Dans la nuit du 12 au 13 avril, un tir de défense a abouti sur le prélèvement d’un loup dans la Drôme. L’animal était en position pour attaquer un troupeau de brebis sur la commune de Montbrun-les-Bains quand les lieutenants de louveterie ont procédé au tir.
Le loup était en situation d’attaque.
Voilà un nouveau prélèvement qui va faire bondir les animalistes pro-loups qui diront encore une fois que ce n’est pas normal de prélever ces prédateurs « qui étaient là avant les hommes ».
Pourtant, c’est en toute légalité qu’un nouveau loup a été tiré par les lieutenants de louveterie qui étaient en surveillance d’un troupeau sur la commune de Montbrun-les-Bains, dans le département de la Drôme et à la frontière avec le Vaucluse.
Le tir de défense était le dernier recours des lieutenants de louveterie pour empêcher l’attaque sur les brebis car le troupeau bénéficiait de tous les moyens de protection plébiscités par les autorités et par les défenseurs du loup.
Visiblement, même les clôtures électriques et les chiens de défense n’auraient pas suffit pour empêcher le loup de passer à l’attaque.
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Déjà au début du mois d’avril, une attaque de loup avait abouti sur une autorisation de tir et c’est donc le deuxième loup abattu par les louvetiers en 10 jours environ.
Le 27e loup prélevé depuis le début de l’année.
Le nouveau plan loup prévoit différentes mesures ayant pour but de permettre aux éleveurs de protéger leurs troupeaux mais quand ces mesures ne suffisent pas à tenir le prédateur à l’écart, les brigades de protection ou les lieutenants de louveterie sont dans l’obligation d’intervenir.
Les éleveurs ne sont probablement pas au bout de leur peine car le quota de prélèvement prévu pour le loup au niveau national est de 209 individus pour 2024.
Bien que le gouvernement ait décidé de simplifier la délivrance des autorisations de tir en cas d’attaques, ces tirs n’interviennent qu’en réaction à un acte de prédation. Les éleveurs vont donc subir de plus en plus la pression exercée par les loups sur leurs activités avant qu’un certain nombre d’entre eux ne soient prélevés.
Les contacts répétés entre les loups et le monde des hommes est également source d’inquiétudes car pour certains, cette proximité avec les hommes rendrait les loups moins craintifs face à l’être humain.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .