Annoncée voilà quelques jours dans les colonnes du quotidien La Provence, une campagne d’effarouchement d’étourneaux a été le théâtre d’un déchaînement sans précédent sur les réseaux sociaux.
En effet, via Facebook et la page Cavaillon utile, nombre de personnes ne connaissant rien à la chose ont demandé le non-effarouchement de ces oiseaux à la noire couleur, critiquant au passage la municipalité sur cette mesure, certains commentaires disant même que les oiseaux allaient être tuées via les faucons! Or, cette campagne n’a rien d’un acte de destruction, bien au contraire!
En effet, dans le cadre de la salubrité et de la sécurité publique dont il est le garant, le maire avait une obligation de résultat surtout quand des dizaines de milieux d’étourneaux viennent quotidiennement souiller avec leurs fientes cette commune plus réputée pour ses melons que pour ses oiseaux!. Salissant véhicules et rendant glissants les trottoirs, le premier édile a donc eut obligation d’agir au risque s’il ne l’avait pas fait de se voir assigner en justice en cas de chute dû à ces volatiles s’il n’avait rien fait. De plus, à l’heure du coronavirus, une autre pandémie a risqué de frapper notre pays voilà quelques années à cause des oiseaux migrateurs, catégorie où l’on trouve les étourneaux, avec la grippe aviaire et toujours dans le cadre de la sécurité publique et par principe de précaution, il était donc nécessaire de repousser ces oiseaux hors de la zone urbaine et péri-urbaine.
Ainsi, grâce aux fusées crépitantes, à un effaroucheur accoustique et à la fauconnerie en laissant juste planer un oiseau de proie sur les diverses zones de dortoirs, un climat d’insécurité a été crée qui a eut pour effet de pousser les vols en campagne. Aucun étourneaux n’a été tué mais la menace de fientes a disparu petit à petit pour la plus grande joie des automobilistes qui retrouvaient leur véhicule souillé quotidiennement!
Enfin, que les écologistes passionnés de petite faune se rassurent, les populations d’étourneaux ne se sont jamais aussi bien porté et l’espèce n’est pas en voie d’extinction, bien au contraire!
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .