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Dégâts de sangliers : « on est proche de la rupture » selon Willy Schraen

Dans un entretien avec les journalistes de France Bleu, Willy Schraen a abordé les derniers évènements qui ont agité les médias cynégétiques et notamment le refus du Conseil constitutionnel de modifier la loi sur l’indemnisation des dégâts causés par le grand gibier.

Woodland

Le Président de la Fédération Nationale des Chasseurs explique qu’il ne sera pas possible de continuer sur ce modèle encore très longtemps sans qu’il ne s’effondre. La loi concernant l’indemnisation des dégâts du grand gibier reposait sur la situation de l’époque mais qui a bien changée aujourd’hui :

« à une époque où on tuait 80.000 sangliers par an en France ; aujourd’hui, on abat 1 million de sangliers par an ».


La prolifération des sangliers a donc fait exploser les budgets des Fédérations départementales en charge de payer les indemnités mais le gap est désormais trop important et les Fédérations ne peuvent plus suivre. Les sommes demandées atteignent désormais des montants qui dépasseront bientôt les capacités des chasseurs.

Pour appuyer son propos, Willy Schraen expose l’exemple de la Fédération des chasseurs du Loiret : « en 2020, elle a versé 1,6 million d’euros pour ces dégâts agricoles, elle devrait avoisiner les deux millions d’euros pour 2021 ».

Il est donc nécessaire selon lui de trouver un système adéquat avant que le système actuel ne s’effondre de lui même : « On veut bien continuer à être au service de l’intérêt général, mais là, on est proche de la rupture ».

Dans le viseur du Président, les propriétaires de parcelles qui n’autorisent pas la chasse. L’objectif n’est pas d’obliger les personnes qui ne veulent pas de chasse sur leurs territoires à l’accepter mais il devient alors nécessaire de les faire participer à l’effort financier.

17 réflexions sur « Dégâts de sangliers : « on est proche de la rupture » selon Willy Schraen »

  1. avez vous deja vu un service public gratuit ? moi jamais ! faire de la chasse un acte citoyen peut etre , mais rien n’est gratuit

  2. Bruno BRIGAUD 30 janvier 2022 at 5 h 31 min
    Ils donnent du temps pour assurer un service public ????? euh …..pas sure !

    Il y a une façon très simple de vérifier si c’est un service public : Qu’ils arrêtent de chasser ….tous…
    La population sera multipliée par 2 tous les 2 ans…et les dégâts qui vont avec..
    Et la, ce ne seront plus les chasseurs qui payeront…
    Nous verrons bien comment les pouvoir publics et les amis des animaux se demerd..t avec l’explosion des dégâts et des collisions…
    Il faudra que les gentils mettent la main a la poche…
    Et la…perso….je serai mort de rire de les voir essayer de chasser les sangliers qui retournent leurs jardins ou quand ils se feront piquer leur pique nique le dimanche midi…avec un couteau a beurre pour se défendre…

    1. Encore un qui ne connaît pas la nature.
      Il faut dissuader les animaux de ne pas quitter les bois pour les terres agricoles.
      Un minimum de grains pour les occuper est nécessaire.
      Tout le monde va les déranger en forêt et ces derniers trouvent leur quiétude dans les champs d’engrais verts, personne ne les dérange.
      Cette année dans le 60 pas de fruits des bois pour les nourrir ils se déplacent et ont plus d’activités pour chercher leur nourriture. Est-ce la responsabilité des chasseurs si le gel a fait que les glands et fênes sont inexistants.
      Les cervidés par endroit ravagent les colzas n’ayant pas de fruits pour les nourrir les feuilles de ronces ne suffisent plus et il faut attendre le printemps pour qu’ils retrouvent leur alimentation.
      Évitez de dire que l’agrainage augmente la reproduction, les cervidés ne font qu’un petit. Les sangliers ont des portées conséquentes en cas de grosses glandées ce ne sera pas le cas l’année prochaine la mortalité juvénile sera plus importante.
      Si les chasseurs ne prenaient pas de permis et ne chasseraient pas une seule année, ce serait une catastrophe pour le monde agricole.
      Venez et regardez sur le terrain pour mieux comprendre la nature.
      Faites comme moi trois jours par semaine à aider la nature et ramasser les détritus des usagers de la forêt et des routes.

  3. Les chasseurs on nous demande de faire la régularisation de sanglier nos félicitations pays les dégâts que gosse sanglier et nous chasseurs ou pays aussi les vétérinaires passe ce que nos chiens ce fond éventré meurt et quand il sont baissé il faut payer

  4. Bonjour, depuis 40 ans, une obsession des federations de chasse, faire proliferer sangliers, chevreuils,… Agriculteur en 1980, je tirais la sonnette d’alarme. D’agrenage en nourrissage, mon village où nos parents, grands parents chasseurs tuaient 1 à 2 sangliers et chevreuil par an, maintenant c’est 30 ou plus. Amis chasseurs, vous vouliez plus de gibier, alors, bravo de votre réussite mais ne demandez pas à la collectivité d’assumer votre succès.

  5. Que les chasseurs contribue aux dégâts d’accord, car trop de gros gibier. Par contre il serait bien aussi de faire payer tt les propriétaires de de terrain qu’il ne veulent pas de chasse chez eux aussi, et faire payer toute les mairies ou il y a des terrains domaniales aussi. Et la ça sera plus juste.

  6. Bonjour a tous bien sûr qu’il doivent participer financièrement ou alors je ne comprends plus rien et pas que les dégâts agricole et les accident de la circulation il me semble que la aussi il y a des dégâts il y a une solution pour les chasseurs c’est de laisser libre le tir de ces animaux

    1. bien d ‘accord avec vous , cependant , lors d’un accident de la circulation avec un sanglier, ce n’est pas la fédération de chasse qui indemnise , mais l’assurance du vehicule

  7. Bonjour président
    Pourquoi les ecolos et les anti chasse ne participeraient pas à l’indemnisation suite aux dégâts dans les terres agricoles occasionnées par les sangliers et autres animaux
    Cordialement
    A Dirringer

  8. Bien sûr que ceux qui interdisent la chasse sur leurs terrains doivent participer à l indemnisation des dégâts.
    Tout particulièrement l Aspas et autres associations anti chasse qui vivent de dons et subventions

  9. Pour diminuer les dégâts il faut moins protéger . Il faut une saison ou deux augmenter les prélèvements de 50 % et surtout où le sanglier fait du dégât. Toutes les années il se tue le même nombre, c’est qu’il y en reste trop en fin de chasse.

  10. Les chasseurs sont les cocus …
    Ils payent pour leur permis et leur assurance,
    ils payent pour leur matériel et leurs déplacements,
    ils payent la remise en état des miradors, matériel de sécurité incontestable, lorsque des lobotomisés leurs détruisent
    ils payent pour des actions de chasses,
    ils donnent du temps pour assurer un service publique
    ils payent pour les dégâts y compris dans des zones dans lesquelles on leur interdit de chasser…
    Et en plus il vont bientôt devoir demander une autorisation de détention pour détenir un malheureux fusil de chasse…
    Bientôt nous n’aurons plus le droit qu’au couteau a beurre…
    Trop c’est trop…

    1. Il faudrait aussi réduire le nombre de sanglier sur les terres trop de sanglier et à chaque fois tt les accidents viennent de battue aux sangliers en général. Le seul moyen de réduire le nombre de sanglier sur les terres c’est qui soit tir libre sans bracelets.

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