Depuis lundi se débat à l’Assemblée Nationale la loi « Climat et résilience » constituée de 149 propositions issues de la convention citoyenne mise en place par le Président de la République.
Il faudra aux députés 3 semaines pour examiner les 69 articles et 7000 amendements que comporte à ce jour la future loi Climat et Résilience. Parmi ceux-ci, celui de Xavier Batut, député de la 10e circonscription de Seine Maritime qui propose de rendre obligatoire un menu à base de produit de venaison dans les restaurants collectifs et cantines scolaires.
Vice-président du Groupe d’études sur la chasse, la pêche et les territoires, Xavier Batut estime que l’incorporation de viande de gibier dans les menus permettrait d’une part de valoriser les produits de la filière venaison et également de permettre aux personnes de manger de la nourriture saine tout en pointant du doigt le travail des chasseurs sur la gestion des espèces et de la biodiversité.
Voici ce que dit précisément l’amendement « A compter du 1er octobre 2022, et pendant toute la période d’ouverture générale de la chasse (habituellement fixée entre le 15 septembre et le dernier jour du mois de février) […], les restaurants collectifs, dont les personnes morales de droit public ont la charge, sont tenus de proposer, au moins une fois par mois, un menu composé de produits de venaison »
Ce dernier sera surement retiré de la loi avant son vote définitif, mais il a le mérite de pointer du doigt en haut lieu toutes les vertus de la venaison, tout en faisant un contre point au repas végétarien obligatoire dans les cantines de la ville de Lyon…
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .