La sécurité à la chasse est une thématique que les chasseurs ont pris à bras le corps depuis déjà plusieurs années et les autorités y consacrent beaucoup plus de moyens qu’auparavant pour s’assurer que les chasseurs jouent tous le jeu. La semaine dernière, une grande opération de contrôle a été menée dans le Cantal et plus de 230 chasseurs ont été contrôlés.
Une grande opération de contrôle sur 80 communes.
La préfecture du Cantal a récemment communiqué sur une vaste opération de contrôle qui a été menée dans le département afin de s’assurer que les règles de sécurité à la chasse sont bien suivies par les chasseurs.
L’opération a mobilisé une vingtaine d’équipes composées en tout de 35 agents de l’Office Français de la Biodiversité et d’inspecteurs de l’environnement ainsi que de 15 gendarmes.
A cette occasion, le préfet Laurent Buchaillat s’est rendu sur place accompagné du sous-préfet, du colonel de la gendarmerie du Cantal ainsi que du chef de service départemental de l’OFB.
Hasard du calendrier, cette grande opération de contrôle s’est déroulée la semaine ou les juges ont rendu leur verdict concernant l’accident de chasse durant lequel une randonneuse a perdu la vie dans le département.
Peu d’infractions et beaucoup de pédagogie.
En tout, ce sont 232 chasseurs qui ont été contrôlés avec 211 chasseurs de grand gibier participant à des battues, 19 des chasseurs de petit gibier et 2 chasseurs de chamois.
Sur les 9 infractions constatées, 8 concernaient réellement un contexte ou la sécurité pouvait être remise en cause mais ce fut surtout l’occasion pour les autorités de faire une énième fois de la pédagogie sur le terrain.
La quasi majorité des contrôles se sont déroulés sans remarques, c’était donc l’occasion de rappeler à tous les règles à suivre et de vérifier le respect du schéma de gestion cynégétique départemental.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .