À l’occasion d’une chasse en haute montagne aux cervidés, je me rends compte, à l’heure de partir, que j’avais égaré mon fidèle et indispensable télémètre. Qu’à cela ne tienne ! Un détour chez nos amis d’Europ-Arm, l’un des plus gros grossistes et distributeurs de matériel et d’équipement, et me voilà reparti avec un joli télémètre Num’Axes TEL 1050.
Ce n’est pourtant pas ce que je préfère : essayer un nouveau produit directement le premier jour à la chasse. Mais, commençant à connaître les produits Num’Axes et leur simplicité d’utilisation que j’affectionne particulièrement, je n’étais pas très inquiet.
Produit déballé et pile CR2 (non incluse, seul bémol) insérée dans le télémètre, me voilà prêt à « spoter » tout ce qui bouge !
L’appareil se met en route en 2 secondes et il ne faut pas longtemps pour apprendre à s’en servir. En effet, il n’y a que deux boutons sur le dessus de l’appareil : l’un permet d’allumer/éteindre l’appareil ainsi que de prendre les mesures, et le second de basculer entre les modes.
Avec son zoom x6, on peut être assez précis sur l’objet ou le gibier que l’on souhaite télémétrer. La prise de mesure est très rapide et « franche » ; par là, entendez que le télémètre donne quasiment à chaque fois les bonnes mesures, même perturbé par un environnement dense.
Huit modes sont disponibles : Mode Standard – Mode Balayage – Mode Verrouillage de la portée – Mode Correction de la distance – Mode Brouillard – Mode Mesure de la distance horizontale – Mode Mesure de la distance verticale – Mode Vitesse. Comme c’est souvent le cas, on n’utilisera que certains modes, à savoir la distance horizontale et la distance compensée, très utiles en montagne. Un mode original est également utile : celui de mesure verticale, qui permet de mesurer par exemple la hauteur d’une paroi rocheuse. L’autre mode que j’aime bien est le mode balayage, qui permet de mesurer en continu, plus gourmand en énergie forcément.
La portée maximale du télémètre est de 900 m. On « spote » sans souci jusqu’à 500 m ; au-delà, il faut que l’objet s’y prête bien (bâtiment, forme volumineuse). Le laser est de catégorie 1, c’est-à-dire sans danger pour les yeux. Niveau encombrement, il ne pèse que 152 g et, grâce à sa housse de transport vendue avec, il est facile à glisser dans un sac ou à accrocher à la ceinture.
Conclusion : ce petit télémètre Num’Axes est fiable, et c’est tout ce que l’on demande à la chasse. Il fait donc parfaitement le job pour un prix public de 216€.
7 réflexions sur « Un ours pourchasse un berger après avoir attaqué ses bêtes dans les Pyrénées »
il faut envoyer Hugo Clément, Nagui et les autres garder les moutons et je pense qu’ils vont vite comprendre ce qu’est un berger face à un ours et quelques loups.
Non non !!! ce n’est pas l’ambiance d’un plateau de télé.
un homme doit pourvoir se defendre vis a vis d un ours ou d un loup . si il faut jeter des etre humains en pature pour faire plaisir a ses bobos ecolos a deux balles mais ou on va
Le jour où un homme/femme/enfant sera tué, nous saurons qui poursuivre en justice, pas de quartier, il faudra assumer les responsabilités
Si un pro ours devait choisir entre la vie d’un ours et d’un berger…nous connaissons tous la réponses ! Des gens très dangereux pour la démocratie des fanatiques !
Malheureusement aujourd hui on défend plus les animaux que les hommes avec leurs satané escrologie de bobos qui n y connaissent rien à la nature
Si le peloton de gendarmerie s’était rendu sur place quel scénario était envisageable ? Probablement un tir d’effarouchement et voilà la raison pour laquelle ont autorise pas les bergers au tir de défense.
Conclusion ont préfère la vie d’un ours à celle d’un berger
En Roumanie , il y a , bon an mal an 3 morts par an du fait de l’ours , patience , nous allons les rattraper .