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On a demandé à l’intelligence artificielle son avis sur la chasse

L’intelligence artificielle est l’une des grandes avancées technologiques de ces dernières années, avec une évolution très rapide de certains modèles dont l’un des plus connus est le fameux « ChatGPT » qui est capable de répondre à de nombreuses questions.


Il s’agit bien d’une intelligence artificielle, par conséquent elle compile et renvoie des données selon une masse d’informations qu’elle a pu analyser sans tronquer le résultat par une prise de position.

Par curiosité, nous avons posé quelques questions à ChatGPT au sujet de la chasse, afin de voir ce qu’en dit cet « outil de conversation automatisé ».


CP : « Bonjour ChatGPT »

IA : « Bonjour! Comment puis-je vous aider aujourd’hui? »

CP : « Que penses-tu de la chasse? »

IA : « Je n’ai pas de pensées, d’opinions ni de sentiments personnels, car je suis une intelligence artificielle. Cependant, je peux vous fournir des informations objectives sur la chasse en fonction des perspectives éthiques, environnementales, culturelles et sociales qui sont présentes dans la société.


La chasse est une pratique complexe qui suscite des débats passionnés. Certains considèrent la chasse comme une activité traditionnelle et culturelle qui peut jouer un rôle dans la gestion de la faune, la conservation des écosystèmes et la régulation des populations d’animaux sauvages. D’autres la critiquent en raison de préoccupations éthiques liées à la souffrance animale, à la préservation des espèces menacées et aux risques pour la sécurité publique. »

CP : « Faut-il avoir peur des chasseurs? »

IA : « Il est important de ne pas généraliser et de reconnaître que tous les chasseurs ne sont pas les mêmes. Comme dans tout groupe, il peut y avoir des individus qui agissent de manière irresponsable ou qui enfreignent les règles établies. Cependant, il serait injuste et inexact de dire que tous les chasseurs doivent être craints.

La plupart des chasseurs suivent les réglementations et les lois en vigueur, respectent les quotas de chasse, et sont engagés dans des pratiques de chasse sûres et éthiques. Ils sont souvent passionnés par la nature, la conservation de la faune et le respect de l’environnement. Beaucoup de chasseurs sont également impliqués dans des efforts de préservation et de gestion de la faune, contribuant ainsi à la protection des écosystèmes.


Cependant, il est important de souligner que certaines préoccupations peuvent exister en matière de sécurité. Si vous vous trouvez dans une zone où la chasse est autorisée, il est préférable de prendre des précautions supplémentaires pour assurer votre sécurité, telles que porter des vêtements de couleur vive pour être bien visible et éviter les zones de chasse pendant la saison de chasse. »

CP : « La chasse est-elle bénéfique ou néfaste pour l’environnement? »

IA : « La question de savoir si la chasse est bénéfique ou néfaste pour l’environnement dépend de divers facteurs, y compris la manière dont elle est pratiquée, les réglementations en place et les objectifs de conservation spécifiques.

Il est important de noter que la réglementation de la chasse, les méthodes utilisées et les objectifs de conservation varient d’un endroit à l’autre. Dans certaines régions, la chasse peut être gérée de manière durable et contribuer à des objectifs de conservation, tandis que dans d’autres cas, elle peut poser des risques environnementaux significatifs. Les politiques et réglementations appropriées jouent un rôle essentiel dans la détermination de l’impact de la chasse sur l’environnement. »

CP : « Quelles seraient les conséquences de l’interdiction de la chasse? »

IA : « L’interdiction de la chasse aurait des conséquences variées qui dépendraient de nombreux facteurs, y compris la manière dont elle est mise en œuvre, les régions géographiques concernées, les espèces spécifiques et les objectifs de conservation en jeu.

  1. Surpopulation animale : Dans certaines régions, l’absence de chasse pourrait entraîner une surpopulation d’espèces animales, ce qui pourrait avoir des conséquences négatives sur l’environnement, les ressources alimentaires et la santé des populations animales.
  2. Déséquilibre des populations : La chasse, lorsqu’elle est bien réglementée, peut aider à maintenir les populations d’animaux à des niveaux gérables, évitant ainsi les pics de population qui pourraient causer des dégâts aux écosystèmes.
  3. Perte de financement pour la conservation : Dans certaines régions, les droits de chasse et les permis peuvent générer des revenus qui sont réinvestis dans la conservation et la protection de la faune. L’interdiction de la chasse pourrait entraîner une perte de ces sources de financement.
  4. Impact sur les traditions culturelles : La chasse a des implications culturelles et sociales dans certaines communautés. L’interdiction de la chasse pourrait avoir des répercussions sur ces traditions et sur la manière dont les gens interagissent avec la nature.

