Depuis quelques jours la maladie d’Aujeszky fait de nouveau parler d’elle. Un chien de chasse a été récemment diagnostiqué comme souffrant de cette maladie est mort le 30 novembre dernier dans l’Essonne. Les analyses effectuées ont récemment confirmé qu’il s’agissait bien du virus concerné.
Aujeszky confirmé.
C’est une clinique vétérinaire de l’Essonne qui a annoncé qu’un chien de chasse pris en charge par leurs services présentait les symptômes de la maladie d’Aujeszky. Le chien est mort le jour même et des prélèvements ont été réalisés pour effectuer des analyses en laboratoire.
La Direction Départementale de la Protection des Populations a reçu les résultats de ces analyses le 14 décembre et a pu confirmer que le chien était bien mort des suites de cette maladie.
Après enquête, il s’avère que le chien porteur du virus l’avait contracté après avoir été mis en contact avec un sanglier blessé lors d’une journée de chasse en Seine-et-Marne.
Les services de l’État ont pu confirmer que le virus était donc présent dans la forêt du Blandureau sur la commune de Rozay-en-Brie ou dans la Forêt de Fontainebleau proche des communes de Barbizon et de Bois-le-Roi.
La maladie d’Aujeszky inquiète de nouveau les propriétaires de chiens depuis quelques temps car plusieurs cas ont été découverts en Haute-Marne récemment. Les trajets que font les suidés entre les différents départements Français et même les déplacements de chasseurs sont autant d’occasions de diffuser la maladie au niveau national et les autorités appellent donc à la prudence de tous.
L’origine de la maladie a pu être confirmée.
Un autre chien ayant participé à cette même journée de chasse est lui aussi mort des suites de la maladie d’Aujeszky ce qui confirme les soupçons portées par les autorités.
Ce sont donc les sangliers de Seine-et-Marne qui véhiculent la maladie, un virus dangereux pour les chiens mais qui n’est pas transmissible à l’homme.
Des mesures de biosécurité sont donc mises en place à tous les niveaux. Un vaccin est disponible en autorisation temporaire d’utilisation et il est demandé aux détenteurs de chiens de chasse de limiter les contacts directs avec les sangliers ou même les porcs.
De même il conseillé d’éviter de donner les abats de porcs ou de sangliers aux chiens, surtout s’ils sont crus.
Du côté des éleveurs, la prudence est de mise et il est conseillé aux professionnels de mettre en place toutes les mesures nécessaires pour éloigner tous les risques de contamination potentiels.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .