En ce début du mois de juillet, le gouvernement a officialisé la modification de l’arrêté sur l’utilisation des appelants à la chasse. Cette nouvelle législation change beaucoup de choses notamment pour les chasseurs de turdidés qui ne comptent pas en rester là.
Les Fédérations des chasseurs mobilisées pour la détention d’appelants turdidés.
Plusieurs Fédérations de chasseurs se sont mobilisées récemment à savoir la FDC du Var, du Vaucluse, du Gard, du Tarn-et-Garonne, des Alpes-de-Haute-Provence, des Alpes-Maritimes, des Bouches-du-Rhône et des Hautes-Alpes, en réaction à la modification de l’arrêté sur l’utilisation et la détention des appelants de turdidés.
Si la modification est passée un peu inaperçue, c’est qu’elle concerne dans les faits uniquement les turdidés (merles et grives) mais c’est encore une fois une perte de libertés pour les chasseurs et une manière de tuer définitivement les chasses traditionnelles.
Pour éviter que la situation ne soit encore qu’à sens unique, les chasseurs de ces départements se sont réunis et, à travers la Fédération Nationale des Chasseurs, a déposé une contre-proposition au ministère de la Transition écologique.
Le contenu de cette contre-proposition n’a pas encore été clairement annoncé par les FDC mais en cas de validation des propositions des chasseurs par le ministère, des réunions vont se tenir pour expliquer en quoi ces mesures faciliteront les choses en ce qui concerne la détention d’appelants.
Les chasseurs prêts à attaquer l’arrêté en justice.
En cas de refus de la part du ministère d’entendre la proposition des chasseurs, ces derniers n’auront plus que la justice pour tenter de faire pencher la balance en leur faveur.
Il y a donc de grandes chances pour que les Fédérations décident d’attaquer devant un tribunal la modification de l’arrêté en question si jamais elles ne sont pas impliquée dans le processus.
Malgré tout, il est difficile d’imaginer que les FDC puissent obtenir gain de cause face aux juges qui se rangent bien souvent du côté des associations animalistes sur la question des chasses traditionnelles.
Cette modification étant une conséquence de l’interdiction de ces modes de chasse, il faudra un dossier en béton pour espérer obtenir de bons résultats dans une telle démarche.
L’action mise en place par les FDC rassure tout de même les chasseurs qui voient que ces dernières les soutiennent et se battent pour que la réglementation ne soit pas adoptée de manière unilatérale par le gouvernement.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .