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A bientot
 

Le décès d’un randonneur italien relance le débat sur la présence de l’ours en France

L’émotion est vive un peu partout en Europe après le décès d’un jeune homme en ce début de mois d’avril. Ce dernier était parti pour un footing en forêt non loin de Caldes dans le Trentin en Italie mais n’est pas rentré. Ses proches, inquiets de ne pas le voir revenir ont alerté les secours qui ont découvert son corps sans vie au détour d’un chemin forestier.


Le jeune coureur avait été attaqué par un ours qui n’aurait d’ailleurs pas du se trouver là puisque le plantigrade avait déjà attaqué des humains par le passé et avait failli être abattu.

Les animalistes avaient porté l’affaire en justice et avaient obtenu que l’ours ne soit pas placé sur liste noire et ne soit donc pas tué.


Aujourd’hui, les habitants de Caldes qui connaissaient Andréa Papi sont révoltés et demandent aux autorités de prendre les choses en main en ce qui concerne la population d’ours dans la région.

Cet évènement a forcément eu un impact sur les autres régions ou l’ours est présent comme en Ariège. Un reportage sur la situation a même été récemment diffusé au journal télévisé de France 3 Midi Pyrénées.

Différentes opinions sont présentes dans ce reportage comme celui du maire d’Ustou qui explique que la population a déjà été confrontée à l’ours et que si aucun drame n’est encore survenu, ce n’est qu’une question de temps.

De l’autre côté, un administrateur de Ferus, une association engagée pour la conservation des grands prédateurs dont les ours donne également son avis sur la question. Ce dernier explique que le décès du jeune italien est un évènement « aléatoire » qui dépend de nombreux paramètres.


Les discussions sont vives sur les règles à adopter pour éviter qu’un tel drame ne se reproduise pas.

Faudra-t-il que les randonneurs et promeneurs acceptent de ne plus pouvoir accéder à certaines zones pour le bien-être des grands prédateurs? Faudra-t-il que les bergers et les éleveurs s’équipent lourdement pour prévenir les futures attaques liées aux grands prédateurs? Ou est-ce que les programmes de réintroduction seront revus à la baisse?

Le dossier est loin d’être clos.

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