Ce 1er mars, plusieurs acteurs de la ruralité s’étaient donné rendez-vous pour échanger et trouver des accords sur différentes problématiques transversales entre les mondes cynégétiques et agricoles.
Christiane Lambert, Présidente de la FNSEA, Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs, Thierry Chalmin, représentant de Chambres d’agriculture de France, Véronique Le Floc’h, Présidente de la Coordination Rurale, Nicolas Girod, porte-parole de la Confédération Paysanne, Marc Fesneau et la secrétaire d’État chargée de l’Ecologie, Bérengère Couillard se sont retrouvés au salon de l’agriculture pour valider les accords prévus il y a quelques jours.
Parmi les grandes décisions validées par les différentes parties deux engagements majeurs ont été pris :
– Les chasseurs et les agriculteurs s’engagent à travailler ensemble pour réduire de 20% à 30% les surfaces concernées par les dégâts de gibier,
– L’État semble avoir consenti à un accompagnement financier pour permettre aux chasseurs et aux agriculteurs d’avancer sereinement dans la réalisation de leurs missions respectives.
Il faudra tout de même attendre que l’État officialise les accords et communique sur les mesures précises qui auront été retenues entre les différents acteurs suite à la signature des accords concernés.
Pour rappel, en ce qui concerne les chasseurs, les mesures demandées étaient les suivantes : augmenter les prélèvements de sangliers, un accord sur la possibilité d’agrainage dissuasif, une réforme de l’indemnisation.
Willy Schraen s’est dit très heureux que ces accords puissent aboutir :
« Je suis fier de voir se concrétiser ces discussions avec le monde agricole et le gouvernement. Nous sommes une grande famille avec l’agriculture. Nous avons la lourde charge de réussir à concrétiser nos engagements et nous réussirons grâce à la mobilisation de tous«
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .