Hier, le lundi 19 juillet 2021, les conseillers départementaux d’Ariège ont réclamé le retrait immédiat du projet Life Ours, projet qui suscite le débat depuis longtemps car d’un côté les défenseurs de la cause animale souhaitent maintenir l’ours et le développer et de l’autre les dégâts occasionnés par ces derniers se font toujours plus fréquents et commencent à inquiéter beaucoup de monde.
La place de l’ours dans les Pyrénées n’en finit plus de faire débat et est au cœur des interrogations dans cette région de la France. Il y a tout juste plus d’un an, le 15 juillet 2020, quatre ours ont attaqué u troupeau de brebis à proximité d’Ustou en Ariège. Inquiet, le maire M. Alain Servat déclarait « il se produira bientôt un drame ».
Ce 19 juillet 2021, les conseillers départementaux ont alors décidés de faire entendre leur avis sur cette situation. Le projet Life Ours est dans leur viseur et il faut dire que pour eux, le débat commence peut-être à s’éterniser. Christine Tequi, la présidente du département de l’Ariège blâmait cette initiative : « les Pyrénées ne sont pas à vendre » au début du mois de mai 2021. Seulement quelques semaines plus tard, une motion mise sur la table par la chambre d’Agriculture de l’Ariège a été adoptée par les conseillers départementaux à 26 voix.
La demande de financement de la DREAL Occitanie auprès de la Commission Européenne a notamment été évoquée par le département. Cette aide concerne le projet Life Ours et s’élève à hauteur de 7.950.312€. Le département y répond de manière ferme et limpide :
« Considérant l’absence totale de mise en débat de ce projet (…), l’absence totale de transparence dans l’élaboration de ce projet (…), l’opposition constante depuis plus de 25 ans de l’immense majorité des acteurs pyrénéens aux différents programmes de réintroduction de l’ours brun (…), les grossières erreurs d’analyses faites par les instigateurs du projet (…), la négation totale et méprisante de l’identité, de l’histoire, des valeurs et de la liberté des acteurs pyrénéens, nous exigeons le retrait immédiat et inconditionnel du projet. »
Le débat regagne donc en intensité mais cette fois, les conseillers départementaux d’Ariège semblent vouloir y mettre terme et le clôturer par un ultimatum.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .