien-être animal est LE facteur clé. À moins qu’un évènement « extérieur » majeur, telles une pandémie ou une guerre mondiale engendrant toutes les 2 une famine ou du moins une raréfaction des denrées alimentaires, l’avenir de la chasse passera par une acceptation, ou non, de notre activité.
8 réflexions sur « Le foie gras rayé de la carte par la maire de Strasbourg au nom du bien-être animal »
Je préfère une bonne terrine ou un excellent pâté
elle ,ont devrait l’éradiquer au non du bien être humain.
Ce n’est que la mairie.
Ces verts ils se refuse tous les plaisirs de la vie, que leur existence doit être triste, il doivent se faire crier à mourir.
C’est vrai qu’en compensation, beaucoup fument le pétard, ils voient pendant quelques instant la vie en rose.
Mais après leur fumette, ils sont dangereux sur la route. Imaginez ils voient des éléphants roses traverser les voies de circulation, de même ils entendent hurler les loups au pied de la cathédrale et les ours grimper au sapin.
Pas à Bordeaux, le maire a supprimé les fêtes de Noël, il ne sait pas que Noël n’est pas une fête mais le jour de la naissance de Jésus. Bon pour EELV c’est une tradition d’un autre temps qu’il faut supprimer.
C’est pratiquement de l’abus de pouvoir , tout au moins cette décision sans consultation n’est pas très démocratique .
Enlever le foie gras du menu alors que c’est une de nos fierté c’est ne pas respecter les agriculteurs et les éleveurs
Les producteurs locaux (grande région du foie gras) devraient porter plainte pour diffamation.
La nous avons un maire qui impose son choix pas celui des français. Une honte à cette région d’avoir Eli un écologistes a leur mairie, maintenant on voit leur niveau d’intelligence.
Maintenant c’est pas a mais 3 maires pour le foie gras et un maire contre le sapin de Noël. Les gens son assez bêtes pour voter pour eux. Normal c’est des vieux qui accepte rien ou des ecolo des villes qui viennent dans nos campagnes. Voilà comment tuer des producteurs. Les écologiste sont pour la pertes de nos artisans commerçant.
Les maires écolos se croient tout permis. Et le libre choix il est où. Les pertes d argent pour les producteurs ils sent foutues tout ce qui les intéresse c est virer la viandes de tous les plats pour nous obliger à bouffer du foin.