Il est important de noter que les conséquences de l’interdiction de la chasse varieraient en fonction des circonstances spécifiques de chaque région et de chaque espèce. Dans de nombreux cas, une gestion durable et équilibrée de la faune, avec des réglementations appropriées, peut être nécessaire pour répondre aux préoccupations environnementales, de conservation et sociales. »

CP : « Est-ce que la chasse en France existera encore dans 100 ans? »

IA : « En tant qu’IA, je ne peux pas prédire avec certitude ce qui se passera dans 100 ans, mais je peux vous donner quelques informations pour vous aider à réfléchir à cette question.

Dans un scénario hypothétique où la chasse serait progressivement remise en question et davantage réglementée, il est possible que sa pratique diminue au fil du temps. Cependant, il est difficile de prédire si elle disparaîtra complètement ou si elle sera simplement limitée à certaines zones géographiques ou à des espèces spécifiques.

Il est également important de noter que les pratiques de chasse durables et réglementées peuvent être considérées comme une méthode de gestion de la faune dans certaines régions, dans le but de prévenir la surpopulation d’espèces ou de minimiser les dégâts aux cultures. Dans ce cas, la chasse devrait continuer à exister, malgré un cadre plus restreint et réglementé.

En résumé, l’avenir de la chasse en France dans 100 ans dépendra de nombreux facteurs, tels que l’évolution des valeurs sociétales, les préoccupations environnementales et les décisions politiques prises au fil du temps. »

Voilà une vision plutôt lapidaire et bien éloignée de ce que prônent certains gourous anti-chasse, même si ces derniers parviennent encore à influencer les politiciens pour s’en prendre aux activités cynégétiques partout dans le monde.

4 réflexions sur « On a demandé à l’intelligence artificielle son avis sur la chasse »

  1. La nature est belle et doit être respectée mais contrairement à ce que croient les écologistes, elle ne peut pas se gérer elle même car l’homme par son mode de vie à rompu son équilibre !
    La gestion des espèces animales et végétales est donc indispensable et perdurera à mon avis encore longtemps. La gestion et le prélèvement des animaux ne portera peut plus le nom de « Chasse » mais l’acte de prédation perdurera.
    Quand à l’IA normal qu’elle parle comme les politiques car c’est elle qui écrit leur discours !

  2. Le gène chasse est inscrit dans tout être vivant qui consomme de la viande et l’humain en fait parti .
    Les réponses de chatGPT sont intéressantes car complètement neutres (à ce jour) et il faut en tirer un enseignement pour diriger nos efforts pour la chasse de demain qui forcément devra évoluer tout en restant authentique .
    Nous militons a juste titre pour conserver et transmettre les pratiques d’hier mais nous avons le devoir d’accepter et de comprendre la chasse de demain qui sera forcément différente et qui s’adressera à un public différent avec des contraintes de vie qui ne sont pas les nôtres
    L’enjeu est de conserver le passé en créant des évolutions possibles pour le chasseur de demain .
    Même si l’âge moyen Et le nombre de chasseurs français est préoccupant mais il est surtout liés aux mutations rapide de la société et aux contraintes de vie plus qu’aux tracasseries des anti chasses
    Restons optimistes et mobilisés c’est le moteur du combat qui d’ailleurs n’a jamais cessé

  3. Est ce que la chasse existera dans 100 ans …le 3/4 des chasseurs c’est des papis…dans 10 ans il y aura plus que 500 000 chasseurs voir moins …avec toutes les interdictions à venir ! Pas besoin d’interroger une machine …sa fait 44 ans que je chasse et je voie que l’ont perd sur tout les tableaux…pas besoin d’être NOSTRADAMUS !

    1. L’IA reflète parfaitement les réponses données par les politiques à des questions précises. Pour ne choquer personne on ne prend jamais une position précise.

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